Voiture d’occasion : il paye plus de 10.000 euros et découvre que le moteur est hors service
Pascal a acheté un véhicule, 10.854 euros, auprès d’un professionnel. Mais quelques jours après l’achat, le véhicule tombe en panne. Une expertise chiffre les réparations à 7.000 euros. Et le vendeur ne veut rien faire...
Pascal, en février 2019, achète un utilitaire d’occasion auprès d’un professionnel pour la somme de 10.854,18 euros. Le véhicule ayant appartenu à une collectivité, Pascal a pleinement confiance, car le vendeur lui indique qu’il est révisé régulièrement. Pourtant, quelques jours plus tard, l'utilitaire tombe en panne.
La voiture est remorquée vers le garage le plus proche. Un professionnel constate alors un problème de capteur. Heureusement, le vendeur a souscrit à une assurance qui permet à Pascal d’effectuer les réparations garanties dans le contrat, dans un autre établissement que le sien. L’assurance prend en charge une partie du devis et Pascal demande au vendeur de régler le reste.
Mais étonnement, ce dernier lui propose de payer 50 %, sous réserve qu’il effectue lui-même les réparations. Pascal refuse sa proposition en demandant à son aide juridique de le contacter afin de trouver un accord à l’amiable. Sans nouvelles de sa part, Pascal fait réaliser une expertise. Celle-ci conclut à un désordre moteur important ! Il y en aurait pour plus de 7.000 euros de réparation.
Le véhicule reste immobilisé
Depuis, le véhicule est immobilisé et malgré les nombreuses relances auprès du vendeur, celui-ci ne semble pas enclin à trouver une solution. Pascal a dépensé plus de 10.000 euros pour un véhicule avec lequel il ne peut pas rouler.
Il a dû racheter un véhicule, ce qui a fait un trou dans sa trésorerie. De plus, il paye toujours le prêt contracté pour l’achat. Il compte sur Julien Courbet pour que le vendeur prenne en charge les réparations de 7.311,96 euros ou annulation de la vente.
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