TRUMP remporte son deuxième "swing state" avec la géorgie
Deuxième coup dur pour Harris. Selon la CNN, la Géorgie et ses 16 électeurs viennent d'être remportés par le républicain.
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Deuxième coup dur pour Harris. Selon la CNN, la Géorgie et ses 16 électeurs viennent d'être remportés par le républicain.
Avec la Caroline du Nord, le candidat républicain remporte le premier "swing state". Le chemin vers la Maison-Blanche se rétrécit pour Kamala Harris.
AP Race Call: Donald Trump wins the presidential battleground state of North Carolina, receiving the state's 16 electoral votes for the Republicans. https://t.co/vNyURdNHtn pic.twitter.com/4iWm8TxjzQ
— The Associated Press (@AP) November 6, 2024
Kamala Harris a appelé Donald Trump mercredi pour le féliciter de sa victoire à l'élection présidentielle, a indiqué un conseiller de la candidate démocrate.
La vice-présidente, qui avec cet appel reconnaît sa défaite, a évoqué avec le futur président l'importance d'une passation pacifique du pouvoir et d'être un président pour tous les Américains, a ajouté ce conseiller qui s'est exprimé sous couvert de l'anonymat.
En 2016, les sondages américains n’avaient pas anticipé la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle face à Hillary Clinton. En 2020, ils avaient annoncé une large victoire de Joe Biden, surestimant ainsi l’avance avec laquelle il a finalement battu le président sortant.
Cette année encore, les sondages ont surestimé les intentions de vote pour la candidate démocrate.
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Emmanuel Macron et le président américain fraîchement élu, Donald Trump, ont échangé au téléphone ce mercredi 6 novembre, a annoncé l'Élysée. Les deux chefs d'État ont notamment affirmé leur volonté "d'œuvrer au retour de la paix et de la stabilité".
La vice-présidente et candidate démocrate Kamala Harris s'exprimera mercredi à 22h (heure française) à Washington après la victoire de son rival Donald Trump, selon un communiqué de son bureau.
Il s'agit de la première allocution de Kamala Harris depuis l'annonce dans la nuit de mardi à mercredi de sa défaite sans appel face au républicain dans la course à la Maison Blanche.
Moscou jugera Donald Trump sur ses "actes", en particulier concernant l'éventuelle diminution du soutien américain à l'Ukraine. Un espoir caressé par certains Russes mercredi après la victoire électorale du milliardaire.
"Nous avons répété à maintes reprises que les États-Unis étaient en mesure de permettre la fin de ce conflit" et Donald Trump sera jugé "sur des actes concrets", a relevé le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
Selon lui, ce sont les Etats-Unis qui "alimentent ce conflit" car ils fournissent armes et argent à l'Ukraine depuis que la Russie s'est lancée à l'assaut de ce pays voisin le 24 février 2022.
La Chine a félicité mercredi Donald Trump pour sa victoire à la présidentielle américaine, par la voix du ministère des Affaires étrangères.
"Nous respectons le choix du peuple américain et adressons nos félicitations à M. Trump pour son élection à la présidence" américaine, ont écrit les Affaires étrangères chinoises dans un communiqué.
Dans les rues ukrainiennes, le pessimisme est le maître-mot mercredi. Car la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine risque de plomber l'aide à l'Ukraine, dont l'armée recule déjà, jour après jour, face aux Russes.
Ces derniers mois, le milliardaire américain a martelé pouvoir imposer une paix en Ukraine en "24 heures", sans jamais expliquer comment, mais en décriant l'ampleur de l'aide versée à Kiev.
"Il n'y aura plus de soutien" américain, redoute une Ukrainienne à Marioupol, en référence aux dizaines de milliards de dollars d'aide militaire et financière que Washington et les membres de l'Otan ont fourni depuis le début de la guerre en 2022
Congratulations to @realDonaldTrump on his impressive election victory!
— Volodymyr Zelenskyy / Володимир Зеленський (@ZelenskyyUa) 6 novembre 2024
I recall our great meeting with President Trump back in September, when we discussed in detail the Ukraine-U.S. strategic partnership, the Victory Plan, and ways to put an end to Russian aggression against…
Tout au long de la campagne présidentielle, Elon Musk n'a pas arrêté de soutenir Donald Trump, allant jusqu'à investir des millions de dollars. Après son élection, ce pari devrait être gagnant pour le milliardaire.
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Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a félicité mercredi Donald Trump pour sa victoire à la présidentielle américaine, insistant sur l'importance de la "coopération" entre les États-Unis et les Nations unies.
"Les Nations unies sont prêtes à travailler de façon constructive avec la prochaine administration pour faire face aux défis dramatiques de notre monde", a déclaré le chef de l'ONU dans un communiqué, alors que les relations avaient été compliquées lors du premier mandat du républicain à la Maison Blanche.
Avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, l'Europe redoute d'être la cible d'un durcissement des droits de douane américains et tente de surmonter ses divisions pour trouver une réponse commune. Le président élu n'en a pas fait mystère pendant sa campagne: il veut prendre des mesures pour inciter les entreprises à relocaliser leur production aux États-Unis.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé qu'il avait "échangé" avec le chancelier allemand Olaf Scholz après l'élection de Donald Trump. "Nous allons œuvrer pour une Europe plus unie, plus forte, plus souveraine dans ce nouveau contexte", a-t-il affirmé sur le réseau social X.
D'un autre côté, le retour de Donald Trump à la Maison Blanche va dans le sens des intérêts d'Israël, selon plusieurs experts. Après son élection en 2016, le président Trump avait multiplié les gestes en faveur d'Israël.
