313 atteintes à la laïcité sur un mois. C'est ce qu'a recensé le ministère de l'Éducation nationale a recensé en septembre dans les écoles, collèges et lycées du pays. Si les chiffres de ces signalements étaient publiés tous les trimestres, le ministre Pap Ndiaye a demandé à ce que ces chiffres soient désormais révélés tous les mois.
Le ministre fait notamment référence aux abayas et aux bandanas, portés par certaines jeunes filles musulmanes. L'Éducation nationale veut donc faire respecter la loi, interdisant les signes religieux ostentatoires à l'école. Si appliquer cette règle apparait comme simple pour un voile ou une grosse croix, la mission se complexifie pour certains vêtements. Il est ainsi difficile d'interdire les jupes longues et les bandeaux dans les cheveux.
Mais la manière de les porter peut poser un problème. Les différents chefs d'établissement ont la responsabilité d'évaluer les situations. Pap Ndiaye a d'ailleurs tenu à rappeler qu'ils n'étaient pas seuls. Les chefs d'établissement peuvent demander de l'aide auprès des équipes "Valeurs de la République" présentes dans toutes les académies. Au mois de septembre, 221 demandes de conseils ont ainsi été formulées.
Ces équipes peuvent aussi intervenir, si nécessaire, dans l'établissement pour établir un dialogue avec les élèves concernés. Le port des tenues (54%), certes en hausse, n'est pas le seul cas de signalements. 7% des signalements concernent des "refus d'activité scolaire", le pourcentage est aussi le même pour une "contestation d'enseignement". Les faits remontent principalement des lycées (51%), c'est nettement plus que sur la période avril-juillet où le taux était de 30%
Grève chez Total - Le groupe a promis une hausse des salaires de 6% et un bonus exceptionnel équivalent à un mois de salaire. Le pétrolier a suivi la demande formulée par Bruno Le Maire sur RTL, demandant à Total d'augmenter les salaires.
Justice - Une mère accuse Lidl d'avoir vendu de l'alcool à son fils mineur décédé dans un accident de la route. Un an et demi après le drame, la maman de Killian souhaite que chacun prenne ses responsabilités.
Paris Saint-Germain - Le club de la capitale aurait chargé une agence de communication à créer des faux comptes Twitter. Le but, mener des campagnes en ligne contre des cibles du club ainsi que des joueurs, dont un certain Kylian Mbappé.
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