Depuis février 2010, il tient les Français en haleine pendant de longues semaines chaque année... Le concours Top Chef est de retour à partir du mercredi 1er mars. Et si le jury reste invariablement composé de Philippe Etchebest, Paul Pairet, Hélène Darroze et Glenn Viel, seize nouveaux candidats vont faire leur apparition dans les cuisines de M6. Seize cuisiniers "talentueux et à forte personnalité" venus du monde entier.
Le programme a été repensé pour proposer une cuisine gastronomique davantage accessible et moderne, avec de nouvelles épreuves inédites et d'autres qui ont été revisitées. Les épisodes seront plus courts grâce à l'abandon de l'épreuve de la dernière chance. Et un nouveau défi attend Hélène Darroze, qui sera privée de brigade cette année.
Enfin, Stéphane Rotenberg vous donnera rendez-vous en podcast après la diffusion de chaque nouvel épisode. Le présentateur interviewera une personnalité qui a marqué l’épisode du jour, que ce soit le candidat éliminé, le gagnant ou l'un des chefs de brigade. Au menu : réactions à chaud, retour sur les moments forts de l’émission du jour, analyse des épreuves, coulisses, bilan d’étape et projection sur la suite de l’aventure.
Agée de 23 ans, Albane Auvray a une cuisine d’instinct, avec une approche holistique, inspirée des règles de la naturopathie.
Elle commence la cuisine dans une brasserie auvergnate avant de rejoindre Le Clarence** à dix-sept ans, puis le restaurant Alan Geaam*. Dès la fin de ses études, elle devient premier commis au Bristol***, puis passe rapidement demi cheffe de partie au Guy Savoy***. Au lendemain de ses vingt-et-un ans, elle devient sous cheffe du Jardin des Carmes puis du Chiberta*.
Albane part ensuite en Asie et se prend de passion pour la cuisine de rue. Elle découvre également les bienfaits de la nourriture sur le corps et décide de promouvoir un mode de vie plus sain à travers la cuisine holistique. Un univers qu'elle entend bien développer durant cette nouvelle saison de Top Chef.
Natif d’Haïti, Victor Blanchet a été placé en orphelinat dès sa naissance et a été adopté par une famille française. Grandissant en Mayenne et passionné d’athlétisme - top 15 de France - il se donne à fond dans ce sport. En parallèle, il commence des études de cuisine à l'âge de 15 ans et se montre très ambitieux.
Créatif et instinctif, Victor cherche encore son univers culinaire. D’abord demi-chef de partie au restaurant gastronomique Belle Rive à Angers, il est ensuite passé chez Ne/So* de Guillaume Sanchez comme commis puis demi-chef de partie. Il a par la suite été chef de partie au Castel Clara, hôtel 4* de Belle-Île-en-Mer, avant d'intégrer les cuisines du chef Alain Passard à L’Arpège*** comme demi-chef de partie, puis chef de partie rôtisserie.
Son rêve : remporter "Top Chef", puis devenir le plus jeune chef 3 étoiles de France.
Ce qui caractérise Jean Covillault : une cuisine de terroir, généreuse, conviviale, accessible avec une pointe d’humour. "Pas de chichi dans ma cuisine, je la veux colorée, simple et avec beaucoup de pep’s", assure ainsi le cuisinier de 25 ans.
Après une formation à l’institut Paul Bocuse, Jean
a enchaîné les postes de chef de partie puis de
sous-chef dans plusieurs établissements de France, mais aussi à Malte, aux Pays-Bas et au Portugal. Il a pris son premier poste de
chef de cuisine dans un hôtel 4 étoiles à Paris l'an passé.
Originaire d'Auvergne, c'est auprès de sa grand-mère Mamily et de sa maman que le jeune homme a pris goût à la cuisine.
Avec Bérangère Fagart, le gaspillage n'a pas sa place. Le crédo de cette cheffe de 33 ans est de ne jamais rien gâcher. Plus largement, la francilienne apprécie faire de la cuisine écoresponsable et engagée.
