En 2017, Cédric achète une maison. Le bien se veut tout de suite habitable, mais, pour que ses deux enfants aient chacun leur chambre, il n’a d’autre choix que de faire construire une extension. Dans cette perspective, il engage une entreprise de bâtiment conseillée par son agent immobilier. Il règle d’emblée 15.000 € pour lancer le chantier le 23 mai 2018. Au départ, tout semble plutôt bien s’enquiller.
Hélas, au fil des mois, il perd peu à peu le contrôle de la situation. Gérant bloqué en Italie, mauvaises dimensions de fenêtres, infiltrations… Les contretemps se multiplient. Malgré un règlement global de 48.040 € (sur 50.675 €), les travaux sont loin d’être terminés. A la place, au cours de l’été 2019, l’entreprise se paye le luxe de lui poser plusieurs lapins.
Et quand il envoie un courrier de mise en demeure, le 13 septembre, après 16 mois de chantier, il n’a droit qu’à un passage éclair du fils du gérant en son absence. Depuis, les promesses vaines s’accumulent. L’entrepreneur ne répond même pas à la convocation d’un conciliateur de justice.
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