Siemens

ÉDITO - Alain Duhamel réagit à la décision de la Commission européenne d'interdire la fusion entre le français Alstom et l'allemand Siemens, ce mercredi 6 février.

Bruxelles devrait interdire ce mercredi 6 février la création d'un géant industriel du ferroviaire entre Alstom et Siemens, en raison de sa position dominante sur le marché européen. Pourtant l'Europe va devoir faire face à un concurrent de poids...

Le gouvernement français rêve d’un "Airbus du rail" entre Alstom et Siemens. Les exigences de la Commission européenne à la concurrence pourraient faire dérailler ce projet.

Pour le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, refuser cet accord serait une erreur économique mais aussi une faute politique.

Bruno Le Maire, le ministre de l'Économie, annonce ce jeudi 22 mars que l'État va commander 100 "TGV du futur" à Alstom d'ici fin juin. Une bonne nouvelle pour les 9.000 employés français du constructeur ferroviaire.

REPLAY - À l’occasion d’un déplacement à Valenciennes, le ministre de l’Économie a assuré que la fusion entre les deux groupes n'entraînerait aucune suppression d'emplois en France.

INVITÉ RTL - Le président de la région Hauts-de-France se dit "très inquiet" du rapprochement des deux géants français et allemand dans le domaine du ferroviaire.

REPLAY - Le groupe allemand a tenté de donner plusieurs garanties pour rassurer la Franc sur l’acquisition d’Alstom.

REPLAY - INVITÉ RTL - Henri Poupart-Lafarge, PDG d'Alstom, s'est engagé à préserver les emplois en France après la fusion des deux groupes.

REPLAY - RTL MIDI : STX / Alstom : la France brade-t-elle ses fleurons industriels ?

REPLAY - RTL MIDI - Ferroviaire : journée décisive pour l'alliance entre Alstom et Siemens ; Florent Pagny : comprenez-vous ces français qui s'exilent pour raisons fiscales ?

ÉCLAIRAGE - Les activités ferroviaires des deux entreprises pourraient passer sous pavillon allemand. La décision pourrait être prise mardi 26 septembre.

Le patron de Siemens affirme au journal allemand Bild être toujours ouvert à des négociations avec Alstom.

Au lendemain de l'annonce du gouvernement de sa préférence pour General Electric et à quelques heures de la décision définitive d'Alstom, retour sur les enjeux d'un week-end décisif pour le rachat d'Alstom.

Les négociations portant sur le rachat par l'Etat des part d'Alstom détenues par Bouygues sont au point mort.

Siemens a dit "comprendre" les intérêts du gouvernement français, qui a choisi General Electric pour la reprise d'Alstom.

Ces dernières 24 heures, les enchères pour le rachat d'Alstom ont beaucoup augmenté. Finalement, la politisation du dossier a produit l'effet escompté. - Lenglet-Co, du 20 juin 2014.

Dans la course à l'aquisition d'Alstom, Siemens et Mitsubishi ont annoncé une amélioration de leur offre ce vendredi.

Après de nouvelles offres successives de General Electric et Siemens-Mitsubishi, le président recevra vendredi les dirigeants pour en discuter.

La course au rachat d'Alstom se poursuit ce jeudi avec la visite à Paris de Jeff Immelt, le patron de General Electric. Il devrait avoir dans ses bagages une version améliorée de son offre pour débouter ses concurrents : Siemens et Mitsubishi.

Aujourd'hui, François Hollande reçoit les partons de Siemens et de Mitsubishi. La veille, ils ont dévoilé leur offre pour contrer celle de l'Américain Général Electric dans la bataille pour le rachat d'Alstom. - Le Journal économique, du 17 juin...

Tandis que le Premier ministre annonce que le gouvernement "n'a aucune préférence" concernant les deux offres sur Alstom, le groupe français, fait savoir qu'il allait étudier ce qui lui a été proposé "dans les jours qui viennent".

Alors que le Japonais Mitsubishi propose d'injecter 3,1 milliards d'euros pour le rachat de l'entreprise française, l'Allemand Siemens fait lui une offre à 3,9 milliards.

François Hollande va recevoir le président de Siemens et celui de Mitsubishi mardi à l'Elysée.

La nouvelle offre de Siemens pour le rachat d'Alstom est attendue ce jour. Mais à l'heure actuelle, une rumeur circule. Il paraît que l’État se serait allié au japonnais Mitsubishi dans ce dossier épineux. - Lenglet-Co, du 16 juin 2014.

