Lundi je me suis fendue d’un post sur Instagram au sujet de Meghan Markle. Après tout, tout le monde donnait son avis, pourquoi pas moi. C’était le jour de l’interview du couple à Oprah Winfrey.
J’avais déjà eu l’occasion de faire le portrait de la duchesse de Sussex, je m’étais plongée dans son parcours. Je connais donc un peu son histoire. J’écris donc sur Instagram que s’il fallait choisir son camp, le mien serait celui de Meghan parce qu’elle est une femme libre. Et je le réaffirme ici, elle a tout mon soutien.
Vous n’imaginez pas le déferlement de commentaires. Je crois que je n’en avais jamais eu autant. Des pour et des contre. Je m'aperçois que les gens commencent même à s’insulter entre eux. Comme si l’humanité était d’un seul coup, divisée en deux : les pro Meghan face aux anti Meghan. Comme si cette jeune femme était une sorte de réincarnation de Messaline, l’épouse de l’empereur Claude et mère de Britannicus, en 41 après Jésus-Christ.
On lui reprochait une conduite scandaleuse, de participer aux intrigues du palais et on accusait l’empereur d’être sous sa coupe. On arrête là les comparaisons car on lui reprochait des mœurs débridées (en même temps il a été reproché à Meghan d’être une femme divorcée) et Messaline a très très mal terminé. Après une tentative vaine de suicide, elle a été tuée par un soldat.