"Les candidats LR aux législatives qui s'engagent dans une coalition de soutien à Emmanuel Macron doivent être débarqués immédiatement et les candidats LR investis contre eux. Halte à cette ambivalence hypocrite, qui prend nos électeurs pour des imbéciles", a écrit le député LR sur Twitter.
De son côté, le trésorier des Républicains Daniel Fasquelle a publié un communiqué le montrant aux côtés d'Emmanuel Macron pour appuyer son soutien au président-sortant. "Un soutien exigeant et attentif, préalable à un rassemblement autour d'un projet ambitieux pour al France et pour l'Europe", écrit-il.
Deux illustrations de ce qu'affirmait la journaliste de RTL Aurélie Herbemont ce matin à l'antenne : les députés LR sont déjà tiraillé par une possible alliance avec LaREM pour les législatives.
Les candidats @lesRepublicains aux législatives qui s’engagent dans une coalition de soutien à @EmmanuelMacron doivent être débarqués immédiatement et des candidats LR investis contre eux. Halte à cette ambivalence hypocrite, qui prend nos électeurs pour des imbéciles. @ChJacob77
— Julien Aubert (@JulienAubert84) April 22, 2022
🗳 Dimanche parce que l’avenir de notre pays est en jeu, je souhaite apporter mon soutien à @emmanuelmacron. Un soutien exigeant et attentif préalable à un rassemblement autour d’un projet ambitieux pour la France 🇫🇷 et l’Europe 🇪🇺. ➡️Dimanche je vote #Macron #Presidentielle2022 pic.twitter.com/zGp1acqn7a
— Daniel Fasquelle (@DFasquelle) April 22, 2022
Le sondage BVA pour Orange et RTL réalisé après le débat montre un avantage très net pour Emmanuel Macron. "Il est en position très avantageuse, car un écart de 10 points le sépare de Marine Le Pen. Il semblerait donc que, dans les 48 h qui nous séparent du scrutin, même s'il reste des indécis, qu'il soit difficile pour la candidate du RN de combler cet écart. À noter toutefois que c'est un écart qui est bien moindre que celui que l'on observait en 2017" assure Adélaïde de BVA.
Macron a gagné un point et demi par rapport à la semaine dernière : "je ne pense pas que ce soit l'effet débat", déclare Adélaïde. "Le débat n'a pas vraiment fait bouger les lignes.", assure-t-elle, puisqu'il n'y a "pas de différence notable dans les intentions de vote entre ceux qui l'ont regardé et ceux qui ne l'ont pas regardé. Mais c'est plutôt l'effet de la campagne de l'entre-deux-tours où la macronie a cherché à rediaboliser Marine Le Pen, qui, par ricochet, a re-légitimé Emmanuel Macron notamment aux yeux de ceux qui étaient très déçus de ne pas voir leur candidat être qualifié au second tour." explique Adélaïde Zulfikarpasic. Les électeurs de Mélenchon sont une exception, puisque plus d'un sur deux ont décidé de voter blanc ou de s'abstenir dimanche prochain.
Le président sortant tiendra un dernier meeting à Figeac, dans le département rural du Lot qui a voté massivement pour lui il y a cinq ans. La candidate du RN mettra un point final à sa campagne à Abbeville, dans la Somme, ville où elle est arrivée en tête au premier tour devant son adversaire.
À partir de 00h, la campagne prendra fin jusqu'à l'annonce des premières estimations dimanche à 20 heures.
Dans notre dernier sondage BVA pour Orange et RTL, 55% des électeurs de Mélenchon suohaitent voter blanc ou s'abstenir, "un gain de trois points en une semaine", rappelle Isabelle Choquet dans RTL Petit Matin. 27% comptent voter Macron et 18% pour Marine Le Pen.
Environ 1 million 650 000 procurations ont été effectuées pour le second tour.
La prise de fonction du président-sortant risque donc d'être bien plus difficile qu'il y a cinq ans.
