UMP

PODCAST - Dans cet épisode de "Focus", Marion Calais s'intéresse au débat de l'entre-deux-tours de la présidentielle et notamment à l'envers du décor, avec la journaliste et animatrice, Arlette Chabot.

LE JOUR OÙ J'AI DIT OUI - Avant 2012, Christine Boutin s'était déjà lancée dans la course à l'Élysée en 2002. Pour RTL, elle a accepté de revenir sur cette période où elle s'est dit "oui j'y vais".

Le procès reprend ce jeudi 20 mai. 14 prévenus sont jugés pour financement illégal de campagne, dont Nicolas Sarkozy qui risque un an de prison et 3.750 euros d'amende.

ÉCLAIRAGE - Donald Trump a assuré avoir "gagné" la présidentielle américaine, avant la sortie de chiffres officiels. En France, cette stratégie a déjà été utilisée, non pas lors d'une présidentielle, mais pour la présidence du PS et de l'UMP,...

ÉDITO - François Fillon était ministre de l'Éducation nationale lorsque le rapport Obin sur "les signes et manifestations d'appartenance religieuse dans les écoles" est sorti. Un rapport laissé lettre morte.

INFO RTL - Le maire de Marseille et ancien président du groupe UMP au Sénat, soupçonné d’avoir perçu entre 2012 et 2013 plusieurs chèques issus d’une caisse noire du groupe, évite la mise en examen.

L'affaire porte sur des primes en espèce que se versaient chaque mois des membres du cabinet de Nicolas Sarkozy, lorsqu'il était ministre de l'Intérieur. Ces primes étaient prélevées sur une enveloppe destinée aux frais d'enquête des policiers.

Dans un documentaire sur la Vème République, l'ancien Premier ministre revient sur sa "cohabitation", comme il le dit, avec Nicolas Sarkozy de 2007 à 2012.

L'ancien ministre Éric Woerth a été mis en examen pour "complicité de financement illégal" dans "l'affaire libyenne" concernant la campagne électorale du candidat Sarkozy en 2007, a annoncé son avocat.

ÉCLAIRAGE - L'ancien chef de l'État a été placé en garde à vue mardi 20 mars dans le cadre d'une enquête sur des soupçons de financement de sa campagne de 2007 par la Libye. Dans la nuit, sa berline noire a quitté l'office centrale de lutte...

INVITÉ RTL - Fabrice Arfi a révélé l'affaire du financement libyen présumé de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2017. Il décrypte ce qui se joue derrière le placement en garde à vue de l'ancien chef de l'État.

ÉDITO - L'ex-chef de l'État a été placé en garde à vue mardi 20 mars pour être entendu dans l'affaire des soupçons de financement illicite qui pèsent sur sa campagne victorieuse de 2007.

RÉCIT - Si Éric Ciotti doit beaucoup à Christian Estrosi dans sa carrière politique, la rupture entre les deux hommes est amorcée depuis les dernières élections et semble inévitable.

L'ancienne garde des Sceaux, proche de Nicolas Sarkozy, s'est confiée au "Monde" sur les rumeurs dont sa vie privée a fait l'objet.

Le "Journal du Dimanche" de ce 12 mars met au jour un "système de financement occulte" qui aurait permis au parti de ventiler des sommes en liquide de plusieurs centaines de milliers d'euros, mais le président du Sénat assure qu'il n'était pas au...

Selon une enquête du "JDD" à paraître dimanche 12 mars, le groupe UMP au Sénat aurait organisé un "système occulte" impliquant certains sénateurs entre 2002 et 2014.

INVITÉ RTL - Guy Alvès revient sur le renvoi en procès de Nicolas Sarkozy dans l'affaire des comptes de campagne, en 2012.

LES PRÉSIDENTIELLES - L'actuelle ministre de l'Environnement s'était qualifiée pour le second tour face à Nicolas Sarkozy.

Député UMP de 2002 à 2007, Jérôme Rivière a été exclu du parti pour s'être présenté, pour les législatives de 2007, contre le candidat investi Éric Ciotti.

Le maire de Bordeaux s'est exprimé à propos de l'hospitalisation de Bernadette et Jacques Chirac, tous deux soignés à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.

L'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy à l'Élysée aurait touché 667.000 euros pour avoir mis en relation l'UMP avec un imprimeur.

REPLAY - Selon Le Canard enchaîné, l'ancien président de la République aurait fait pression pour empêcher la diffusion d'un reportage.

L'ancien président de la République est de nouveau visé par la justice et certains dénoncent d'ores et déjà une manœuvre pour le discréditer.

