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LFI, le PS et le RN indiquent qu'ils ne voteront pas la confiance demandée par François Bayrou

François Bayrou sollicitera la confiance de l'Assemblée nationale le 8 septembre, abattant une nouvelle et périlleuse carte pour faire adopter son plan d'économies budgétaires, sur fond d'appels bloquer la France le 10 septembre.

Marie-Pierre Haddad

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Ce qu'il faut savoir
  • Après un été studieux et un rendez-vous avec Emmanuel Macron au Fort de Brégançon, François Bayrou tient une conférence de presse dans un contexte déjà politiquement périlleux, alors que son gouvernement est menacé par le mouvement de blocage massif du 10 septembre et par la perspective d'une motion de censure lors de la prochaine session parlementaire. 
  • Le "danger immédiat" du surendettement menace la France, qui doit y "faire face (...) aujourd'hui même sans retard d'aucune sorte", a affirmé François Bayrou.
  • Le Premier ministre a annoncé qu'il allait engager la responsabilité du gouvernement lors d'un vote de confiance qui se tiendra le 8 septembre durant une session extraordinaire au Parlement.
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Marine Le PEN veut une dissolution

Alerte

Après la première réaction de Jordan Bardella, Marine Le Pen a, elle aussi, été très attentive à la présentation du Premier ministre : "François Bayrou n’a visiblement pas compris que les Français ont pleinement conscience de la crise économique et financière dans laquelle est plongée notre pays après huit années de macronisme, crise qui s’ajoute à tant d’autres échecs mettant en péril la survie même de notre nation."


"C’est justement parce qu’ils ont compris la gravité de la situation que nos compatriotes refusent les mesures du Premier ministre, aussi injustes qu’inefficaces., ajoute-t-elle. Nos concitoyens savent aussi qui est responsable de cet effondrement, à savoir les partis du système que nous combattons depuis tant d’années : gauche, droite et macronistes."

"Tous sont responsables et coupables, sauf le Rassemblement national et le projet que nous portons. C’est d’ailleurs pour cette raison que le système s’est allié aux dernières élections pour empêcher la vraie alternance. Nous voterons évidemment contre la confiance au gouvernement de François Bayrou. Seule la dissolution permettra désormais aux Français de choisir leur destin, celui du redressement avec le Rassemblement national."

"Jamais le RN ne votera la confiance"

Même son de cloche du côté du Rassembler national : "François Bayrou vient d’annoncer la fin de son gouvernement, miné par son immobilisme satisfait, a tweeté Jordan Bardella. Jamais le RN ne votera la confiance à un gouvernement dont les choix font souffrir le peuple français. Nos compatriotes attendent une alternance et un retour aux urnes : nous y sommes prêts."

49.3 ou pas de 49.3 ?

Olivier Bost, le chef du service politique de RTL a posé la question suivante : "Prendrez-vous l'engagement de ne pas recourir au 49.3 pour faire voter ensuite votre budget et faire respecter le résultat des discussions ?"

Réponse du Premier Ministre : "Je pense que ce n'est pas une idée absurde. C'est difficile. Cette idée n'est peut-être pas soutenable dans le débat. Mais l'épreuve de vérité du débat, on peut la développer sans 49.3. Cette idée ne m'est pas étrangère. Ça vous en bouche un coin !", a-t-il lâché dans un rire. 

Manuel Bompard répond immédiatement à François Bayrou

Réponse immédiate. La France insoumise votera "pour faire tomber le gouvernement", a annoncé le député Manuel Bompard, coordinateur national du mouvement. 

François Bayrou va demander un vote de confiance

Alerte

L'article 49 alinéa 1 de la Constitution est déclenché. Ce dernier dispose que "Le Premier ministre, après délibération du Conseil des ministres, engage devant l'Assemblée nationale la responsabilité du Gouvernement sur son programme ou éventuellement sur une déclaration de politique générale."

François Bayrou appelle les parlementaires à faire un choix clair, transparent et public en votant la confiance à son gouvernement. "Une clarification qui est la condition au ressaisissement du pays", note François Bayrou. 