Emmanuel Macron est crédité de 55,5% des intentions de vote, contre 44,5% pour Marine Le Pen, Elon notre dernier sondage BVA pour RTL et Orange. Le président sortant gagne 1,5 point en une semaine et creuse davantage l'écart avec sa rivale : plus de dix points les séparent désormais. Cette évolution, selon le sondage, s'explique davantage par la campagne de l'entre-deux-tours que du débat en lui-même. Il n'y a en effet pas de différence significative d’intentions de vote entre ceux qui l’ont regardé et les autres.
Par ailleurs, en cas de réélection, Emmanuel Macron sera en effet confronté à une population divisée, dont une part significative aura voté pour lui par défaut. Alors que la bataille des législatives s’ouvrira, les deux tiers des Français, soit 66%, indiquent que s’il est élu, ils ne souhaitent pas qu’il obtienne une majorité à l’Assemblée nationale, privilégiant une cohabitation.
L'égalité femme-homme est un des sujets qui ont été très peu abordés dans le débat de l'entre-deux-tours. RTL fait le point sur les propositions des candidats sur ce thème.
Invité à débattre face à la ministre Amélie de Montchalin ce vendredi soir sur RTL, Laurent Jacobelli est revenu sur les accusations d'Emmanuel Macron à l'encontre de sa rivale, qu'il juge soumise au pouvoir russe en raison d'un prêt contracté auprès d'une banque du Kremlin. Laurent Jacobelli a alors évoqué "une part de fantasme" et "de mauvaise foi" de la part du président sortant concernant le financement de la campagne de la candidate RN.
Lors du débat de l'entre-deux-tours, les deux finalistes ont évoqué l’Allocation Adulte Handicapé (AAH). Au-delà de cette mesure, RTL vous présente les propositions des candidats sur le handicap.
François Lenglet s'intéresse à la dette française, grande oubliée de la campagne présidentielle. Avec un poids évalué à 116 % du PIB, la question de l’endettement public est pourtant loin d'être anodine.
À partir du 24 avril au soir les Français connaîtront le nom du candidat, ou de la candidate, victorieux de l'élection présidentielle 2022. Mais ce dernier ne prendra véritablement ses fonctions que plusieurs jours plus tard.
"Les candidats LR aux législatives qui s'engagent dans une coalition de soutien à Emmanuel Macron doivent être débarqués immédiatement et les candidats LR investis contre eux. Halte à cette ambivalence hypocrite, qui prend nos électeurs pour des imbéciles", a écrit le député LR sur Twitter.
De son côté, le trésorier des Républicains Daniel Fasquelle a publié un communiqué le montrant aux côtés d'Emmanuel Macron pour appuyer son soutien au président-sortant. "Un soutien exigeant et attentif, préalable à un rassemblement autour d'un projet ambitieux pour al France et pour l'Europe", écrit-il.
Deux illustrations de ce qu'affirmait la journaliste de RTL Aurélie Herbemont ce matin à l'antenne : les députés LR sont déjà tiraillé par une possible alliance avec LaREM pour les législatives.
Les candidats @lesRepublicains aux législatives qui s’engagent dans une coalition de soutien à @EmmanuelMacron doivent être débarqués immédiatement et des candidats LR investis contre eux. Halte à cette ambivalence hypocrite, qui prend nos électeurs pour des imbéciles. @ChJacob77
— Julien Aubert (@JulienAubert84) April 22, 2022
🗳 Dimanche parce que l’avenir de notre pays est en jeu, je souhaite apporter mon soutien à @emmanuelmacron. Un soutien exigeant et attentif préalable à un rassemblement autour d’un projet ambitieux pour la France 🇫🇷 et l’Europe 🇪🇺. ➡️Dimanche je vote #Macron #Presidentielle2022 pic.twitter.com/zGp1acqn7a
— Daniel Fasquelle (@DFasquelle) April 22, 2022
Le discours de victoire dimanche soir sera plus délicat que celui des élections précédentes, tant pour la candidate du RN Marine Le Pen, que le président-sortant, Emmanuel Macron.
Macron au champ de mars, Marine Le Pen avec ses bus de campagne.
Un des éléments de la défaillance démocratique est que "des courants de pensées, qui sont extrêment fort et qui représentent des millions de nos compatriotes ne sont pas correctement représentés à l'Assemblée nationale".
