Journée tristement historique à Washington. Alors que le Congrès américain s'apprêtait à valider les résultats de l'élection présidentielle, des dizaines de partisans pro-Trump sont parvenus à pénétrer à l'intérieur du bâtiment, symbole de la démocratie américaine. Les scènes d'insurrection ont coûté la vie à une femme, abattue à l'intérieur même du Capitole.
La séance a pu reprendre, le vice-président Mike Pence prenant la parole et désavouant au passage Donald Trump. Celui-ci avait appelé ses troupes à se rassembler avant de tenir un meeting qui a mis le feu au poudres.
Ces pro-Trump qui mercredi ont attaqué le plus fort des symboles, refusent d'accepter la défaite. Ils sont le noyau dur de la MAGA Family (MAGA pour Make America Great Again, le slogan de la campagne de Trump en 2016), portant une colère contre Washington, contre les élites, contre Hollywood, la Silicon Valley.
Des vétérans, parfois ouvriers ou retraités, ont mercredi fait des centaines de kilomètres depuis des États ruraux pour se rendre à Washington. Beaucoup se sont enfermés dans la narration de Donald Trump, dans des réseaux d'information complotistes.
Parmi les hommes majoritairement blancs qui se sont engouffrés dans le Capitole, nombreux étaient ceux qui portaient un t-shirt estampillé de la lettre Q du réseau complotiste QAnon, persuadé que le parti démocrate est à la tête d'un réseau pédophile et sataniste.
Avec ce coup de force, ces militants n'acceptent pas la défaite mais estiment prendre une revanche sur le Congrès américain.
Coronavirus - De nouveaux départements pourraient rejoindre la liste des concernés par un couvre-feu avancé à 18 heures. Jean Castex prendra la parole en fin d'après-midi pour évoquer également les secteurs à l'arrêt.
Vaccins - Les présidents de régions demandent à pouvoir acheter des vaccins de leur côté. Hervé Morin (Normandie), estime notamment que les collectivités ont une meilleure connaissance du terrain et peuvent prodiguer une campagne de vaccination plus efficace.
Michelin - Le président du groupe déclare que l'entreprise n'abandonne pas la France après l'annonce de la suppression de 10% des effectifs, 2.300 postes en 3 ans. La direction promet qu'il n'y aura pas de fermeture d'usine ni de départs contraints.
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