Le vote aura lieu le 8 septembre prochain. Il "consacrera la dimension de l'effort" de près de 44 milliards d'euros de réduction du déficit public de la France, et seulement ensuite aura lieu "la discussion" sur "chacune des mesures de ce plan d'urgence", a affirmé le Premier ministre.

François Bayrou prend la parole

les ministres installés dans la salle de presse

François Bayrou prend la parole depuis l'avenue de Ségur, à Paris. Les ministres sont arrivés sur place et se sont installés. A quelques minutes du début de la conférence de presse, l'entourage du Premer ministre a indiqué que le budget présente n'est "pas un budget d'austérité".

un plan d'urgence pour l'école française

Le principal syndicat de l'enseignement primaire, la FSU-Snuipp, craint un budget de "rigueur" pour l'Education nationale et demande au contraire un plan d'urgence pour l'école française afin de la hisser "au rang des standards internationaux", a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse.


"En faisant le choix de ne pas augmenter les recettes de l'Etat, le Premier ministre confirme la rigueur imposée aux dépenses publiques. Ce sont les services publics qui vont en faire évidemment les frais, notamment l'éducation", s'inquiète la cosecrétaire de la FSU-Snuipp, Sandrine Monier, lors de la conférence à une semaine de la rentrée des classes.

les mises en garde du PS

"Je ne dis pas que la censure n'est pas à un moment envisageable, elle est aujourd'hui probable, mais s'il doit y avoir un dialogue, il faut qu'il soit poursuivi jusqu'au bout" de la discussion budgétaire à l'automne. A travers ces déclarations, François Hollande a donné à François Bayrou les lignes rouges du PS.

Quelles sont les mesures souhaitées par le PS pour le budget ? La réponse dans l'article ci-dessous ⬇️

"Le risque, c’est la diminution des services publics"

Philippe Laurent, vice-président de l'AMF et maire de Sceaux, affirmait sur RTL que le budget présenté par François Bayrou risque de déclencher une diminution du nombre et une baisse de la qualité des services publics.

"Nous alertons sur ce risque et également sur celui de la diminution des investissements", a ajouté le maire de Sceaux, dans les Hauts-de-Seine, qui précise que "les maires vont essayer de tout faire pour préserver le niveau de services publics". 

Retrouvez l'interview de Philippe Laurent dans notre article ci-dessous ⬇️

"Je sais que je suis minoritaire", déclare françois bayrou

Dans un entretien au Parisien, François Bayrou a rappelé le risque de "la chute de la falaise" si la France ne se dote pas d'un budget avec près de 44 milliards d'euros d'économies. "Je sais que je suis minoritaire", a reconnu le locataire de Matignon. "Seule l’adhésion des Français peut changer les choses dans ce climat de rapport de force", a-t-il indiqué en redoutant "un climat de force" pesant sur cette rentrée. 

Une réponse au mouvement "Bloquons tout le 10 septembre" ?

Si François Bayrou a choisi ce lundi 25 août pour marquer sa rentrée politique, c'est aussi afin de répondre au mouvement "Bloquons tout le 10 septembre". Selon notre sondage Toluna Harris Interactive, réalisé pour RTL, deux Français sur trois soutiennent le mouvement.

Qui sont ces Français qui veulent tout bloquer ? Retrouvez ce qu'il faut savoir sur ce mouvement dans notre article ci-dessous ⬇️

bonjour !

Bienvenue dans ce live consacré à la conférence de presse de François Bayrou de ce lundi 25 août. Cette grande explication de rentrée sera consacrée au budget présenté par le Premier ministre le 15 juillet dernier. 

Ce live est terminé

Merci d'avoir suivi dédié à la conférence de presse de François Bayrou. Le Premier ministre y a notamment évoqué un "danger immédiat" du surendettement qui menace la France, avant d'annoncer un vote de confiance à l'Assemblée, le 8 septembre prochain. Affaire à suivre !

Le ps ne votera pas la confiance

Dans un entretien accordé au Monde, le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a révélé la ligne directrice de son parti. "Il est inimaginable que les socialistes votent la confiance à François Bayrou", a-t-il annoncé.