Alors que le pays est en guerre depuis plus d'un an, et a connu des revers diplomatiques, "la victoire de M. Trump renforce M. Netanyahu", affirme Mairav Zonszein, spécialiste d'Israël pour l'International Crisis Group (ICG), expliquant que les deux dirigeants partagent des manières politiques "similaires".
Elle note également que "l'extrême droite et la droite des colons" saluent ce résultat, imaginant déjà le retour d'une politique américaine en faveur des colonies de Cisjordanie. À l'international, des analystes estiment que Trump favorisera les intérêts d'Israël.
Dear Donald and Melania Trump,
— Benjamin Netanyahu - בנימין נתניהו (@netanyahu) November 6, 2024
Congratulations on history’s greatest comeback!
Your historic return to the White House offers a new beginning for America and a powerful recommitment to the great alliance between Israel and America.
This is a huge victory!
In true friendship,… pic.twitter.com/B54NSo2BMA
"Aujourd'hui je ne m'appelle pas Alfonso, j'ai l'impression de m'appeler Winston Smith du roman 1984", déclare cet auditeur en référence au livre dystopique de George Orwell. "C'est une tragédie".
"Je pense qu'il faut préciser que je suis mexicain-américain, ajoute-t-il. Il y a 8 ans Donald Trump n'arrêtait pas d'insulter les latinos, c'est une question de rester digne et je ne peux pas voter pour quelqu'un qui exècre les latinos, c'est pas possible."
Corrinne, électrice de Donald Trump, dit avoir voté pour lui en considérant son programme sur le pouvoir d'achat et l'immigration. Le programme du Républicain sur ce dernier sujet est très conservateur pourtant, le sentiment populaire ne semble pas être confirmé par le réel.
"Les chiffres (de l'immigration) n'ont jamais été aussi bas, on parle des chiffres du mandat Biden", estime Lauric Henneton. "Donald Trump n'a rien contre l'immigration légale, et c'est pour ça que beaucoup d'Hispaniques votent Républicain, parce qu'ils ont du faire tout le chemin de croix pour devenir citoyen et ils ont la perception que ce n'est pas le cas pour d'autres."
Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, a félicité mercredi Donald Trump, élu plus tôt dans la journée président des États-Unis, et a dit souhaiter "travailler ensemble" sur l'économie et la sécurité.
"L'amitié entre le Canada et les États-Unis fait envie au monde entier. Je sais que le président Trump et moi-même travaillerons ensemble pour plus d'opportunités, de prospérité, et de sécurité pour nos deux nations", a écrit Justin Trudeau dans une publication sur le réseau social X, accompagnée d'une photo où il discute avec Donald Trump.
"Ce n'est jamais déterminant quand le candidat est fort et le contexte est porteur", estime Lauric Henneton.
Marion, une auditrice électrice de Kamala Harris, assure que les prises de positions de stars comme Taylor Swift n'ont pas joué sur son choix : "C'est plus la jeune population, je pense que la plupart des Américains ça ne les influence pas".
Corrinne, électrice de Donald Trump répond "on s'est aperçu que les Américains ne sont pas des moutons (...) gardez vos opinions pour vous".
Donald Trump est visé par plusieurs enquêtes judiciaires aux États-Unis. Que va-t-il advenir de ces procédures ? "Il a une liste d'ennemis dont il veut régler le compte, il ne pourra pas parce qu'il y a un état de droit, mais il veut régler ses comptes", estime Lauric Henneton, maître de conférences à l'Université de Versailles-Saint-Quentin.
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a félicité Donald Trump pour sa victoire à l'élection présidentielle américaine, se disant "convaincu que les États-Unis soutiendront les aspirations légitimes" des Palestiniens.
M. Abbas "a exprimé son aspiration à travailler avec le président Trump pour la paix et la sécurité dans la région, soulignant l'engagement du peuple palestinien en faveur de la liberté, de l'autodétermination et de la souveraineté de l'État, conformément au droit international", a indiqué dans un communiqué la présidence palestinienne.
A la suite de la victoire de Donald Trump dans la course à la Maison Blanche, le Premier ministre français Michel Barnier a mis en garde les Européens.
"La tentation ne (doit) pas être au chacun pour soi ni aux relations bilatérales, mais bien à une stratégie européenne coordonnée", a affirmé M. Barnier lors du Conseil des ministres, selon la représentante du gouvernement Maud Bregeon, dans son compte-rendu à la presse.
Marine Le Pen est-elle la Donald Trump française ? "Non pas du tout, le système électoral français est très différent", répond Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national.
"Ce qui est intéressant (...) c'est que Donald Trump parle de la puissance des nations, de l'autonomie stratégique, de reprendre en main son destin, et que les états soient des alliés pas des clients", énumère-t-il.
"C'est un candidat qui défend l'intérêt des Américains", au contraire d'Emmanuel Macron selon lui, qui "ne défend pas l'intérêt des Français, il défend l'intérêt des européens".
Dominique Moisi est géopolitologue et conseiller spécial de l’Institut Montaigne. Selon lui s'ouvre "une nouvelle phase de l'Histoire de l'Amérique et du monde". "Joe Biden est resté candidat trop tardivement" et n'a pas laissé assez de temps à Kamala Harris pour se faire connaître.
Cette dernière n'a pas su convaincre l'ensemble de l'électorat d'ordinaire acquis aux Démocrates. "Les femmes se sont mobilisée pour Kamala Harris, les hommes se sont mobilisés pour Donald Trump et même des minorités : les Hispaniques (...), et une partie du vote noir masculin", analyse-t-il.
Le Hamas, en guerre contre Israël dans la bande de Gaza, a affirmé qu'il jugera le nouveau président américain Donald Trump en fonction de sa politique à l'égard des Palestiniens.
