Xavier Bertrand : "Nous ne pouvons pas participer" au gouvernement de Sébastien Lecornu

L'annonce de la formation du nouveau gouvernement dirigé par Sébastien Lecornu a suscité des remous au sein des Républicains, poussant Bruno Retailleau à organiser une réunion d'urgence ce lundi 6 octobre. Sur RTL, Xavier Bertrand a affirmé que le président de son parti n'avait pas été informé de la composition finale de ce gouvernement.

Selon la cheffe du groupe insoumis à l'Assemblée nationale, "la France ne fait absolument rien" pour protéger la Flottille internationale en route vers Gaza et dont "plusieurs navires" ont été stoppés, comme l'a indiqué le ministère israélien.

Invité de RTL ce jeudi 2 octobre, le vice-président RN de l'Assemblée nationale a indiqué que son parti ne "s'interdisait" rien et que l'hypothèse d'une censure était toujours sur la table.

Le président de l'union des entreprises de proximité (U2P), Michel Picon, a dénoncé, sur RTL, la position du Medef vis-à-vis de la taxe Zucman est du budget. "Cela fait des années que les petites entreprises souffrent, est-ce qu'il y a eu une mobilisation du Medef envers les entreprises que parfois de grands groupes ont asphyxiées ?", a-t-il fustigé.

Michel Barnier, fraîchement élu député de Paris, adresse sur RTL un message fort aux partis politiques à la veille de la formation du gouvernement de Sébastien Lecornu. L'ancien Premier ministre, tout en écartant l'idée de rejoindre l'exécutif, appelle à une réflexion collective centrée sur l'intérêt national.

Les dépenses de représentation d'Anne Hidalgo, maire de Paris, font l'objet d'un examen minutieux après la révélation d'une partie de ses notes de frais par "Mediapart". Entre vêtements de luxe et voyages controversés, ces frais suscitent des interrogations. Un dossier est en cours d'examen par le PNF.

Jean-François Bohnert, à la tête du Parquet national financier, évoque, le 29 septembre, la condamnation de Nicolas Sarkozy dans le dossier des financements libyens de sa campagne de 2007. Si l'ancien président a été relaxé pour trois chefs d'accusation sur quatre, Jean-François Bohnert persiste dans son analyse.

Nicolas Sarkozy, récemment condamné à cinq ans de prison pour son implication dans l'affaire du "financement libyen" de sa campagne, continue de critiquer vivement la décision judiciaire. En réponse, le chef du parquet national financier a pris la parole sur RTL, affirmant que son institution ne nourrit aucune animosité envers l'ex-président.

L'ancien président Nicolas Sarkozy a été condamné à cinq ans de prison ferme pour association de malfaiteurs dans l'affaire du financement libyen de sa campagne de 2007. Henri Guaino, son ancien conseiller, dénonce sur RTL une décision de justice qu'il qualifie de "jugement sans preuve".

Invitée sur RTL, ce jeudi 25 septembre, Marion Maréchal a également appelé à une coalition des droites.