REPLAY - L'ancien chef de l'état avait été mis en examen en février dernier pour financement illégal de campagne électorale.

INVITÉ RTL - Hervé Mariton, député Les Républicains de la Drôme, répondait aux questions d'Olivier Mazerolle.

ÉCLAIRAGE - L'ancien chef de l'État a nié être au courant du dépassement de 22 millions d'euros du budget de sa campagne électorale en 2012.

ÉCLAIRAGE - L'affaire Bygmalion a éclaté en février 2014. Deux ans après, Nicolas Sarkozy a été mis en examen pour le financement illégal de sa campagne présidentielle.

INFO RTL - À quinze mois de l'élection présidentielle, l'ancien chef de l'État devrait être bientôt auditionné par les juges. La question de surfacturation de meetings reste à éclaircir.

Le trésorier de la campagne et député Les Républicains, Philippe Briand, et le directeur de campagne, Guillaume Lambert, sont suspectés d'avoir couvert des dépenses frauduleuses sans lien avec l'affaire Bygmalion.

Le conseiller de l'ancien chef de l'État estime que ce dernier a permis de "retrouver des marqueurs idéologiques", comme le thème de l'identité.

INFO RTL - L'ancienne ministre a tenu à envoyer un courrier aux sympathisants Les Républicains afin de se défendre après la polémique sur la France un pays de "race blanche".

Selon une expertise graphologique, plusieurs ordres de virements au bénéfice d'Event & Cie auraient été signés de façon électronique.

ÉCLAIRAGE / INTERVIEWS - Chef de l'UMP respecté, voire adulé, Nicolas Sarkozy ne semble pas parvenir à retrouver sa place de leader au sein du parti d'opposition depuis sa défaite en 2012.

La 51e fortune de France avait décidé d'accorder un prêt de 500.000 euros au parti à l'époque dirigé par Jean-François Copé, en 2013.

Un non-lieu général a été prononcé mardi dans l'affaire des pénalités imposées à Nicolas Sarkozy, mais payées par l'UMP. Ce dossier judiciaire est désormais clos.

Selon l'ancien directeur de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, c'est la société Bygmalion qui a cherché à s'enrichir et non la campagne du président sortant qui a été illégalement financée.

REPLAY - REPLAY / ÉDITO - La députée européenne, Nadine Morano, envisage de se présenter à la primaire des Républicains en vue de la prochaine présidentielle. Un nouveau nom qui vient s'ajouter à une très longue liste.

François Kosciusko-Morizet, polytechnicien, homme politique et père de Nathalie Kosciusko-Morizet, est décédé dans la nuit de lundi à mardi.

Le parquet a requis mercredi 8 juillet un non-lieu général dans l'affaire des pénalités payées par l'UMP à la place de Nicolas Sarkozy.

Les deux hommes auraient averti, en 2012, que les dépenses de campagne dépassaient le montant légal, avant finalement de les valider.

INVITÉ RTL - Le député européen et ancien ministre de l'Intérieur répond aux questions de Jean-Michel Aphatie, ce lundi 22 juin.

Entre le président des Républicains et le patron du MoDem les relations sont depuis des années électriques. Une rivalité de nouveau présente sur la scène médiatique depuis quelques semaines.

REPLAY / ÉDITO - Le journaliste revient sur la malédiction des femmes politiques françaises classées à droite.

Dans un courrier adressé à Claude Bartolone, Christian Jacob demande à ce que le groupe UMP soit appelé "Les Républicains".

LE DÉCODEUR POLITIQUE - La vice-présidente de l'ex-UMP agace Nicolas Sarkozy. On la dit sur la sellette. Pourtant rien n'est sûr. Se débarrasser d'elle pourrait poser problème aux Républicains.

INVITÉE RTL - La numéro 2 de l'ex-UMP répondait aux questions de Jean-Michel Aphatie à partir de 7h50.

Jean-Pierre Raffarin, invité du "Grand Jury RTL / Le Figaro / LCI" a répondu aux questions de Jérôme Chapuis, Alexis Brézet et Éric Revel.

Le vice-président du Front national Florian Philippot a trouvé une nouvelle formule pour remplacer "UMPS". Et son bon mot remporte déjà un grand succès sur Twitter.

REPLAY - 20.000 personnes sont attendues pour le congrès qui va enterrer l'UMP et officialiser la naissance du nouveau mouvement politique.

Les militants ont approuvé "Les Républicains" à 83%. Le taux de participation n'était que de 46%.