Marie Moley

En 1974, Jean-Marie Le Pen décide de se déclarer candidat à l'élection présidentielle alors que son parti n'est fondé que depuis deux ans. "La campagne présidentielle, ça n'intéresse pas seulement le vainqueur", justifiait-il à RTL en 2021.

La classe politique aussi se repose en août, loin des micros et des caméras. Pourtant, les ambitions ne prennent pas de vacances, à l'instar de celles de Laurent Wauquiez, parti en pèlerinage sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Nos élus sont-ils trop payés ou pas assez ? Patrick Martin, tout juste nommé à la tête de l'organisation patronale, estime que la rémunération des élus n'est pas suffisante.

Le couple présidentiel a pris ses quartiers au fort de Brégançon, dans le Var. Au programme : repos en famille et travail pour le chef de l'État.

L'ex-directeur de la rédaction de "Valeurs Actuelles" Geoffroy Lejeune prend officiellement la tête du "Journal du Dimanche", mardi 1 er août. Ce même jour, un accord a été conclu pour la fin de la grève.

Le Garde des Sceaux bientôt renvoyé devant la Justice, sur décision de la Cour de cassation ce vendredi 28 juillet. Malgré tout, il reste en fonction.

Le ministre de l'Intérieur n'aurait pas digéré de ne pas avoir été choisi par Emmanuel Macron pour remplacer Élisabeth Borne. La crise en cours au sein des forces de l'ordre pourrait-elle compromettre ses ambitions pour 2027 ?

La secrétaire d'État chargée de l'économie sociale et solidaire et de la vie associative est accablée par le rapport su Sénat, qui qualifie la gestion du fonds Marianne de "fiasco" dont elle serait la principale responsable.

Depuis une semaine, le parti de droite a proposé de nombreuses mesures visant à endiguer les émeutes qui ont frappé le pays ces derniers jours.

Encore endetté à hauteur de 6 millions d’euros auprès d’un établissement russe, le RN veut liquider sa créance avant la campagne des européennes de 2024, pour tenter de couper court aux soupçons d’une ingérence russe dans le fonctionnement du...

Après la réforme des retraites, le président souhaitait instaurer une période de "100 jours d'apaisement" qui se terminent sous les flammes des émeutiers après la mort de Nahel.

Les syndicats de police reprochent à Emmanuel Macron de s'être précipité pour charger le policier responsable de la mort de Nahel, sans attendre les conclusions de la justice.