"Notre position vis à vis de la nouvelle administration américaine dépendra de ses positions et de son comportement dans la pratique envers le peuple palestinien, ses droits légitimes et sa juste cause", a dit le mouvement islamiste palestinien dans un communiqué.
Céline Landreau et Eric Brunet présentent cette édition spéciale de RTL Midi dédiée à l'élection présidentielle américaine.
"Les USA ne pouvaient pas choisir la gauche : il n’y en avait pas", résume le leader de la France insoumise. "Quand il n’y a plus de gauche, il n’y a pas de limite à droite. Quand il n’y a pas de bataille de programme, l’élection devient un casting. La victoire de Trump est la conséquence imparable de cette situation."
Au sujet de l'impact de cette élection sur les relations internationales, "le monde va monter en tension", estime-t-il.
Les USA ne pouvaient pas choisir la gauche : il n’y en avait pas.
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) November 6, 2024
Quand il n’y a plus de gauche, il n’y a pas de limite à droite. Quand il n’y a pas de bataille de programme, l’élection devient un casting. La victoire de Trump est la conséquence imparable de cette situation.…
Le candidat républicain à la Maison Blanche vient d'obtenir les quelques voix nécessaires pour dépasser les 270 grands électeurs : selon une projection d'Associated Press, il obtient ainsi grâce au vote du Wisconsin 277 grands électeurs - contre 224 pour Kamala Harris.
Dans la matinale Philippe Caverivière et Alex Vizorek sont revenus sur la présidentielle américaine, qui place jusqu'à présent Donald Trump en tête.
Donald Trump est toujours largement en tête de la course à la Maison Blanche, mais Kamala Harris vient d'obtenir 10 grands électeurs de plus. Elle atteint les 224 voix.
Le Kremlin a indiqué que le président russe Vladimir Poutine ne prévoyait pas de féliciter Donald Trump qui a revendiqué sa victoire aux élections américaine, précisant que ce dernier serait jugé sur ses "actes".
"Je ne sais rien d'un projet du président (russe) de féliciter Trump pour l'élection. N'oublions pas que nous parlons d'un pays hostile qui est directement et indirectement impliqué dans une guerre contre notre État", a dit le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Le duel entre Donald Trump et Kamala Harris se joue dans les États-clés. Pour l'emporter, un candidat doit obtenir au moins 270 des 538 grands électeurs attribués au niveau des États.
"Félicitations à Donald Trump, élu 47ème président des États-Unis d’Amérique au terme d’une bataille électorale extraordinairement dure", a écrit sur X le président du Rassemblement national, Jordan Bardella.
"Puisque Donald Trump nous invite à nous défendre par nous-mêmes, prenons-le au mot.", ajoute-t-il faisant allusion au programme souverainiste du RN. "Nous devons maintenant prendre notre destin en main.
Personne ne le fera pour nous."
Félicitations à Donald Trump, élu 47ème président des Etats-Unis d’Amérique au terme d’une bataille électorale extraordinairement dure.
— Jordan Bardella (@J_Bardella) November 6, 2024
Pour nous, Français et Européens, cette élection américaine doit sonner comme un réveil. Elle doit être l'occasion de repenser notre rapport à…
Donald Trump est donné largement en tête du scrutin l'opposant à Kamala Harris dans la course à la Maison Blanche, mais quelles sont les prochaines échéances ? Quand aura-t-on les résultats officiels ? Réponses avec notre correspondant aux États-Unis Arnaud Tousch ⤵️
Pour devenir président, le candidat doit remporter 270 grands électeurs. Certains États permettent de gagner plus de grands électeurs que d'autres, c'est pourquoi on parle d'états-clés. Arnaud Tousch, correspondant de RTL aux États-Unis, fait le point ⤵️
"La démocratie américaine s’est clairement exprimée et les Américains se sont donné en toute liberté le président qu’ils ont choisi", estime la députée du Rassemblement national, quelques minutes après la réaction du porte-parole du parti Sébastien Chenu sur RTL.
J’adresse mes vœux de succès à Donald Trump pour sa nouvelle présidence à la tête des États-Unis.
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) November 6, 2024
La démocratie américaine s’est clairement exprimée et les Américains se sont donné en toute liberté le président qu’ils ont choisi.
Cette nouvelle ère politique qui s’ouvre doit…
Le député et porte-parole du Rassemblement national félicite sur RTL "les Américains" pour l'élection. "Les Américains ne sont pas des Français qui parlent anglais, ils ont une conception différente des choses", martèle-t-il. "Trump a davantage convaincu que Kamala Harris. (...) Je n'ai pas de raison de me réjouir ou d'être déçu, un Président américain défend les intérêts des Américains."
Donald Trump va-t-il devenir un dictateur ? Ou tendre la main aux Démocrates ? Bénédicte Tassart, chef du service étranger de RTL, répond à cette question ⤵️
Marie-Cécile Naves, directrice de recherche à l’institut des relations internationales et stratégiques (Iris) , autrice de Trump, la revanche de l’homme blanc paru chez Textuel aborde le sujet des relations internationales.
"La Chine, la Russie et le gouvernement Netanyahou se frottent les mains", estime-t-elle. "Donald Trump a une vision transactionnelle des relations internationales, en fonction des ses intérêts et des intérêts des entreprises Trump (...) Un adversaire peut devenir un allié, et un allié peut devenir un adversaire."
Après Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky c'est au tour de Narendra Modi, le premier ministre indien de prendre la parole.
