Le chef du Kremlin met un peu d'eau dans son vin. Vladimir Poutine a reconnu à demi-mots des difficultés en Ukraine, parlant désormais d'un "conflit long". Un aveu qui contraste avec l'idée d'une opération spéciale et rapide, promue par le gouvernement russe depuis le début du conflit. Le président russe semble surtout reculer sur la menace nucléaire.
"Ces armes sont un moyen de défense destinées à une frappe en représailles", a expliqué Vladimir Poutine devant son Conseil des droits de l'homme. "Nous ne sommes pas devenus fous, nous savons ce que sont les armes nucléaires", a-t-il ajouté.
Ce jeudi matin, le chancelier allemand Olaf Scholz se félicite que la communauté internationale, et notamment la Chine, ait pu tracer une ligne rouge sur le nucléaire. Un premier pas rassurant après plusieurs menaces d'y recourir ayant émané de responsables russes ces derniers mois.
Affaire Yannick Agnel - L'ancien nageur olympique aurait abusé sexuellement d'une deuxième adolescente, dont le témoignage a été entendu par les enquêteurs.
Procès du crash de Rio-Paris - Le parquet dit n'avoir pas pu démontrer la responsabilité d'Airbus et d'Air-France dans la catastrophe qui a fait 228 morts le 1er juin 2009. Aucune condamnation n'a donc été requise contre les deux entreprises.
Justice - Il se faisait passer pour un agent de joueurs, afin d'attirer et d'abuser de jeunes footballeurs amateurs. Un homme de 50 ans a été renvoyé devant les assises de Nanterre et placé en détention provisoire, une information RTL/M6.
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