Royaume-Uni : Charles III retire à Harry et Meghan leur résidence britannique

Selon plusieurs tabloïds anglais, le roi Charles III aurait envoyé au couple "un avis d'expulsion" concernant leur résidence britannique.

Charles III et le prince Harry, le 19 septembre 2022, à Windsor

Crédit : David Rose / POOL / AFP

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Les choses ne s’améliorent pas entre la famille royale britannique et le couple Harry et Meghan. Ce mercredi 1er mars, plusieurs médias britanniques ont affirmé que le roi Charles III a retiré au couple l’usage de Frogmore Cottage, leur résidence au Royaume-Uni. Le palais de Buckingham aurait notamment envoyé au duo installé aux États-Unis depuis 2020, "un avis d'expulsion".

Cette résidence de Frogmore Cottage est composée de cinq chambres. Située près du château de Windsor à l'ouest de Londres, elle avait été accordée au duc et duchesse de Sussex par Elizabeth II en 2018 comme cadeau de mariage. À noter que les travaux de rénovation menés par le couple pour plus de 2 millions d'euros aux frais du contribuable avaient choqué, et le prince Harry avait dû les rembourser une fois son départ avec Meghan Markle acté.

Selon nos confrères du Sun, le roi Charles III n’a pas proposé de nouvelle résidence au couple. Cette décision est sans doute une sanction liée à la publication du livre de Harry intitulé Le Suppléant, paru en janvier 2023. Dans ce texte, Harry s’est montré particulièrement critique et virulent envers la famille royale. Il y a notamment raconté une violente dispute avec son frère William, héritier du trône, et a porté des accusations envers la reine Consort Camilla.

Une chose est sûre, à un peu plus de deux mois du couronnement de Charles III, cette annonce ne risque pas de réchauffer les relations entre les différentes parties.

Au profit d’Andrew ?

Cette décision pourrait aussi profiter au prince Andrew. Toujours selon le Sun, le roi aurait demandé à son frère de venir vivre à Frogmore Cottage afin de réduire son train de vie. Tombé en disgrâce après des accusations d'agressions sexuelles et les révélations de son amitié avec le défunt financier américain Jeffrey Epstein, le prince Andrew pourrait en effet se voir retirer son allocution annuelle.

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