Les infos de 6h - Genou à terre : "Quoi que l'on fasse", il y aura "de la récupération", fustige Deschamps
Si la performance des Bleus sur le terrain fut quasi parfaite hier soir, les joueurs n'ont finalement pas posé un genou à terre avant le coup d'envoi, comme annoncé.
Pas de genou à terre finalement pour l'Équipe de France hier soir. C'était pourtant un symbole attendu en signe de protestation contre les discriminations. La raison de ce revirement est encore inconnue mais l'hypothèse d'une interruption du protocole est à envisager après l’arrivée surprise d’un parapente sur le terrain, juste avant le coup d'envoi. En effet, un activiste de Greenpeace qui a failli s'écraser en tribune avant de se rabattre sur le terrain. Le coup d'envoi imminent, les Français sont donc finalement restés debout.
Le sujet avait suscité un vif débat, notamment sur la scène politique dans les dernières heures avant la rencontre. Ce qui a eu le don d'agacer Didier Deschamps : "L'espace de l'Euro, c'est le centre d'intérêt de tout le monde, donc la moindre petite chose va susciter des réactions. Quoi que l'on fasse, cela va amener de l'interprétation avec toujours de la récupération", a fustigé le sélectionneur.
Il a également tenu à relativiser : "Ce n'est que du football. On a frôlé le drame ce soir, ça aurait pu être catastrophique. Ce qui est arrivé à Eriksen aussi. Il y a une montée en puissance de l'agressivité, de la haine, qu'elle soit verbale ou physique qui est très dangereuse. Ce serait bien de retrouver la raison de part et d'autres" conclut-il.
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