Hier, le pouvoir exécutif s'est penché sur le rachat d'Alstom. Au terme de cette réunion au sommet, l’État a clairement demandé aux prétendants de revoir à la hausse leur offre de reprise. - Le Journal économique, du 13 juin 2014.

Le groupe japonais Mitsubishi proposerait d'entrer au capital du groupe Français pour monter un partenariat industriel, selon une information du "Figaro".

L'Elysée a demandé à General Electric et Siemens/MHI d'améliorer leurs offres de rachat du pôle énergie d'Alstom.

Les groupes industriels japonais MHI et allemand Siemens vont proposer une offre conjointe équivalente à 7,25 milliards d'euros pour le rachat partiel d'Alstom.

François Hollande a été perturbé par des manifestations de paysans à l'inauguration du Musée Soulages à Rodez. Siemens a annoncé des suppressions de postes. J-1 avant la finale de Top 14 entre Toulon et Castres. - Le Journal de 19h du 30 mai 2014

Siemens prévoit de supprimer au moins 11.600 postes en plus des 15.000 suppressions déjà annoncées, selon l'agence Bloomberg.

L'industriel allemand déposera son offre de rachat pour la branche énergie d'Alstom "au plus tard" le 16 juin, si le processus est équitable.

Le ministre de l'Economie a assuré que l'Etat n'hésiterait pas à utiliser le décret "Alstom" pour protéger l'entreprise, si un "bon accord" n'était pas trouvé.

DÉCRYPTAGE - Le gouvernement vient d'adopter un décret qui lui permet de bloquer le rachat d'entreprises françaises stratégiques par des investisseurs étrangers. Un dispositif qui laisse plusieurs questions en suspens.

L’américain General Electric a pris note du décret du gouvernement lui donnant la possibilité de bloquer un rachat d'Alstom par un groupe étranger et va poursuivre ses "discussions" avec les autorités.

LA PETITE PHRASE - La ministre de l'Écologie considère que l'offre de General Electric est la meilleure.

Le groupe allemand Siemens, intéressé par le rachat partiel du groupe français Alstom, avait pris contact dès l'été 2012 avec le gouvernement français, selon une source proche du dossier.

GRAND JURY - Le président du Modem a affiché son soutien à l'entreprise Siemens, concernant le dossier du rachat d'Alstom

INVITÉE RTL - La représentante en France de General Electric est confiante sur les chances du conglomérat américain de racheter les activités énergie d'Alstom.

ÉCLAIRAGE VIDÉO - Rédactrice en chef adjointe du service économie et social de "RTL", Marie-Bénédicte Allaire explique la position d'Arnaud Montebourg sur le dossier Alstom, après son échec sur celui de SFR.

RÉACTION - Pour le ministre de l'Économie et du Redressement productif, le gouvernement a "été entendu" dans le dossier Alstom.

Le PDG d'Alstom, Patrick Kron, a assuré ce mercredi que "l'État aura son mot à dire" sur la vente de sa branche énergie.

En plus d'une offre évaluée à près de 11 milliards d'euros pour sa branche énergie, le groupe allemand propose de céder à Alstom son activité dans les métros, en plus de ses trains à grande vitesse.

DÉCRYPTAGE - Alstom a choisi General Electric au détriment de Siemens, pour négocier exclusivement un éventuel rachat d'une partie de ses activités. L'Américain a promis un certain nombre de garanties à François Hollande.

DÉCRYPTAGE - Alstom se retrouve tiraillé entre deux potentiels repreneurs, General Electric et Siemens, sans compter le gouvernement. Retour sur les négociations en cours.

Le Premier ministre l'assure: Alstom est "un enjeu stratégique national", notamment "en termes de création d'activité en France, de localisation des centres de décision et d'emplois"

Le ministre de l'Économie a indiqué qu'une offre de Siemens pour le rachat d'Alstom était "en train d'être déposée".

INVITÉ RTL - L'ancien Premier ministre fustige le manque de vision du gouvernement concernant une stratégie industrielle franco-allemande.

Le ministère allemand de l'Economie envisage d'un bon oeil un rapprochement entre Siemens et Alstom, visé par ailleurs par General Electric.

CHRONIQUE - Les groupes américain et allemand se disputent le rachat de la branche énergie de l'entreprise française.