Alain Duhamel

La France reconnaîtra officiellement la Palestine ce lundi 22 septembre à l’ONU. Si certains y voient un acte historique, Alain Duhamel y voit avant tout un geste politique, précipité par le contexte actuel à Gaza.

Ce lundi 8 septembre, alors que le gouvernement de François Bayrou pourrait tomber à l'issue d'un vote de confiance, Alain Duhamel dévoile son inquiétude face à l'instabilité politique qui s'annonce.

ECLAIRAGE - L'éditorialiste a trouvé Marine Le Pen "meilleure que la dernière fois, mais moins bonne qu'Emmanuel Macron". Une prestation insuffisante pour rattraper son retard sur le président-sortant.

ÉDITO - Pour Alain Duhamel, la République en marche est vouée à perdre le second tour des municipales dans de nombreuses villes, un résultat qui s'explique par différentes raisons dont une mauvaise stratégie électorale.

ÉDITO - Alain Duhamel estime qu'il est "assez logique" que l'appel du 18 juin 1940 demeure "un objet de commémoration".

ÉDITO - Le chef de l'État doit s'exprimer dimanche afin d'annoncer la transition entre crise sanitaire et crise économique et sociale.

ÉDITO - Emmanuel Macron choisit le rythme du déconfinement tandis qu'Édouard Philippe définit les garanties sanitaires, selon l'éditorialiste.

ÉDITO - Sur les plans sanitaire, économique et démocratique, la date du 28 juin présente plusieurs avantages, explique Alain Duhamel.

ÉDITO - Le Premier ministre a annoncé 18 milliards d'euros pour venir en aide au secteur du tourisme, sinistré par la crise. "Un plan ambitieux, rapide et qui arrive au bon moment", d'après Alain Duhamel.

ÉDITO - Face à la crise sanitaire, le Premier ministre s'est révélé avoir du sang-froid, beaucoup d'énergie et un caractère très pugnace, selon Alain Duhamel. Son image s'est nettement améliorée durant cette période troublée.

ÉDITO - Le Premier ministre a voulu faire preuve de prudence et a appelé les Français à la discipline dans son discours du 28 avril, explique Alain Duhamel.

ÉDITO - Alain Duhamel estime que la population française s'inquiète de l'après-11 mai. "Tout le monde comprend bien qu’il y’a un équilibre à trouver entre la relance économique et la préservation de la santé", explique-t-il.