Va-t-on vers une série de reconfinements locaux ? Un nouveau Conseil de défense se tient ce matin à l'Élysée. Au menu : les nouvelles restrictions qui pourraient être mises en place dans les 20 départements les plus touchés par le coronavirus.
Le gouvernement espère tenir avec des mesures ciblées jusqu'à ce que la couverture vaccinale soit suffisante. "Il faut tenir", c'est la devise du gouvernement pour traverser ce mois de mars, annoncé de longue date comme celui de tous les dangers, et ça se vérifie : les entrées à l'hôpital ont bondi ces dernières 48 heures, dans certaines régions.
Alors, l'exécutif s'accroche à la seule lueur d'espoir à court terme : le déploiement de la campagne de vaccination pour alléger la pression sur l'hôpital d'ici 4 à 6 semaines, selon Emmanuel Macron.
En avril-mai, pour Jérôme Salomon, au printemps, disent d'autres, l'horizon commencera à s'éclaircir. Mais d'ici là, il faut piloter au jour le jour, en fonction des chiffres et en associant les acteurs locaux, en particulier dans les départements en vigilance renforcée. Un confinement le week-end ? Rien n'est décidé, met en garde un conseiller du Premier ministre.
Le Conseil de défense de ce matin actera, a minima, la poursuite du couvre-feu à 18h00. Mais si à un moment, la situation n'était plus maîtrisée, un ministre n'exclut pas en privé le retour d'un confinement dur, comme il y a un an. Tout en ajoutant : "Nous faisons tout pour l'éviter".
Adolescent tué à Bondy - Un hommage est organisé aujourd'hui en l'honneur d'Aymen, 15 ans, abattu dans un centre de loisir de la ville. Deux frères se sont rendus à la police et ont été écroués. Un différend les opposaient à l'adolescent depuis un an.
XV de France - Alors que de nombreux cas de Covid ont été recensés au sein du groupe, provoquant le report du match contre l'Écosse, un rapport innocente l'entraîne Fabien Galthié, sorti de la bulle sanitaire pour aller voir un match de son fils. Le patient zéro serait finalement un joueur de rugby à 7, à l'origine des contaminations dans le groupe.
Guerre d'Algérie - Le chef de l'État a reconnu, au nom de la France, la responsabilité de l'armée française dans la mort du nationaliste algérien Ali Boumendjel. Torturé et tué, sa mort avait été maquillée en suicide.
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