2 min de lecture

DOCUMENT RTL/M6 - "Ça aurait pu être pire" : Didier Deschamps réagit au tirage au sort relevé des Bleus à la Coupe du monde 2026

Les Bleus sont fixés : ils évolueront dans la poule I en compagnie du Sénégal, de la Norvège et d'un barragiste (Irak, Suriname ou Bolivie). "Un groupe dense" selon le sélectionneur, pour sa dernière compétition internationale.

Julien Hababou - édité par Gabriel Joly

Je m'abonne à la newsletter « Sport »

"Un groupe dense." Didier Deschamps s'est exprimé au micro de M6/RTL après le tirage au sort de la Coupe du monde 2026 réalisé au Kennedy Center de Washington, vendredi 5 décembre. Mais alors que les Bleus ont hérité d'une poule I difficile sur le papier avec le Sénégal, la Norvège et un barragiste connu en mars (Irak, Suriname ou Bolivie), le sélectionneur a préféré positiver.

"On a deux équipes solides et une inconnue en attendant le troisième adversaire, mais ça fait un groupe dense", a réagi le sélectionneur, qui prendra part à sa dernière compétition internationale cet été. "Évidemment, il y a une motivation du côté du Sénégal : comme à chaque fois qu'il y a des équipes africaines qui rencontrent la France, car on a beaucoup de joueurs qui sont originaires".

Le double champion du monde a également salué la "campagne de qualification de très haut niveau en marquant énormément de buts" de la Norvège. Enfin, sur la question d'anticiper le travail par rapport à l'identité du barragiste, Didier Descamps a dit : "On s'adapte, on suivra. On a suffisamment de personnes de la DTN dans les observations pour couvrir tous ces trois adversaires potentiels."

"La zone est plutôt pas mal"

"Cela aurait pu être pire aussi, les équipes sont de qualité et la zone (géographique) est plutôt pas mal, je dirais", a-t-il ajouté, en référence aux lieux des rencontres qui attendent les Français, sur la côte Est - New York, Philadelphie, Boston, Toronto - où il fait moins chaud l'été qu'ailleurs en Amérique du Nord.

À écouter aussi

Déjà pleinement tourné sur la compétition, "DD" a noté "une possibilité" de rester de ce côté du continent, "à condition qu'on soit à notre meilleur niveau".

"On verra ça un peu plus tard avec le staff qui a déjà fait pas mal de repérage pour trouver la meilleure solution pour nous et pour éviter d'avoir des déplacements longs. Ce n'est pas évident entre le camp de base et les infrastructures du terrain d'entraînement aussi, mais (ce serait bien) de pouvoir rester dans un secteur où il fera quand même des températures assez élevées".

La rédaction vous recommande
À lire aussi

L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail.

Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien

S’abonner à la Newsletter RTL Info