Bérangère ne s'est pas toujours dirigée vers la cuisine. La femme a d'abord travaillé dans le domaine de l’événementiel et de la musique, avant de passer son CAP en candidat libre. Elle a ouvert son premier restaurant en 2019, Sélune, à Paris.
Pour elle, "Top Chef" est un véritable
défi, celui de cuisiner avec d’autres chef.fe.s et
d’apprendre des autres, elle qui n’a jamais eu cette
occasion.
“Ma spécialité ? Réinterpréter de bons vieux
classiques français, tels que : la bouillabaisse, le
coq au vin, la blanquette…” Vous l'aurez compris, Jérémie Falissard apprécie la cuisine
rustique et traditionnelle, mais toujours avec une touche de
complexité et de modernité. Il aime ainsi créer la
surprise dans la simplicité et mettre les légumes à
l’honneur.
Né en région parisienne, Jérémie a grandi dans un milieu d'artistes et a eu une scolarité difficile. Il s'est lancé dans un apprentissage en cuisine dès la fin de son collège, mais a quitté le métier après quelques années, déplorant une mentalité "à l’ancienne, stricte, dure et souvent ingrate".
Finalement rattrapé par son premier amour, le cuisiner, désormais installé au Canada, a ouvert
deux pizzerias, un restaurant gastronomique, un
bistrot ainsi que deux bars à cocktails. Il se forme par ailleurs régulièrement dans différents établissements à travers le monde pour enrichir sa cuisine.
Pour Carla Ferrari, un plat réussi, c'est une assiette qui procure des émotions à celui qui la mange. Pour réaliser "ses assiettes d'instinct", la Napolitaine va puiser dans les traditions italiennes et méditerranéennes avec des recettes gourmandes.
Passionnée de bonne chaire depuis toujours, Carla a animé des émissions de cuisine pour enfants durant son adolescence et publié un livre de cuisine à seulement quatorze ans. L'Italienne s'est par la suite formée à l’école Ferrandi et commencé son
aventure dans les cuisines des Bras au Bras***, avant de passer chez Pascal Barbot à L’Astrance*** en 2017, comme cheffe de partie.
Carla Ferrari s'est depuis installée à Turin, où elle a ouvert une pizzeria nommée “Uagliò”, devenue depuis “UAÒ”, qui s'est retrouvée catapultée dans le classement des meilleures pizzerias d'Italie en seulement un an. La mutation de son mari l'a toutefois poussée à vendre son établissement et la jeune femme a profité de cette pause professionnelle pour fonder une famille.
Né au Mexique, Miguel Garcia-Herrera a un parcours singulier. Face aux difficultés financières de ses parents, le jeune homme s'est engagé dans la légion étrangère pour obtenir ses papiers et pouvoir venir se former en France.
Depuis son arrivée, le cuisiné a enchaîné les
postes dans les cuisines de
restaurants lyonnais de belles réputations. D’abord
chef de partie au Margueritte Bocuse, puis au Bistrot d’Abel, il passe chef à L’Astra à seulement
vingt-six ans. Après la fermeture de ce dernier, il
revient au Bistrot d’Abel en tant que sous-chef.
Sa passion pour la cuisine lui vient de son grand-père
sicilien, cuisinier aux États-Unis. Il aime "la
vraie cuisine préhispanique" : une cuisine rustique, brute, aux goûts francs et marqués. Il aimerait être le premier Mexicain à remporter "Top Chef".
Enfant de Rosny-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, David Khezzar a eu la chance de rencontrer le Chef Michel Roth alors que celui-ci officiait au Ritz lorsqu'il avait 15 ans. Un moment de partage qui a débouché sur un stage de cuisine et la naissance d'une passion.
Après une formation à l’école hôtelière
de Jean Drouan à Paris, David a débuté dans les cuisines de Pierre Gagnaire où il affirme avoir énormément
appris. Il s'est ensuite envolé à Genève pour travailler au Bayview*, où il officie désormais comme sous-chef.