Ce dernier adresse sur X ses "félicitations du fond du cœur" à son "ami" Donald Trump pour sa "victoire électorale historique" à la présidentielle américaine. "Je me réjouis de renouveler notre collaboration pour renforcer encore le (...) partenariat global et stratégique" entre l'Inde et les États-Unis, ajoute-t-il.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer félicite aussi Trump pour sa "victoire électorale historique".
Le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte a également saluer le score de Donald Trump, assurant que son retour à la Maison Blanche aidera l'Alliance atlantique à rester "forte".
"Son leadership sera à nouveau un élément clé pour garder notre Alliance forte. J'ai hâte de travailler avec lui à nouveau pour faire progresser la paix en renforçant l'Otan", a déclaré Mark Rutte dans un communiqué.
Heartiest congratulations my friend @realDonaldTrump on your historic election victory. As you build on the successes of your previous term, I look forward to renewing our collaboration to further strengthen the India-US Comprehensive Global and Strategic Partnership. Together,… pic.twitter.com/u5hKPeJ3SY
— Narendra Modi (@narendramodi) November 6, 2024
Le Président ukrainien qualifie la victoire probable de Trump d'"impressionnante" dans le contexte de la guerre qui oppose la Russie et l'Ukraine depuis plus de trois ans. Volodymyr Zelensky évoque sa rencontre avec le candidat républicain en septembre dernier et espère qu'il appliquera les conclusions de leurs échanges, une "stratégie de paix par la force".
Congratulations to @realDonaldTrump on his impressive election victory!
— Volodymyr Zelenskyy / Володимир Зеленський (@ZelenskyyUa) November 6, 2024
I recall our great meeting with President Trump back in September, when we discussed in detail the Ukraine-U.S. strategic partnership, the Victory Plan, and ways to put an end to Russian aggression against…
À la suite des premiers résultats de l'élection présidentielle américaine qui donnent Donald Trump gagnant, Emmanuel Macron annonce avoir échangé avec le chancelier allemand. "Nous allons œuvrer pour une Europe plus unie, plus forte, plus souveraine dans ce nouveau contexte", écrit-il sur X.
Je viens d’échanger avec le chancelier @OlafScholz. Nous allons œuvrer pour une Europe plus unie, plus forte, plus souveraine dans ce nouveau contexte. En coopérant avec les États-Unis d’Amérique et en défendant nos intérêts et nos valeurs.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 6, 2024
Le premier ministre israélien, qui mène la guerre à Gaza et au Liban depuis plus d'un an au nom du pays allié historique des États-Unis, s'est félicité sur X des résultats électoraux de Donald Trump. "Votre retour historique à la Maison Blanche offre un nouvelle naissance pour les États-Unis et un puissant réengagement dans la grande alliance entre Israël et les États-Unis."
Dear Donald and Melania Trump,
— Benjamin Netanyahu - בנימין נתניהו (@netanyahu) November 6, 2024
Congratulations on history’s greatest comeback!
Your historic return to the White House offers a new beginning for America and a powerful recommitment to the great alliance between Israel and America.
This is a huge victory!
In true friendship,… pic.twitter.com/B54NSo2BMA
Le député européen Place Publique, tête de liste aux dernières élections européennes, a réagi sur X aux résultats de l'élection présidentielle américaine. "Nous sommes désormais, en Europe, seuls face à notre destin. À nous de montrer ce que nous sommes et aspirons à être.", écrit-il en introduction d'un plus long communiqué.
L’élection de Trump est l’un de ces moments de bascule qui façonnent l’Histoire.
— Raphael Glucksmann (@rglucks1) November 6, 2024
Nous sommes désormais, en Europe, seuls face à notre destin.
À nous de montrer ce que nous sommes et aspirons à être. pic.twitter.com/UxUl1ZuOKA
Sylvie Bermann, diplomate, ancienne conseillère à la mission permanente de la France auprès de l'Organisation des Nations unies à New York (1992-1996), et Anne Deysine, juriste et américaniste, professeure émérite de droit et de civilisation américaine à l'Université Paris-Nanterre, sont les invitées de Amandine Bégot.
Félicitations Président Donald Trump. Prêt à travailler ensemble comme nous avons su le faire durant quatre années. Avec vos convictions et avec les miennes. Avec respect et ambition. Pour plus de paix et de prospérité.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 6, 2024
Le fondateur du parti "Union des droites" qui a fait alliance avec le Rassemblement national pendant les dernières législatives salue les résultats électoraux de Donald Trump. "Un chemin pour les droites en France comme en Europe. Jusqu’à la victoire.", projette-t-il.
Félicitations à @realDonaldTrump nouveau président des États-Unis.
— Eric Ciotti (@eciotti) November 6, 2024
Magnifique victoire du peuple américain contre un système.
Un espoir pour la paix, une défaite des wokistes.
Un chemin pour les droites en France comme en Europe. Jusqu’à la victoire. pic.twitter.com/kT1jBJDPel
Minorités, femmes, personnalités LGBTQ+, protection de l'environnement et lutte contre le réchauffement climatique... "C'est un désastre", réagit Bob Vallier, porte-parole des “Democrats abroad France” (les Démocrates de l'étranger en France). "L'Amérique a choisi la haine", conclut-il.
"La démocratie a parlé, il faut passer à autre chose", lui répond Isaac Barchichat, vice-président du parti républicain en France.
Isaac Barchichat, vice-président du parti républicain en France et Bob Vallier, porte-parole des “Democrats abroad France” (les Démocrates de l'étranger en France) sont les invités de RTL.
Anne Deysine, juriste et professeur à Paris X (Nanterre-Université) note que Donald Trump ne cite pas le nom du parti républicain dans sa prise de parole. "On parle de mouvement MAGA ("make America great again)", analyse-t-elle.
