Les infos de 12h30 - Coronavirus : des tests antigéniques pour les soignants dans les Ehpad

"C'est ensemble que nous terrasserons le virus".  En visite ce vendredi dans un Ehpad de Clamart, dans les Hauts-de-Seine, Olivier Véran a une nouvelle fois assuré qu'un confinement limité aux personnes les plus fragiles est inenvisageable.

Pour renforcer la protection des seniors face à l'épidémie, alors que les contaminations sont fréquentes en Ehpad et que les visites sont autorisées contrairement au premier confinement, des tests antigéniques sont mis en place pour le personnel soignant. 

Dès lundi, Meriem, étudiante en école d'infirmière, va venir en renfort pour épauler le personnel soignant de l'Ehpad de Clamart, où ce type de test se multiplie. Trois jours avant de rejoindre l'établissement, elle subit un test antigénique, qui a l'avantage de donner son résultat en seulement quelques minutes.

Effectivement, vingt minutes plus tard, le test Covid de Meriem se révèle négatif. "Ce n'est pas une raison pour rencontrer des gens tout le week-end", prévient Olivier Véran. 

Car dans les Ehpad, les résidents sont particulièrement fragiles face au coronavirus. "Notre vie est très bouleversée" témoigne une résidente de 74 ans. Aujourd'hui 15% des clusters, foyers de contamination, se trouvent dans les Ehpad. Cette vie isolée est donc nécessaire. 

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Présidentielle américaine - Deux jours après le scrutin, le décompte est presque terminé dans les derniers États. En Géorgie, Joe Biden a pris ce vendredi matin une légère avance tandis que l'Arizona et le Nevada et surtout la Pennsylvanie devraient livrer leurs résultats dans les prochaines heures.

Coronavirus - Karine Lacombe, infectiologue à l'hôpital Saint-Antoine à Paris, indique sur RTL que les nouveaux cas en Ile-de-France stagnent, peut-être grâce au couvre-feu. Une bonne nouvelle que le ministre de la Santé juge encore prématurée.

Attentat de Conflans - Trois nouvelles personnes sont en garde à vue dans l'affaire de la mort de Samuel Paty, un jeune Tchétchène de 16 ans et deux Français de 17 et 18 ans. Deux sont poursuivis pour apologie du terrorisme, un troisième pour menaces.

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