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Boris Vallaud, président du groupe socialiste.
Crédit : Thomas SAMSON / AFP
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Une semaine après le vote des motions de censure déposées par La France insoumise et le Rassemblement national, lors duquel le Parti socialiste avait appelé ses députés à ne voter pour, la donne a-t-elle changé ? Ce jeudi 23 octobre, à la veille de l'examen de la partie recettes du budget 2026 de l’État à l’Assemblée nationale, Boris Vallaud laisse de nouveau planer la menace.
Dans un entretien accordé au Parisien, le chef des députés PS estime que "tout est possible" et que les socialistes se sont "réservé la possibilité de sanctionner à tout moment".
"Si le bloc central n'est pas capable de voter la taxe Zucman, cet impôt minimal et indispensable sur les très hauts patrimoines, s'il n'est pas capable de voter l’ISF sur les milliardaires, sur lequel nous avons travaillé et que nous proposerons, s'il n'est pas capable de justice fiscale, je ne suis pas sûr qu'il sera possible de discuter de la suite", annonce Boris Vallaud.
Auprès de l’AFP, Philippe Brun, chef de file du Parti socialiste sur le budget, assure, quant à lui, que "les macronistes ont 48 heures pour dire les concessions qu'ils sont prêts à nous accorder" et clame que "si [le PS] ne vot[e] pas la première partie alors il n'y aura pas de budget".
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