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Les actualités de 6h30 - Des députés visés par des menaces à cause du glyphosate

Plusieurs élus affirment avoir reçu des menaces de mort en raison de leurs votes. Antispécistes, opposants au glyphosate, plusieurs sujets seraient à l'origine de ces invectives.

L'Assemblée nationale le 12 septembre 2018

Crédit : Eric FEFERBERG / AFP

Les actualités de 6h30 - Des députés visés par des menaces à cause de leurs votes

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Les actualités de 6h30 - Des députés visés par des menaces à cause de leurs votes

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La rédaction de RTL

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Plusieurs parlementaires affirment avoir reçu des menaces de mort. Ces hostilités auraient commencé à se manifester au printemps dernier, à l'encontre d'élus de la France insoumise. Aujourd'hui, ce sont des mails agressifs de militants antispécistes qui valent au rapporteur de la loi Alimentation d'être protégé par les gendarmes.

Cendra Motin, députée La République En Marche de l'Isère qui s'était opposée à l'interdiction du glyphosate, l'herbicide controversé, a également reçu, à l'instar de certains de ses homologues, des centaines de messages menaçants.

"Quand je lis que on espère que je vais mourir dans d'atroces souffrances ou que je prends mon verre de glyphosate tous les matins au petit-déjeuner... (...) On sait qu'il y a des plateformes qui envoient des mails automatiques. (...) On est inondés de mails d'insultes et de menaces", témoigne la parlementaire au micro de RTL.

À écouter également dans ce journal :

Interdiction de l'alcool sur le campus de Centrale - Après le coup de colère sur RTL du père d'un étudiant mort à l'école Centrale, la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal a décidé d'interdire l'alcool sur le campus. Une décision qui n'est pas si simple à appliquer.

Prix du gaz - Les tarifs réglementés du gaz vont augmenter de 5% au 1er novembre, selon les informations du Figaro. Au total, la hausse est de plus de 16% depuis le début de l'année.

Affaire des bébés sans bras - Emmanuelle Amar, la directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes, devrait être licenciée ainsi que les cinq personnes qui travaillaient avec elle dans l'association. L'enquête officielle de Santé Publique France avait conclu qu'il n'y avait pas d'anomalies particulières dans ces naissances. Une enquête contestée par plusieurs scientifiques dans Le Monde.

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