Marine Le Pen a assuré sur Cnews ce matin que Macron "le sait très bien puisque lui-même s'était engagé à mettre en place la proportionnelle, et qu'il a rompu sa promesse".
"Quand on ne veut pas permettre au peuple de s'exprimer, c'est qu'on le craint ou qu'on souhaite le combattre ou le contourner, c'est cela le problème de fond d'Emmanuel Macron", a ajouté la candidate du RN.
De son côté, Macron a réitéré sa volonté d'instaurer la proportionnelle dans son programme 2022.
"Il faudrait une abstention différentielle, c'est-à-dire qu'un certain nombre de personnes aillent s'abstenir dans l'électorat mélenchoniste, mais pas seulement.", pour qu'un sursaut de dernière minute ait lieu et que Marine Le Pen soit élue dimanche 24 avril. "Il faudrait que ce soit beaucoup plus large, qu'il y ait une mobilisation massive dans un électorat qui avait décidé de voter Macron et qui se dit que 'c'est joué, pas besoin de ma voix". En même temps, il faudrait que de son côté, Marine Le Pen retrouve l'intégralité de ses électeurs", explique Olivier Bost sur RTL.
Marine Le Pen a une bien meilleure image qu'Emmanuel Macron, comme "candidate proche des Français, sincère, avec des convictions profondes". En revanche, elle est toujours considérée comme "inquiétante" pour 56% des électeurs, "moins compétente, moins crédible à l'international, moins taillée pour le costume de président". Mais "il faut noter que le débat ne lui a pas fait perdre de points sur tous ces thèmes-là"explique Isabelle Choquet.
Quoiqu'il arrive, elle a réussi à normaliser le Rassemblement national : les 2/3 des Français pensent aujourd'hui que c'est un parti comme les autres et 58% considèrent que c'est un parti d'extrême droite" : c'était 71% en 2017.
"Ça va être compliqué, Emmanuel Macron en est conscient". "Dimanche soir, il doit à la fois avoir un discours victorieux pour se créer une dynamique pour avoir une majorité à l'Assemblée. Il doit aussi construire lui-même une majorité. Il doit également avoir un message rassembleur", explique Olivier Bost.
Jean-Luc Mélenchon tente de continuer son OPA sur l'électorat de gauche et écologiste.", rappelle Marie-Bénédicte Allaire. Mais en faisant ça, Mélenchon "continue à préempter l'électorat de gauche.", explique la journaliste de RTL. Olivier Bost rappelle que Mélenchon avait fait exactement la même chose en 2017, il avait "promis un troisième tour dans les urnes au moment des législatives, et avait prévu un troisième tour dans la rue à la rentrée en septembre 2017, qui n'a pas fonctionné non plus."
"Il y a cinq ans, dans beaucoup de cas de violences conjugales, on ne prenait même pas les plaintes. (...) En 2016, quand j'ai dit que la priorité, c'était le harcèlement et l'insécurité des femmes dans les transports en commun, tout le monde se marrait. (...) tout le monde a dit 'lui, c'est vraiment un charlot"", assure Emmanuel Macron sur France Inter ce matin.
"On mesure mieux puisqu'on a libéré la parole, on forme, on investit dans les forces de l'ordre, on renforce les moyens", explique Macron. Pourtant, d'après le sondage Ifop pour le magazine Elle, Marine Le Pen est jugée "plus féministe" qu'Emmanuel Macron par les électrices interrogées. Ces dernières affirmaient qu'elles faisaient davantage confiance à la candidate du RN qu'à Emmanuel Macron pour lutter contre le harcèlement de rue, contre le sexisme et les violences sexuelles.
"Si on regarde la dynamique de Macron sur les quinze derniers jours dans les sondages, le président-sortant l'emporte dimanche. Si on regarde l'histoire des présidentielles, normalement, Macron l'emporte. Mais si nous restons journalistes ce matin, non, l'élection n'est pas pliée, car une élection reste une élection. (...) Il n'y a pas de vote caché, en revanche, il y a des marges d'erreurs et il peut y avoir des évolutions, comme on l'a vu au premier tour avec le score de Mélenchon et Macron ont été bien plus élevés que les derniers sondages. Il faut toujours rester prudent", explique Olivier Bost sur RTL dans France 2022.