"Merci beaucoup", commence le candidat Républicain à la Maison Blanche. "Nous allons aider à panser les plaies de notre pays, nous avons un pays qui a besoin d'aide et de soutien. On va rétablir nos frontières, réparer notre pays."
"C'est une victoire politique que personne n'a jamais vue, je veux remercier le peuple américain qui m'a permis d'être le 45e mais aussi le 47e Président des États-Unis (...) Tous les jours je me battrai pour vous."
Le candidat Républicain qui s'apprête à prendre la parole vient d'obtenir 19 votes de grands électeurs supplémentaires, avec l'État-clé de Pennsylvanie. Il est largement en tête devant Kamala Harris qui elle obtient 214 votes.
La professeur à Paris X (Nanterre) ne se dit "pas tellement surprise". "Les états ont bien assuré la sécurité physique du vote et l'intégrité du vote", se félicite-t-elle. "Les chiffres sont exacts et c'est une bonne nouvelle (...) Si Harris avait été élue il y aurait eu des mois de contentieux et ça aurait été peut-être devant la Cour Suprême".
"Une majorité d'Américains veulent de Donald Trump au pouvoir et il faut se demander pourquoi", estime-t-elle.
Écoutez l'édito d'Étienne Gernelle, directeur de l'hebdomadaire Le Point ⤵️
La porte-parole du gouvernement souhaite "attendre les résultats définitifs" avant de réagir précisément aux résultats de l'élection. Elle ajoute que "le Président Emmanuel Macron aura l'occasion de s'exprimer".
Les résultats doivent jusqu'ici nous alerter sur "la crédibilité de la parole publique", conclut-elle, assurant que "notre bouclier c'est l'Europe".
Le candidat Républicain à la Maison Blanche a remporté les 30 grands électeurs de Floride et est en tête dans la course qui l'oppose à Kamala Harris. Il doit prendre la parole d'ici quelques minutes.
La diplomate Sylvien Bermann, invitée de RTL, estime que la présidentielle américaine était "un référendum pour Trump" : "soit on l'aime, soit on le déteste".
Il a sillonné le territoire américain depuis le 10 octobre dans son camping. Écoutez Richard Verly, journaliste franco-suisse.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, inconditionnel soutien de Donald Trump, s'est réjoui mercredi des premiers résultats de l'élection présidentielle américaine.
"En route vers une belle victoire", a-t-il écrit sur Facebook, apparaissant devant un écran de télévision affichant le comptage des voix aux États-Unis.
Le dirigeant nationaliste ne cache pas son admiration pour son "ami" Donald Trump, qu'il a déjà rencontré à deux reprises cette année et qu'il soutient depuis 2016.
La candidate démocrate obtient les votes de 4 grands électeurs de plus, Donald Trump est toujours en tête.
Le fameux "Star Spangled Banner" est devenu officiellement l'hymne des Etats-Unis en 1931. Et pourtant, son texte comme sa musique existaient depuis très longtemps, précisément depuis 1814 pour les paroles qui ont été écrites par Francis Scott Key.
Les citoyennes et citoyens votaient également pour une dizaine d'élections locales. C'est ainsi que les Républicains ont repris le contrôle du Sénat jusqu'ici aux mains des Démocrates. Le contrôle de la Chambre des représentants n'est pas encore connu.
Deuxième coup dur pour Harris. Selon la CNN, la Géorgie et ses 16 électeurs viennent d'être remportés par le républicain.
Melania Trump a partagé sur X une photo de Baron Trump, le fils de l'ancien président, votant pour la première fois
Voted for the first time - for his dad! #18yearsold #presidentialelection #proud pic.twitter.com/kTzMFNn1AS
— MELANIA TRUMP (@MELANIATRUMP) November 6, 2024
Les premiers résultats de l'élection présidentielle américaine donnent l'avantage pour l'instant à Donald Trump. Tout va se jouer sur les États-clés du "mur bleu" : le Wisconsin, la Pennsylvanie et le Michigan, comme en 2016 et en 2020.
En 2020, Joe Biden l'avait emporté sur Donald Trump en s'imposant en Pennsylvanie, dans le Wisconsin, dans le Michigan, mais aussi en Géorgie, en Arizona et dans le Nevada.
Le républicain s'était en revanche imposé dans le fameux "mur bleu" en 2016, quand il avait défait la démocrate Hillary Clinton.
Le "mur bleu" sera une fois de plus la clé du scrutin. La directrice de campagne de Kamala Harris a que le "chemin le plus clair" pour l'emporter passait par le Wisconsin, la Pennsylvanie et le Michigan, soit seulement trois Etats clés sur les sept en jeu.
"Nous avons toujours su que notre chemin le plus clair vers les 270 grands électeurs passe par les Etats du mur bleu. Nous sommes contents de ce que nous y voyons", assure-t-elle.
Avec la Caroline du Nord, le candidat républicain remporte le premier "swing state". Le chemin vers la Maison-Blanche se rétrécit pour Kamala Harris.
AP Race Call: Donald Trump wins the presidential battleground state of North Carolina, receiving the state's 16 electoral votes for the Republicans. https://t.co/vNyURdNHtn pic.twitter.com/4iWm8TxjzQ
— The Associated Press (@AP) November 6, 2024
Kamala Harris a remporté mardi, sans surprise, la Californie et ses 54 grands électeurs, tandis que Donald Trump l'emporte dans deux autres Etats, l'Idaho et l'Iowa, selon les projections des médias américains.
Ces nouvelles victoires portent le total de grands électeurs à 211 pour l'ancien président républicain et 145 pour la vice-présidente démocrate. Il en faut 270 pour remporter l'élection présidentielle américaine.
