Timour Ozturk

Si les résultats de la présidentielle ne sont pas encore définitifs, un deuxième tour devrait opposer Recep Tayyip Erdogan, le président sortant, à Kemal Kiliçdaroglu.

Plusieurs millions de jeunes Turcs votent pour la première fois dimanche, pour l'élection présidentielle. Une génération qui pourrait faire basculer le scrutin.

"Il n'utilise ni Internet ni téléphone portable". L'ancien garde du corps de Poutine raconte le mode de vie du président russe, totalement isolé selon lui.

REPORTAGE - Trois semaines après le séisme qui a fait plus de 44.000 morts en Turquie, les habitants des villes dévastées survivent tant bien que mal.

Un séisme d'une magnitude de 6,4 a été enregistré lundi soir dans la province turque de Hatay (sud), la plus éprouvée par le tremblement de terre du 6 février qui a fait plus de 41.000 morts en Turquie, a rapporté l'agence turque de secours Afad.

Une semaine après le terrible séisme qui a touché la Turquie et la Syrie, les chances de sauvetage se font de plus en plus rare. Mais des miracles existent.

Quatre jours après les tremblements de terre en Turquie et en Syrie, le bilan provisoire fait état de plus de 21.700 morts, et l'espoir de trouver des survivants se réduit malgré les fouilles.

Un immense incendie s'est déclenché dans le port d'Iskenderun après les séismes en Turquie, où un énorme nuage, potentiellement toxique, s'élève dans le ciel.

Dans un froid glacial, les sauveteurs continuent de mener une course contre-la-montre en Turquie et en Syrie pour tenter de porter secours aux rescapés.

TÉMOIGNAGE - Les secouristes poursuivent mardi leurs recherches de rescapés, au lendemain du puissant séisme dont le bilan dépasse désormais les 5.000 morts dans le Sud-Est de la Turquie et le nord de la Syrie.

L'heure est au désespoir pour les victimes du séisme. Les opérations de recherche se poursuivent, révélant l'immense tâche qu'attend les secours. La Turquie et la Syrie en appellent à l'aide internationale.

En pleine guerre en Ukraine, l'Union européenne se tourne désormais vers l’Azerbaïdjan, pour pallier l'absence de gaz russe, même si Moscou pourrait tout de même en tirer profit.