"Ça fait cinq ans que je suis aux côtés de Macron et je l'ai toujours trouvé profondément à l'écoute, notamment à la période du grand débat auprès des mères célibataires", assure-t-elle. "C'est très subjectif le fait de trouver si un tel a été arrogant ou pas. Quand on maîtrise objectivement mieux les dossiers dans un débat face à votre interlocuteur, ça peut donner cette impression", assure-t-elle.
Cohabitation, extrême droite, débat de l'entre-deux-tours, arrogance d'Emmanuel Macron... retrouvez l'interview de Marlène Schiappa sur RTL face Yves Calvi.
"Je suis venue ce matin (dire aux français) que si le peuple vote, le peuple gagne. (...) Je les appelle à ne pas céder aux marchants de peur, aux caricatures qui sont faites et à la brutalité d'Emmanuel Macron face à Marine Le Pen" a-t-il déclaré. "Les Français savent que c'est un choix historique", a assuré Jordan Bardella. "A 48h de l'élection, nous sommes prêts", a-t-il affirmé.
Gratuité des transports pour les jeunes actifs, création d'un nouveau statut pour les animaux, exonérer l'impôt sur le revenu, prêt public à taux zéro, service national du patrimoine, enseignement sportif, versement social à la source, purification d'air... Retrouvez les idées d'Emmanuel Macron et de Marine Le Pen passées sous le radar.
Un total de 1.600.000 procurations enregistrées pour le second tour, se rapprochant des chiffres records de 2017. Il est possible de faire une procuration jusqu'à dimanche matin, jour du vote.
Retrouvez l'entretien du président du RN Jordan Bardella sur RTL et sur RTL.fr.
Le message que portera celle ou celui qui sera élu dimanche 24 avril se devra d'être "subtile et surtout réussi. Tout à la fois victorieux et emprunt de modestie", explique l'éditorialiste RTL Olivier Bost. Ça serait la première victoire de l'extrême droite pour Marine Le Pen, et Emmanuel Macron serait le premier président sortant élu sans cohabitation. Dans les deux, ce sera inédit sous la Ve République. L'un ou l'autre pourra se réjouir d'un exploit historique", assure Olivier Bost.
A-t-elle raté l'occasion mercredi soir d'inverser la tendance lors du débat d'entre-deux-tours ? Le journaliste de RTL Thomas Despré affirme que "Marine Le Pen a lâché les coups en meeting à Arras hier, qu'elle avait retenu mercredi soir face à Emmanuel Macron". "Puisque Emmanuel Macron a voulu réduire ce rendez-vous à un référendum, banco ! La question sera finalement assez simple : Macron ou la France ?". "Une manière d'effacer les critiques après un face à face où certains l'ont trouvé trop gentil", explique Thomas Despré au micro de RTL.
Macron a répondu à distance, déclarant que "ce sont des arguments d'extrême droite" au micro de William Galibert.
Lors du débat de l'entre-deux-tours de ce mercredi 20 avril, Marine Le Pen et Emmanuel Macron ont débattu sur le thème de "l'environnement". Un thème imposé qui n'est pas forcément synonyme "d'écologie".
Marine Le Pen veut encourager les naissances : préférence nationale, politique nataliste... avec un fil rouge : les aides aux familles réservées aux Français. "Quand on lit le programme, on est assez proche de la théorie du grand remplacement", explique Martial You.
Emmanuel Macron est sur une autre ligne : il ne change pas de mode d'attribution des aides aux familles, pas de préférence nationale non plus. Il veut surtout "fournir des bras à notre économie", surtout au moment de la reprise : il souhaite notamment "éviter les carrières hachées chez les femmes" en se penchant donc sur les "modes de garde pour les parents isolés, en promettant de créer 200.000 offres de garde et accorder des aides financières aux communes pour qu'elles ouvrent ces places", explique Martial You.
À moins de deux jours du second tour de la présidentielle, la campagne officielle prend fin ce soir : il s'agit de la période de réserve régie par le Code électoral. Explications.
