À Pau, un bureau de vote n'a présenté que onze tas de bulletins aux votants pendant près de deux heures, malgré la participation de douze candidats à la présidentielle. Ceux d'Anne Hidalgo manquaient à l'appel.
Cette irrégularité a finalement été repérée par une déléguée locale du Conseil constitutionnel venue vérifier les opérations de vote. Les bulletins de vote de la candidate socialiste ont finalement été retrouvés dans un carton et placés sur la table dans la foulée, en huitième position.
On entend souvent parler “des élections présidentielles”, au pluriel. Or, la présidentielle, c’est une seule élection : on n’élit qu’un président de la République, même s’il y a deux tours de scrutin et une douzaine de candidats : donc on dit “l’élection présidentielle”, au singulier. En revanche, les législatives, ce sont des élections au pluriel… avec des centaines d’élus à la fin.
D’ailleurs, quand on le regarde de plus près, élection est un mot bien intéressant… Il arrive en français au XIIe siècle, emprunté au latin electio, qui veut dire “choix”. Elire, c’est donc littéralement “choisir”.
A chaque élection, les partisans des uns et des autres rivalisent de subterfuges pour manifester leur soutien à leur champion. Cette année, le mot "Olivier" est très présent.
Les partisans d'Eric Zemmour ont utilisé un code (loin d'être difficile à décrypter) afin de manifester leur soutien et dire quel bulletin de vote ils ont glissé dans l'urne. Ainsi, ne soyez pas étonné si le mot "Olivier" revient souvent, notamment sous le mot-dièse #RadioLondres.
En effet, il évoque le vote pour Eric Zemmour et pour cause, le nom "Zemmour" en berbère signifie l'olivier, un arbre emblématique et symbole en Afrique du nord, dont est en partie originaire le candidat de Reconquête ! (d'Algérie).
Surprise à Amiens, fief d'Emmanuel Macron. Le candidat Insoumis Jean-Luc Mélenchon arrive en tête au premier tour avec 31,45 %, contre 29,95 % pour le chef de l'État.
5 des 12 candidats en lice au premier tour l'étaient déjà lors des deux précédentes éditions. Une piste pour expliquer une abstention estimée à 25,6% ?
Selon notre correspondant à Sablé-sur-Sarthe, le dépouillement a commencé et une urne semble résister...
À Pau, un bureau de vote n'a présenté que onze tas de bulletins aux votants pendant près de deux heures, malgré la participation de douze candidats à la présidentielle. Ceux d'Anne Hidalgo manquaient à l'appel.
Cette irrégularité a finalement été repérée par une déléguée locale du Conseil constitutionnel venue vérifier les opérations de vote. Les bulletins de vote de la candidate socialiste ont finalement été retrouvés dans un carton et placés sur la table dans la foulée, en huitième position.
On entend souvent parler “des élections présidentielles”, au pluriel. Or, la présidentielle, c’est une seule élection : on n’élit qu’un président de la République, même s’il y a deux tours de scrutin et une douzaine de candidats : donc on dit “l’élection présidentielle”, au singulier. En revanche, les législatives, ce sont des élections au pluriel… avec des centaines d’élus à la fin.
D’ailleurs, quand on le regarde de plus près, élection est un mot bien intéressant… Il arrive en français au XIIe siècle, emprunté au latin electio, qui veut dire “choix”. Elire, c’est donc littéralement “choisir”.
A chaque élection, les partisans des uns et des autres rivalisent de subterfuges pour manifester leur soutien à leur champion. Cette année, le mot "Olivier" est très présent.
Les partisans d'Eric Zemmour ont utilisé un code (loin d'être difficile à décrypter) afin de manifester leur soutien et dire quel bulletin de vote ils ont glissé dans l'urne. Ainsi, ne soyez pas étonné si le mot "Olivier" revient souvent, notamment sous le mot-dièse #RadioLondres.
En effet, il évoque le vote pour Eric Zemmour et pour cause, le nom "Zemmour" en berbère signifie l'olivier, un arbre emblématique et symbole en Afrique du nord, dont est en partie originaire le candidat de Reconquête ! (d'Algérie).
Durant toute la journée, les quelque 50 millions de Français appelés à voter vont défiler dans les bureaux de votes, ouverts de 8h à 19h, voire 20h, selon les communes.
Une fois le scrutin clos, les membres du bureau de votes regroupent les bulletins par paquets de cent. Ensuite, quatre personnes sont chargées du dépouillement avec des tâches différentes : un est chargé de sortir le bulletin de vote de l'enveloppe, un de dire le nom du candidat à haute voix et enfin les deux derniers sont chargés de remplir la feuille d'émargement. Ces quatre personnes sont appelées des "scrutateurs". Tous les détails à retrouver dans l'article juste en-dessous.
Si beaucoup de bureaux de vote ferment à 19 heures, les électeurs des grandes villes ont une heure de plus pour voter. Les premières estimations seront alors dévoilées.
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