Depuis plusieurs semaines, des actes de vandalisme ont été effectués au nom de l'écologie, notamment dans des musées. Il faut que cela s'arrête, car c'est totalement absurde. Il y a tout d'abord eu ces deux gamines, qui ont fait un buzz mondial en s'en prenant aux Tournesols de Van Gogh à coups de soupe à la tomate. Ce jeudi, c'était aux Pays-bas contre le tableau La Jeune Fille à la perle de Vermeer. Un militant écologiste s'est collé le front contre le tableau. On aurait franchement dû le laisser là.
C'est d'ailleurs ce qui s'est passé en Allemagne au musée Porsche. Des activistes s'étaient collés les mains au sol, mais le propriétaire a éteint la lumière, baissé le chauffage et il est parti en week-end. Les écolos sont restés en plan 42 heures. C'est tout ce qu'ils méritent.
Ils s'en sont pris à la fondation Perce-Neige en dégradant des voitures dans un espace payant du mondial de l'automobile, dont les sommes étaient reversées à l'association. Franchement, j'ai toujours du mal à comprendre leur combat et je ne suis pas la seule, je crois. On pouvait critiquer Greenpeace, mais il y avait un vrai engagement du temps de l'ONG. Ils partaient en zodiac se confronter aux chasseurs de baleines, partaient en guerre contre les essais nucléaires à Mururoa. Moi, je leur dis à ces activistes, prenez des risques, de vrais risques pour l'écologie.
Le pire, c'est que ma colère les sert encore. À chaque fois qu'on diffuse leurs images sur Twitter, cela les stimule. Ils ont réussi à nous instrumentaliser. C'est la dernière fois que j'en parle.
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