La démocrate Sarah McBride est devenue mardi la première personne transgenre élue au Congrès américain, où elle représentera son Etat du Delaware. La femme de 34 ans, qui siégeait au sénat local de ce petit Etat du nord-est des Etats-Unis, va entrer à la Chambre des représentants
"Pour l'instant, tout se déroule comme prévu", estime l'historien des États-Unis Tristan Cabello. "Je note quand même que Donald Trump fait un bon score en Floride. Il augmente son score par rapport à 2020 et à 2016. Et surtout, il augmente son score dans le comté de Miami-Dade. C'est là où il y a Miami. qui est en général un comté plutôt progressiste et qui vote beaucoup démocrate.
La police du comté de Fulton, à Atlanta, principale ville de cet Etat, a fait état en fin de journée de 32 alertes à la bombe, dont 27 rapidement jugées fausses et cinq donnant lieu à de brèves fermetures de bureaux de vote.
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Out of 177 polling places in Georgia’s Fulton County, 32 faced bomb threats on Election Day. Police Chief W. Wade Yates confirmed only five locations had brief evacuations before safely resuming voting. pic.twitter.com/yK1HkEaFWY
— The Associated Press (@AP) November 6, 2024
Donald Trump a remporté mardi quatre nouveaux Etats dans la course à la présidentielle américaine, dont comme attendu le gros lot du Texas.
Aux États-Unis, le président est élu au suffrage universel indirect, via un collège électoral. Une particularité américaine.
Pour le moment, aucun candidat n'a été donné vainqueur dans un Etat clé pouvant basculer tant d'un côté que de l'autre, et donc décisif pour le résultat final de l'élection. "Il n'y a pas de surprise pour l'instant", selon notre correspondant à New York, Arnaud Tousch.
Les votes par correspondance représentent une part importante de l'électorat américain. Au moment de connaître le futur président des États-Unis, ceux-ci peuvent toutefois causer du retard.
Voici les Etats déjà remportés par la démocrate Kamala Harris (27) :
Maryland (10)
Massachusetts (11)
Vermont (3)
Washington DC (3)
Selena Gomez is urging voters who are waiting in long lines on Election Day to remain in line, saying: "We need your voice and vote for your future." pic.twitter.com/zFgqFIZBE8
— AP Entertainment (@APEntertainment) November 6, 2024
Voici les Etats déjà remportés par le républicain Donald Trump (99) :
Alabama (9)
Caroline du Sud (9)
Floride (30)
Indiana (11)
Kentucky (8)
Missouri (10)
Oklahoma (7)
Tennessee (11)
Virginie-Occidentale (4)
Avec les victoires largement attendues des deux candidats dans ces Etats, l'ancien président républicain Donald Trump accumule un total de 90 grands électeurs, contre 27 pour la vice-présidente démocrate Kamala Harris. Il en faut 270 pour remporter l'élection présidentielle américaine.
Donald Trump a remporté mardi les Etats de la Floride, du Missouri, de l'Oklahoma, de l'Alabama et du Tennessee, tandis que Kamala Harris l'emporte dans le Maryland et le Massachusetts ainsi que dans la capitale Washington, selon les projections des médias américains.
La Pennsylvanie fait partie des sept États-clés qui auront une influence majeure dans l'issue du scrutin de la présidentielle américaine. Dans cet État, les enjeux du vote sont multiples et les candidats l'ont bien compris.
Retour sur l'histoire de ces deux symboles, nés de caricatures et de rivalités politiques, qui continuent de marquer l'imaginaire collectif.
Donald Trump est donné vainqueur mardi dans l'Etat conservateur de Virginie-Occidentale, qu'il avait déjà remporté en 2016 et 2020, selon les projections des médias CNN et NBC.
Cette victoire lui permet de mener la course avec 23 grands électeurs.
Les victoires dans ces trois Etats, qui étaient attendues, apportent 19 grands électeurs à Donald Trump et 3 pour Kamala Harris. Il en faut 270 pour remporter l'élection présidentielle américaine.
Donald Trump ou Kamala Harris ? Rien ne garantit que le nom du vainqueur soit connu dans la nuit.
Les bureaux de vote ont fermé mardi à 19h (heure locale) dans six premiers Etats de l'est des Etats-Unis, pour une élection présidentielle américaine sous haute tension qui voit s'affronter le républicain Donald Trump et la démocrate Kamala Harris.
Bob habite Miami et est un supporter convaincu de Donald Trump qui pense que Kamala Harris et Joe Biden ont "trahi l'Amérique".
Olivier Piton est avocat à Washington DC, et auteur de Kamala Harris, la conquérante (Plon)
Sur RTL, il rappelle que "jamais les sondages n'avaient été aussi proches" entre les deux candidats. "Ce n'est pas absolument pas joué", estime-t-il.
Voici l'heure de fermeture des bureaux de vote des "swing states" (heure de Paris) :
Géorgie : 01:00
Caroline du Nord : 01:30
Floride : 02:00 (même si la majeure partie de l'État fermera à 01:00)
Pennsylvanie : 02:00
Michigan : 03:00 (même si la majeure partie de l'État fermera à 02:00)
Arizona : 03:00
Minnesota : 03:00
Nouveau-Mexique : 03:00
Wisconsin : 03:00
Nevada : 04:00
Dès 00h30, les journalistes RTL seront présents pour vous donner les premiers résultats. À chaque moment marquant de la nuit, les envoyés spéciaux de RTL aux États-Unis analyseront en direct les résultats et les éléments essentiels du vote.
Tout au long de la nuit, le spécialiste RTL de la musique américaine jouera les plus grands classiques du rock, de la country et de la pop américaine pour une immersion 100 % USA.
