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Donald Trump, le 26 août 2019
Crédit : Nicholas Kamm / AFP
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Donald Trump ne ménage pas sa peine pour tirer à boulets rouges depuis une semaine sur le camp démocrate. Jamais avare de phrases cinglantes, ses diatribes sont aussi destinées à discréditer la procédure de destitution lancée par ses adversaires politiques. Une affaire plus que sérieuse, que le président américain a qualifié de "coup d'État" mardi 1er octobre.
"J'en arrive à la conclusion que ce qui est en train de se passer n'est pas un 'impeachment', c'est un COUP D'ÉTAT, visant à prendre le pouvoir du peuple, son vote, ses libertés, son deuxième amendement (de la Constitution), sa religion, son armée, son mur à la frontière, et les droits qui lui ont été donnés par Dieu en tant que citoyen des États-Unis d'Amérique !", a-t-il tempêté dans des propos rapportés par l'AFP.
Mardi 24 septembre, la présidente démocrate de la chambre des représentants, Nancy Pelosi, a indiqué qu'une procédure de destitution avait été lancée à l'encontre de Donald Trump. Il lui est reproché d'avoir demandé à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, lors d'une conversation téléphonique il y a deux mois, d'enquêter sur l'ancien vice-président Joe Biden, bien placé pour porter les couleurs démocrates en 2020.
Le lendemain, la retranscription de la conversation entre les deux chefs d'État a achevé d'opposer les deux camps. Si la Chambre, aux mains de l'opposition, vote la mise en accusation ("impeachment") du milliardaire, il reviendra ensuite au Sénat, à majorité républicaine, de le juger.
Police - Des milliers de policiers manifestent ce mercredi 2 octobre dans la rue à Paris. Pour la première fois depuis 20 ans, l'ensemble des syndicats appellent à une marche de la colère alors que 50 policiers se sont donnés la mort depuis le début de l'année.
Incendie de Rouen - 2.000 personnes ont manifesté hier soir à Rouen. 5 jours après l'incendie de l'usine Lubrizol, la Préfecture a publié la liste des produits qui ont brûlé, mais une partie de la population reste inquiète. Une quarantaine de plaintes ont été déposées.
Funérailles de Jacques Chirac- Une vidéo virale montre une discussion entre François Hollande et Carla Bruni où cette dernière semble choquée par l'ancien Président. Il explique en fait qu'il parlait de la santé de Bernadette Chirac, absente à la messe à Saint-Sulpice.
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