Philippe Brun (PS) sur RTL annonce qu'il votera contre

"François Bayrou chercher à partir. (...) Il adopte une démarche christique (...) c'est une mise en scène depuis le début, dénonce-t-il en notant qu'il n'y a pas de réunion de travail avec le Premier ministre, contrairement à ce que faisaient ses prédécesseurs Elisabeth Borne et Gabriel Attal."

"A titre personnel, je voterai contre la confiance à François Bayrou", a-t-il réaffirmé en soulignant que les députés socialistes se réuniront plus tard pour déterminer une voie commune pour le groupe parlementaire.

Ruffin votre contre la confiance et appelle à faire payer les plus riches

Le député Debout !, François Ruffin, a sans surprise rejoint le concert des réactions politiques contre l'initiative de François Bayrou.

"Nous refuserons évidemment la confiance à François Bayrou. Oui, la France doit réduire son déficit. Par la fin des cadeaux fiscaux aux plus riches et aux grandes firmes, que Macron a augmenté comme jamais, argue-t-il. C'est à eux de payer d'abord. Pas aux salariés, aux retraités."

Un nouveau vote contre signé Marine Tondelier

La secrétaire nationale d'Europe Écologie Les Verts, Marine Tondelier a elle aussi tweeté : "François Bayrou pense pouvoir partir en héros incompris. Ce vote de confiance (qu’il n’a pas fait en arrivant) est de fait une démission. Les Écologistes n’ont pas confiance dans ce Premier ministre qui porte un projet irresponsable aussi bien socialement qu’environnementalement. Nous voterons contre."

Marine Le PEN veut une dissolution

Alerte

Après la première réaction de Jordan Bardella, Marine Le Pen a, elle aussi, été très attentive à la présentation du Premier ministre : "François Bayrou n’a visiblement pas compris que les Français ont pleinement conscience de la crise économique et financière dans laquelle est plongée notre pays après huit années de macronisme, crise qui s’ajoute à tant d’autres échecs mettant en péril la survie même de notre nation."


"C’est justement parce qu’ils ont compris la gravité de la situation que nos compatriotes refusent les mesures du Premier ministre, aussi injustes qu’inefficaces., ajoute-t-elle. Nos concitoyens savent aussi qui est responsable de cet effondrement, à savoir les partis du système que nous combattons depuis tant d’années : gauche, droite et macronistes."

"Tous sont responsables et coupables, sauf le Rassemblement national et le projet que nous portons. C’est d’ailleurs pour cette raison que le système s’est allié aux dernières élections pour empêcher la vraie alternance. Nous voterons évidemment contre la confiance au gouvernement de François Bayrou. Seule la dissolution permettra désormais aux Français de choisir leur destin, celui du redressement avec le Rassemblement national."

Le CAC 40 recule après le discours de François Bayrou

La Bourse de Paris a nettement reculé, perdant près de 1,5%, dans la foulée de l'intervention de François Bayrou. Vers 17h20, le CAC 40 perdait 1,49% à 7.850,68 points, soit un recul de 119,01 points par rapport à la veille. Avant l'intervention du Premier ministre, il évoluait en légère baisse.

Le taux d'intérêt à dix ans de la dette française était en hausse, à 3,49%, contre 3,42% la veille.

"Jamais le RN ne votera la confiance"

Même son de cloche du côté du Rassembler national : "François Bayrou vient d’annoncer la fin de son gouvernement, miné par son immobilisme satisfait, a tweeté Jordan Bardella. Jamais le RN ne votera la confiance à un gouvernement dont les choix font souffrir le peuple français. Nos compatriotes attendent une alternance et un retour aux urnes : nous y sommes prêts."

LE PCF annonce lui aussi qu'il n'accordera pas sa confiance

"Le 8 septembre, il faudra faire tomber ce gouvernement", a réagi Léon Deffontaines, porte-parole du PCF, sur le réseau social X. 

Faut-il toucher aux aides aux entreprises ?

