"Être végan, c'est une chance", estime la journaliste Laurence Pieau

Ancienne patronne de Closer, elle a fait trembler les peoples pendant des années, mais c'est dans un tout autre de domaine que Laurence Pieau s'est reconvertie depuis plusieurs mois. Elle est aujourd'hui journaliste, et auteure de Tout le monde n’a pas la chance d’être végan, un ouvrage publié chez Harpercollins.

Lorsqu'elle s'est intéressée au véganisme, "la réalité" lui a "sauté aux yeux", explique-t-elle. "Ce n'est pas du tout comme on se l'imagine : ce n'est pas un truc de bobo", il s'agit d'un véritable "mode de vie". Un mode de vie qui "répond à plusieurs problématiques notamment la maltraitance animale et la réduction de l'impact environnemental de l'agriculture", ajoute-t-elle.

"Ma grosse découverte", ce sont "les effets sur la santé", explique la journaliste : "Des études qui sont peu médiatisées rapportent que l'alimentation végétale est un puissant facteur de réduction de risques cardiovasculaires". Manger végan, "c'est une chance : c'est avoir 32% de risques de développer une maladie cardiovasculaire en moins", précise Laurence Pieau, qui souligne également la dimension éthique de cette pratique.