Exceptionnellement, RTL Petit Matin débutera dès 4h pour trois heures d'information et de bonne humeur, suivi par RTL Matin, avec de nombreux reportages, analyses et décryptages de leurs invités.
Donald Trump a évoqué mardi des "rumeurs" selon lesquelles les opérations de vote à Philadelphie étaient parasitées par des "fraudes massives", sans apporter la moindre preuve à ces accusations, démenties par les autorités.
Les candidats aux élections américaines, dont les bureaux de vote ont ouvert mardi, ont battu le record de levée de fonds, amassant au total 15,9 milliards de dollars, selon l'organisation OpenSecrets qui a compilé les données. Il dépasse le précédent record établi en 2020, qui était de 15,1 milliards de dollars dépensés. C'est aussi plus du double du cycle électoral de 2016, lors duquel 6,5 milliards de dollars avaient été dépensés.
Selon le Washington Post, deux personnes ont été arrêtées par le FBI dans le Michigan après des menaces en ligne. L'un des deux hommes est le créateur de nombreux comptes en ligne qui menaçait Donald Trump d'assassinat, puis promettait de tuer des conservateurs chrétiens s'il gagnait.
Depuis le siège du Parti démocrate, à Washington, où elle s'est rendue ce mardi soir, la candidate démocrate a remercié les personnes qui ont contribué à sa campagne. "Je remercie tout le monde ici pour votre espoir, pour vos prières, pour votre soutien, et pour votre travail acharné. Merci à tous", a-t-elle indiqué dans une courte vidéo publiée sur X.
To everyone who has worked hard and brought back the joy during this campaign—thank you. pic.twitter.com/LalrIXuEjE
— Kamala Harris (@KamalaHarris) November 5, 2024
Le milliardaire américain, patron de Tesla et du réseau social X Elon Musk va passer la soirée électorale en compagnie du candidat républicain, dans la résidence de ce dernier à Mar-a-Lago (Floride), ont précisé trois sources "au courant de son emploi du temps" au New York Times.
Bill et Hillary Clinton ont voté (pour Kamala Harris), a annoncé l'ancienne candidate démocrate sur X.
@BillClinton and I just voted for @KamalaHarris and @Tim_Walz at our local polling place, and it felt amazing.
— Hillary Clinton (@HillaryClinton) November 5, 2024
Don’t miss your chance to help put this team into office so they can fight for all of us. https://t.co/tTgeqxNYNU pic.twitter.com/TfUAQGZ98D
Le colistier de Donald Trump a de nouveau appelé l'électorat républicain à se rendre aux urnes. "Pour l'instant, les choses se présentent bien, mais il est toujours tôt. Nous pouvons toujours gagner ou perdre. Sortez et allez voter", a-t-il écrit sur X.
POTUS speaks the truth. Stay in line. They have to let you vote.
— JD Vance (@JDVance) November 5, 2024
So far, things look good, but still very early. We could still win or lose this thing. Get out there and vote. https://t.co/MpW1UQrEiE
La Nasa a publié une photo montrant ses quatre astronautes à bord de la station spatiale internationale assurant qu’ils avaient pris part à l’élection présidentielle. "Peu importe que vous soyez assis, debout ou en train de flotter - ce qui compte, c’est que vous votiez !", a commenté l’astronaute Nick Hague en publiant l’image sur X.
It doesn’t matter if you are sitting, standing, or floating - what matters is that you vote! pic.twitter.com/olRTOpIozp
— Nick Hague (@AstroHague) November 5, 2024
Le FBI a déclaré, dans un communiqué, avoir pris "connaissance de menaces à la bombe contre des bureaux de vote dans plusieurs États". "Beaucoup semblent provenir de domaines de messagerie électroniques russes", ont poursuivi les autorités. "Aucune de ces menaces n'a été jugée crédible jusqu'à présent."
The FBI is aware of bomb threats to polling locations in several states, many of which appear to originate from Russian email domains. None of the threats have been determined to be credible thus far. https://t.co/j3YfajVK1m
— FBI (@FBI) November 5, 2024
En raison du décalage horaire, il faudra attendre le lendemain, mercredi 6 novembre au matin, pour découvrir les premiers résultats.
Le décompte de chaque vote est susceptible de prendre plusieurs jours. Depuis plusieurs années, le vote anticipé par correspondance est de plus en plus plébiscité par les Américains. Cette année, 67 millions des électeurs ont déjà choisi de voter par ce biais. Surtout que l'écart s'annonce serré entre les candidats.
Soutien très engagé de Donald Trump et patron de X, Tesla et SpaceX, Elon Musk a assuré que "la cavalerie est arrivée". Et de poursuivre : "Les hommes votent dans des proportions record, ils ont réalisé que tout est en jeu."
The cavalry has arrived.
— Elon Musk (@elonmusk) November 5, 2024
Men are voting in record numbers.
They now realize everything is at stake.
À Washington, la police du Capitole a déclaré avoir interpellé un homme au centre d'accueil des visiteurs de l'édifice, siège du Congrès des États-Unis. "L’homme sentait l’essence, avait une torche et un pistolet de détresse", ont précisé les forces de l’ordre sur X.
Our officers just arrested a man who was stopped during our screening process at the Capitol Visitor Center (CVC). The man smelled like fuel, had a torch & a flare gun.
— The U.S. Capitol Police (@CapitolPolice) November 5, 2024
The CVC is closed for tours for the day, while we investigate. We will provide more information when we can. pic.twitter.com/J5geNud1h2
Le système électoral américain est bien différent du scrutin français : à ce jour, 40 millions d'Américains ont déjà voté. Sur RTL, Florian Gazan nous explique pourquoi.