"Il ne faut pas additionner les carottes et les sèches cheveux", a répondu François Bayrou lorsqu'il lui a été suggéré de toucher aux aides aux entreprises pour résoudre la question de l'endettement de la France. "Il y a en effet des réglages à faire en baissant ces sommes, et en donnant en contrepartie plus de simplifications", a-t-il néanmoins ajouté en guise d'ouverture. 

49.3 ou pas de 49.3 ?

Olivier Bost, le chef du service politique de RTL a posé la question suivante : "Prendrez-vous l'engagement de ne pas recourir au 49.3 pour faire voter ensuite votre budget et faire respecter le résultat des discussions ?"

Réponse du Premier Ministre : "Je pense que ce n'est pas une idée absurde. C'est difficile. Cette idée n'est peut-être pas soutenable dans le débat. Mais l'épreuve de vérité du débat, on peut la développer sans 49.3. Cette idée ne m'est pas étrangère. Ça vous en bouche un coin !", a-t-il lâché dans un rire. 

Manuel Bompard répond immédiatement à François Bayrou

Réponse immédiate. La France insoumise votera "pour faire tomber le gouvernement", a annoncé le député Manuel Bompard, coordinateur national du mouvement. 

"Notre survie dépend de chaque parlementaire français"

Sans "accord" à l'Assemblée le 8 septembre, François Bayrou considérera que "l'action" est "impossible".


"Notre survie dépend de chaque parlementaire français", a souligné François Bayrou. "S'il faut recevoir tous les groupes parlementaires, je le ferai, mais je ne suis pas prêt à abandonner la cohérence et la logique de ce que nous avons proposé aux Français. C'est une question de survie", a-t-il ajouté. 

François Bayrou répond aux questions des journalistes

François Bayrou va demander un vote de confiance

Alerte

L'article 49 alinéa 1 de la Constitution est déclenché. Ce dernier dispose que "Le Premier ministre, après délibération du Conseil des ministres, engage devant l'Assemblée nationale la responsabilité du Gouvernement sur son programme ou éventuellement sur une déclaration de politique générale."

François Bayrou appelle les parlementaires à faire un choix clair, transparent et public en votant la confiance à son gouvernement. "Une clarification qui est la condition au ressaisissement du pays", note François Bayrou. 

Le vote aura lieu le 8 septembre prochain. Il "consacrera la dimension de l'effort" de près de 44 milliards d'euros de réduction du déficit public de la France, et seulement ensuite aura lieu "la discussion" sur "chacune des mesures de ce plan d'urgence", a affirmé le Premier ministre.

Bayrou donne son avis sur le mouvement du 10 septembre

Mouvement "radical" appelant à la "grève générale". François Bayrou a eu des termes très durs envers celles et ceux qui appellent à la lutte et à l'immobilisation du pays le 10 septembre prochain. Un mouvement dont il considère que "LFI et M. Mélenchon" ont pris la tête.

"Impossible d'acheter un appartement, une maison, une voiture"

Pour François Bayrou, il est devenu "impossible d'acheter un appartement, une maison, une voiture" avec la situation économique fragile que traverse la France. Les taux d'intérêts peuvent devenir un obstacle pour l'État, mais aussi pour les investissements individuels de chacun. 

"Je me battrai bec et ongles en prenant tous les risques pour éviter le danger du surendettement", a-t-il ajouté.

Le surendettement : "danger immédiat" de la FRance

"Chaque heure, la dette augmente de 12 millions d'euros", a alerté François Bayrou. "La charge de la dette va devenir, cette année, le budget le plus important de la nation. Les annuités que nous devons rembourser sont plus lourdes que le budget de l'Éducation nationale et des Armées", illustre le Premier ministre. 


La dépendance à la dette est devenue chronique", pointe le Premier ministre. François Bayrou est revenu sur les "crises considérables traversées" (citant les subprimes, les gilets jaunes, la terrible crise du Covid, la guerre d’annexion déclenchée par la Russie, la crise énergétique, les droits de douane imposés par les États-Unis) et a estimé qu’il était "normal d’essayer de passer la vague par l’emprunt".

"Il est anormal, a-t-il ajouté, qu’on ne soit jamais revenu en arrière. La dépendance à la dette est devenue chronique, et l’argent n’a pas été utilisé comme il aurait fallu pour investir, construire des universités, des hôpitaux, des laboratoires, mais pour les dépenses courantes."