"S’il n’y avait pas eu la cuisine, j'aurais sûrement mal fini", assure David, assumant avoir beaucoup de mal avec l'autorité. À la tête de son propre studio musical et passionné de trap et de rap latino, le jeune homme a une cuisine
gastronomique qui mélange créativité et passion.
Il a également appris tout seul la cuisine moléculaire
et adore l’expérimenter.
Avec Jacques Lagarde, la création n’a aucune limite. Il aime prendre des risques et utilise les
parties d’habitude non utilisées (les os, les peaux
de légumes…). Surtout, il travaille avec du 100 % local.
Jacques a débuté par un
apprentissage dans le bistrot parisien du Sebillon, avant de devenir demi-chef de partie au côté de
Ghislaine Arabian dans son restaurant Les petites
sorcières**, puis chef de partie au Pavillon
Montsouris. Il est ensuite parti pendant deux ans en
Australie -avec son frère Mathieu, également candidat à la saison 14 de "Top chef" - comme chef de
partie du Cottage Point Inn**, avant de s'envoler pour l'Amisfield, en Nouvelle-Zélande, le
meilleur restaurant du pays qui évolue de 2 à 3
étoiles.
Il a tout quitté par amour et est parti s'installer à Marbella, en Espagne, où il est désormais cogérant du Cascada Marbella. Son plus gros défi dans Top chef sera de séduire le palais des chefs français, ce pays qu'il a quitté depuis bien longtemps maintenant.
Parisien d’origine, Mathieu Lagarde tient son amour pour la cuisine de sa grand-mère portugaise et aime travailler le produit
brut poussé à son maximum, extraire les goûts,
dans un visuel parfois même provocateur, tout en
se concentrant sur un aspect naturel.
D’abord apprenti Chez André, Mathieu est devenu commis, puis chef de partie au restaurant Le
Congrès, avant d’intégrer Le Pavillon Montsouris au sein duquel il passe par les postes de commis,
chef de partie et enfin sous-chef à seulement
vingt-et-un ans. Mathieu a été nommé chef de partie à La Grande Cascade*, avant de s'envoler pour l'Australie - avec son frère Jacques, également candidat à la saison 14 de "Top chef" - , où il apprécie la vie sauvage, la nature, la chasse et la pêche.
Il est aujourd’hui chef exécutif
dans un restaurant nommé meilleur restaurant de Nouvelle-Zélande en 2022. "Je veux participer à Top Chef pour apprendre sur
moi-même, me défier et connaitre mon potentiel à
m’adapter selon les épreuves, même si je dois être
confronté à d’autres candidats", assure-t-il.
À 26 ans, César Lewandowski a déjà vécu plusieurs vies. Il a souffert d'un cancer alors qu'il était encore enfant. Durant cette période, les moments passés en cuisine avec son beau-père ont été son échappatoire. Le garçon y a développé son amour pour la gastronomie, mais surtout pour le partage et la convivialité d'un repas.
Après un parcours scolaire compliqué, César s'est formé à Ferrandi Bordeaux, ainsi que dans de grandes maisons de la région, à commencer par l'Hôtel du palais et L'Arpège. Puis, à seulement
vingt-deux ans, le chef a ouvert son propre restaurant à Bali. De retour en Belgique au moment du Covid, il est devenu chef itinérant, avant d'ouvrir César Rolls, un restaurant de street food gastronomique.
César définit son univers culinaire
comme libre et évolutif.
"En tant qu’autodidacte, je ne
sois pas formaté donc je n’ai pas de barrière, j’ai
ce truc-là en moi !" Vous l'aurez compris, la cuisine n'était pas le premier choix d'Alexandre Marchon, qui a suivi des études de commerce et débuté sa carrière dans la publicité. Mais sa victoire au concours culinaire "Un diner presque
parfait" a créé un véritable déclic.
En 2012, Alexandre Marchon s'est lancé en tant que chef à domicile, et ce, malgré son manque de formation. C'est finalement auprès de ses clients, en faisant son nouveau métier avec amour, qu'il s'est formé et a acquérit suffisament de gallon pour ouvrir un premier restaurant éphémère, puis un second... Et enfin, son premier établissement "fixe", Marchon, à Paris.
