VIDÉO - Philippe Caverivière : "Pauvre Vladimir Poutine, il est comme tous les parents, dépassés"

Elizaveta Krivonogikh, supposée fille illégitime de Vladimir Poutine, travaillerait en alternance dans une galerie d'art à Paris exposant des artistes opposés à la guerre.

"C'est une fille de l'Est, même de Moscou. Alors à mon avis, c'est sûrement une pistonnée. Déjà, première info, Poutine, il ne fait pas que tuer des gens, il en met au monde aussi. Alors, ça ne compense pas, la balance reste négative. Ce n'est pas Marcel Desailly ou Elon Musk non plus", a expliqué Philippe Caverivière dans sa chronique du jour. 

Et de s'interroger : "Alors, comment qu'elle a trouvé le job, celle-ci ?" "Je pense que quand tu reçois le CV avec le nom Poutine, Poutine, ça me parle, le nom me parle. Tu te dis, bon, dans le risque, dans le doute, je vais la prendre. Tu hésites à refuser, voilà. Elle serait alternante et expose des artistes anti-guerre. C'est vraiment le classique de l'ado qui fait tout contre son père pour le provoquer. Elle doit dire partout, Popov, elle a 10 000 potes, elle est gentille ! Non mais oh ! Comment tu parles de ton père ? T'as pas honte ? Ah bah oui, c'était OSS 117, bien sûr, on adore", a poursuivi l'humoriste.

Ironisant sur l'existence d'"un vrai lien entre les parents dangereux et les enfants artistes". "On se rappelle du fils Ben Laden, qui est devenu artiste en Normandie. C'est une vraie histoire. C'était compliqué de lui acheter un tableau, quand même, tu te mettais devant. Oh bah c'est beau ça, dis donc ! C'est de qui ? C'est de Ben Laden. Ah mais le fils ! Je vous en prends quatre, alors." Et de conclure : "C'est dommage que Hitler n'ait pas eu d'enfant, parce qu'on aurait eu des tableaux très sympas, sûrement, entre Vinci et Van Gogh. On se serait régalé."