Le sondage BVA pour Orange et RTL réalisé après le débat montre un avantage très net pour Emmanuel Macron. "Il est en position très avantageuse, car un écart de 10 points le sépare de Marine Le Pen. Il semblerait donc que, dans les 48 h qui nous séparent du scrutin, même s'il reste des indécis, qu'il soit difficile pour la candidate du RN de combler cet écart. À noter toutefois que c'est un écart qui est bien moindre que celui que l'on observait en 2017" assure Adélaïde de BVA.
Macron a gagné un point et demi par rapport à la semaine dernière : "je ne pense pas que ce soit l'effet débat", déclare Adélaïde. "Le débat n'a pas vraiment fait bouger les lignes.", assure-t-elle, puisqu'il n'y a "pas de différence notable dans les intentions de vote entre ceux qui l'ont regardé et ceux qui ne l'ont pas regardé. Mais c'est plutôt l'effet de la campagne de l'entre-deux-tours où la macronie a cherché à rediaboliser Marine Le Pen, qui, par ricochet, a re-légitimé Emmanuel Macron notamment aux yeux de ceux qui étaient très déçus de ne pas voir leur candidat être qualifié au second tour." explique Adélaïde Zulfikarpasic. Les électeurs de Mélenchon sont une exception, puisque plus d'un sur deux ont décidé de voter blanc ou de s'abstenir dimanche prochain.
À Perpignan, le journaliste de RTL Gauthier Delhon-Bugard a interrogé les électeurs de Marine Le Pen à l'issue du débat. "C'est dommage que Marine n'ait pas parlé de tous les problèmes qu'il y a eu avec Macron comme McKinsey" dit une électrice. "Je ne suis pas raciste, mais il y a des choses que je ne supporte plus en France. Avec ma voisine Algérienne, on s'entend super bien (...) ce que je n'aime pas, ce sont les bandes de racailles qui ne foutent rien et qui cassent tout" estime-t-elle.
"Les Français ne sont pas courageux, car ils vont voter Macron", considère un autre électeur. "Le Pen est plus proche des jeunes que Macron" assure un Teddy, 21 ans.
Ces électeurs en sont persuadés : si Macron passe, les gilets jaunes de la région pourraient revenir sur les ronds points.
Le président sortant tiendra un dernier meeting à Figeac, dans le département rural du Lot qui a voté massivement pour lui il y a cinq ans. La candidate du RN mettra un point final à sa campagne à Abbeville, dans la Somme, ville où elle est arrivée en tête au premier tour devant son adversaire.
À partir de 00h, la campagne prendra fin jusqu'à l'annonce des premières estimations dimanche à 20 heures.
Ministre de l'Économie devenu président de la République, Emmanuel Macron a tout d'abord fait carrière dans la finance dans le secteur public avant de se tourner vers le privé.
Dans notre dernier sondage BVA pour Orange et RTL, 55% des électeurs de Mélenchon suohaitent voter blanc ou s'abstenir, "un gain de trois points en une semaine", rappelle Isabelle Choquet dans RTL Petit Matin. 27% comptent voter Macron et 18% pour Marine Le Pen.
Environ 1 million 650 000 procurations ont été effectuées pour le second tour.
La prise de fonction du président-sortant risque donc d'être bien plus difficile qu'il y a cinq ans.
Emmanuel Macron est crédité de 55,5% des intentions de vote, contre 44,5% pour Marine Le Pen, Elon notre dernier sondage BVA pour RTL et Orange. Le président sortant gagne 1,5 point en une semaine et creuse davantage l'écart avec sa rivale : plus de dix points les séparent désormais. Cette évolution, selon le sondage, s'explique davantage par la campagne de l'entre-deux-tours que du débat en lui-même. Il n'y a en effet pas de différence significative d’intentions de vote entre ceux qui l’ont regardé et les autres.
Par ailleurs, en cas de réélection, Emmanuel Macron sera en effet confronté à une population divisée, dont une part significative aura voté pour lui par défaut. Alors que la bataille des législatives s’ouvrira, les deux tiers des Français, soit 66%, indiquent que s’il est élu, ils ne souhaitent pas qu’il obtienne une majorité à l’Assemblée nationale, privilégiant une cohabitation.
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