"La terre ne tourne pas bien (...) et l'Europe non plus"

François Bayrou dessine, en préambule de sa prise de parole, un tableau sombre de l'état du monde. Rapports de forces militaires et financiers, oubli des enjeux climatiques, fin "du rêve d'une Europe qui compte dans le monde". 

La France aussi est au croisement des chemins. Le commerce extérieur en berne est, selon le Premier ministre, le résultat d'une faiblesse de la France sur sa production "en base de la pyramide". François Bayrou a pointé les forces du pays pour le haut de la pyramide (nucléaire, sciences, espace, chimie, génétique) mais une faiblesse pour la production industrielle plus basique. 

François Bayrou prend la parole

les ministres installés dans la salle de presse

François Bayrou prend la parole depuis l'avenue de Ségur, à Paris. Les ministres sont arrivés sur place et se sont installés. A quelques minutes du début de la conférence de presse, l'entourage du Premer ministre a indiqué que le budget présente n'est "pas un budget d'austérité".

un plan d'urgence pour l'école française

Le principal syndicat de l'enseignement primaire, la FSU-Snuipp, craint un budget de "rigueur" pour l'Education nationale et demande au contraire un plan d'urgence pour l'école française afin de la hisser "au rang des standards internationaux", a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse.


"En faisant le choix de ne pas augmenter les recettes de l'Etat, le Premier ministre confirme la rigueur imposée aux dépenses publiques. Ce sont les services publics qui vont en faire évidemment les frais, notamment l'éducation", s'inquiète la cosecrétaire de la FSU-Snuipp, Sandrine Monier, lors de la conférence à une semaine de la rentrée des classes.

les mises en garde du PS

"Je ne dis pas que la censure n'est pas à un moment envisageable, elle est aujourd'hui probable, mais s'il doit y avoir un dialogue, il faut qu'il soit poursuivi jusqu'au bout" de la discussion budgétaire à l'automne. A travers ces déclarations, François Hollande a donné à François Bayrou les lignes rouges du PS.

Quelles sont les mesures souhaitées par le PS pour le budget ? La réponse dans l'article ci-dessous ⬇️

"Le risque, c’est la diminution des services publics"

Philippe Laurent, vice-président de l'AMF et maire de Sceaux, affirmait sur RTL que le budget présenté par François Bayrou risque de déclencher une diminution du nombre et une baisse de la qualité des services publics.

"Nous alertons sur ce risque et également sur celui de la diminution des investissements", a ajouté le maire de Sceaux, dans les Hauts-de-Seine, qui précise que "les maires vont essayer de tout faire pour préserver le niveau de services publics". 

Retrouvez l'interview de Philippe Laurent dans notre article ci-dessous ⬇️

"Je sais que je suis minoritaire", déclare françois bayrou

Dans un entretien au Parisien, François Bayrou a rappelé le risque de "la chute de la falaise" si la France ne se dote pas d'un budget avec près de 44 milliards d'euros d'économies. "Je sais que je suis minoritaire", a reconnu le locataire de Matignon. "Seule l’adhésion des Français peut changer les choses dans ce climat de rapport de force", a-t-il indiqué en redoutant "un climat de force" pesant sur cette rentrée. 

Une réponse au mouvement "Bloquons tout le 10 septembre" ?

Si François Bayrou a choisi ce lundi 25 août pour marquer sa rentrée politique, c'est aussi afin de répondre au mouvement "Bloquons tout le 10 septembre". Selon notre sondage Toluna Harris Interactive, réalisé pour RTL, deux Français sur trois soutiennent le mouvement.

Qui sont ces Français qui veulent tout bloquer ? Retrouvez ce qu'il faut savoir sur ce mouvement dans notre article ci-dessous ⬇️

bonjour !

Bienvenue dans ce live consacré à la conférence de presse de François Bayrou de ce lundi 25 août. Cette grande explication de rentrée sera consacrée au budget présenté par le Premier ministre le 15 juillet dernier. 

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