En attendant de connaître qui de Kamala Harris ou Donald Trump entrera à la Maison-Blanche, petite visite avec RTL de cet emblème américain.
Pour Tim Walz, colistier de Kamala Harris et candidat à la vice-présidence des États-Unis, il s'agissait des "élections les plus justes, les plus libres et les plus sûres". Et de poursuivre devant des électeurs à Harrisburg, en Pennsylvanie, un État clé du scrutin : "Nous avons une presse libre qui modère les élections et veille à ce que tout se passe bien. Alors restez calme. Continuez comme ça."
Sur X, Joe Biden s'est adressé à ceux qui n'ont pas encore voté. "Les bureaux de vote sont encore ouverts [...] Ne manquez pas cette élection", a écrit le président des États-Unis. Ajoutant que "Kamala Harris et Tim Walz sont prêts à servir dès le premier jour", de leur éventuel mandat.
Polls are still open, folks.
— Joe Biden (@JoeBiden) November 5, 2024
Don’t sit this election out. @KamalaHarris and @Tim_Walz are ready to serve on Day One.
Confirm your polling place and go vote: https://t.co/Hy8C4mIL2M.
Républicains et démocrates ont déjà engagé des dizaines d'actions en justice et deux Américains sur trois redoutent une éruption de violence après le scrutin. Certains bureaux de vote se sont mués en forteresses, surveillées par drones et avec des tireurs d'élite sur les toits. Ce mardi matin, le FBI, a mis en garde contre de fausses vidéos qui circulent et mettent en doute l'intégrité des opérations de vote.
Dans la capitale fédérale Washington, des barrières métalliques entourent la Maison Blanche, le Capitole et d'autres sites sensibles. Des commerces du centre-ville ont recouvert leurs vitrines de planches en bois. Les images du 6 janvier 2021, quand des trumpistes avaient attaqué le siège du Congrès américain, restent dans tous les esprits.
Donald Trump a déjà posé les premières pierres d'une nouvelle contestation, accusant les démocrates de "tricher comme des diables". Et le camp démocrate dit "s'attendre" à ce que le républicain se déclare vainqueur de façon prématurée, comme il l'avait fait en 2020.
Réécoutez nos épisodes du podcast de nos correspondants aux États-Unis, Une Lettre d'Amérique, pour vous plonger dans l'ambiance du pays. Il y a plus de 250 épisodes à écouter dont des portraits des candidats et de leurs proches.
Les Américains ne devront pas seulement trancher entre Kamala Harris et Donald Trump. Déjà, il existe d'autres candidats à côté de ces deux mastodontes. Des candidats qui peuvent faire du mal à l'un ou l'autre des camps en fonction de leur proximité idéologique. Mais les Américains vont aussi voter pour des représentants (au Congrès et au Sénat), pour des responsables dans les forces de l'ordre locales (shérifs) ou les juridictions puisque les juges ne sont élus outre-Atlantique. En général, les électeurs vont maintenir une certaine logique sur leurs bulletins en votant pour les candidats républicains ou démocrates sur la totalité des postes proposés, mais parfois, ils font des choix en fonction des profils de certains candidats. Et des surprises peuvent en découler.
L'élection présidentielle américaine, par nature, est particulièrement difficile à prédire pour les instituts de sondage. La mobilisation de l'électorat, la carte du pays et son système de collège électorale et l'inconsistance idéologique d'une partie importante de l'électorat en fait une équation difficile. Malgré tout, les médias locaux et nationaux tentent depuis des semaines de décrire une dynamique. Est-elle favorable à Kamala Harris ou à Donald Trump ? Voici les résultats des sondages de cette ultime semaine de campagne.
Si le public international est fasciné par les personnalités de Donald Trump et de Kamala Harris, les électeurs américains, eux, connaissent déjà très bien les deux candidats et sont aussi très attentifs aux propositions de la vice-présidente démocrate et de l'ancien président républicain. Économie, droit des femmes, immigration... Que prévoient de faire les candidats une fois assis dans le Bureau Ovale ?
La candidate démocrate Kamala Harris a exhorté les Américains à "sortir voter" en ce jour d'élection présidentielle cruciale lors d'une émission sur une radio locale de Géorgie, un État-clé.
"J'encourage tout le monde à sortir voter", a déclaré la vice-présidente qui est opposée à Donald Trump, ajoutant que ce scrutin était un "point d'inflexion" et insistant sur les deux "visions très différentes de l'avenir de la nation" proposées.
We are finishing this campaign as we started: with optimism, with energy, and with joy. pic.twitter.com/lzoEr5g3GR
— Kamala Harris (@KamalaHarris) November 5, 2024
Le candidat républicain à la Maison Blanche Donald Trump s'est dit "très confiant" après avoir voté en Floride.
"Je suis très confiant", a déclaré l'ancien président, qui est opposé à la démocrate Kamala Harris, avant d'ajouter que les républicains avaient une "très grande avance". Selon les sondages, les deux prétendants sont au coude-à-coude dans les intentions de vote.
It is now officially ELECTION DAY! This will be the most important day in American History.
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) November 5, 2024
Voter enthusiasm is THROUGH THE ROOF because people want to Make America Great Again. That means lines are going to be long!
I need you to deliver your vote no matter how long it takes.…
Qui de Donald Trump ou Kamala Harris remportera ce scrutin ? La rédaction de RTL vous propose de suivre cette journée de vote attendue dans le monde entier. Avec nos envoyés spéciaux, nos correspondants aux États-Unis, des invités et spécialistes de la politique américaine, suivez l'annonce des résultats, état par état.
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