Dans un dossier criminel, un solide alibi suffit généralement à innocenter un suspect. Sauf si une trace ADN vient jouer les trouble-fête et est alors la preuve incontestable d'une culpabilité. Que retenir alors, l'alibi ou l'ADN ? C'est ce dilemme qui est au cœur de l'affaire Marinescu...
Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 20 juin 2022