Côté cuisine, Alexandre aime surprendre, étonner, être là où
on l’attend le moins. Il compense son manque de
technique par sa créativité et a une prédilection
pour la cuisine légumière, qu’il aime mettre au
cœur de ses assiettes.
Le plus grand défi de Léo Renusson dans "Top chef" va être de surmonter sa peur. Le stress pourrait être le pire ennemi de cet "éternel insatisfait" de 27 ans durant la compétition. Pourtant, depuis son premier poste de chef de cuisine à 21 ans, Léo s'est formé aux côtés de nombreux cuisiniers parisiens et donne désormais ses propres cours de cuisine.
Le plaisir de la
cuisine provient de son enfance, grâce à sa maman
mais aussi sa grand-mère, qui avait onze enfants. "Chez Jeannine, les repas c’était des vrais
services ! On était nombreux à table, et moi, ça
m’a fasciné", se souvient-il.
Très curieux de nature - mais aussi taquin et drôle -, Léo a aussi été nommé chef pâtissier dans plusieurs restaurants
londoniens. Et lui qui apprécie
avant tout créer et imaginer entend bien laisser
exploser sa créativité durant la compétition.
Hugo Riboulet est l'Ardéchois de cette compétition et rêve de marcher sur les pas de ses voisins altiligériens Régis et Jacques Marcon, chez qui il a déjà eu le bonheur d'exercer. Son mentor, lui, est installé en Drôme. C'est le chef Japonais Masashi Ijichi, qui tient la Cachette*, où Hugo a fait son apprentissage, puis a officié en tant que chef de partie.
Depuis ses vingt ans, Hugo fait ses classes chez le chef triplement étoilé Laurent Petit, au Clos des Sens, à Annecy, où il officie en tant que second de cuisine. Le jeune cuisinier s'avère être un technicien affirmé et aime cuisiner le végétal
au centre de l’assiette et les protéines en guise de
condiment.
Compétiteur dans l’âme, il veut prouver à ses
proches qu’il n’a pas fait tous ces sacrifices pour rien
et montrer qu’à vingt-trois ans, avec du travail et de
l’acharnement on peut aller loin dans ce concours
"La cuisine m’a sauvé la vie ! Ça a toujours été un
espace de réconfort pour moi." Confronté à une enfance difficile et à la perte de son papa très jeune, Gaston Savina s'est réfugié dans les cuisines de ses grands-mères. Véritable épicurien, réel esthète et amateur de
produits frais, c'est là que le jeune homme s'épanouie.
Après s'être formé auprès de grands chefs comme Franck
Graux et Christophe Langrée, Gaston s'est spécialisé dans l’événementiel ultra confidentiel et accompagne ses clients à travers le monde. Il cuisine pour des femmes et
hommes d’affaires, d’innombrables célébrités, des
têtes couronnées ou encore plusieurs Ministres…
Fier de son parcours, Gaston voit dans cette compétition la possibilité de mettre un
coup de projecteur sur son travail et d’obtenir la
reconnaissance de ses pairs. "Top Chef est ma revanche sur mon enfance et plus
particulièrement sur la vie en général pour un
chef queer", assure-t-il.
Sarika Sor est la grande gagnante d’“Objectif Top Chef”. Biberonnée à la cuisine
cambodgienne, cette cheffe de 28 ans aime user d’une petite
touche asiatique dans sa cuisine qui met en avant
les produits frais et de saison. Un univers culinaire qui a su séduire le palais du chef Philippe Etchebest, qui sera son chef de brigade durant cette saison.
Après un master en
marketing et gestion, puis un contrat de cheffe
de produit dans un magasin de bricolage, Sarika
a tout abandonné pour se
former à la cuisine dans un lycée Hôtelier de Lille il y a deux ans. Aujourd’hui, apprentie dans un restaurant
étoilé à Lille, Sarika sait qu’elle a trouvé sa voie et
rêve d’ouvrir un jour son propre restaurant.
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