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Un homme masqué aux abords des Champs-Élysées, lors de la mobilisation du 24 novembre
Crédit : Bertrand GUAY / AFP
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On en sait plus sur le profil des casseurs. Contrairement à ce que disait Christophe Castaner samedi 24 novembre, lors du deuxième acte de la grande mobilisation des "gilets jaunes", le profil des 101 personnes interpellées à Paris est bien disparate.
Une immense majorité des manifestants placés en garde à vue sont considérés comme des "suiveurs". Entendez par là des hommes et des femmes venus de régions et sans antécédent judiciaire, qui se sont laissés griser par des leaders plus radicaux.
Ces derniers appartiendraient à l'ultra-gauche, comme en témoignent les signes distinctifs qu'ils arboraient au moment de leur interpellation. Ils sont plus jeunes, entre 25 et 30 ans, mais surtout plus déterminés alors que certains ont reconnu qu'ils étaient venus sur les Champs-Élysées pour faire des dégâts.
Des profils à premier vue assez loin donc de la "peste brune" dénoncée par Gérald Darmanin dimanche 25 novembre lors du Grand Jury. Cependant, l'ultra-gauche n'était pas seule sur la célèbre avenue parisienne alors que des membres liés à l'ultra-droite se sont également mêlés à la manifestation dans le courant de la matinée.
Les "gilets jaunes", qui protestent contre la hausse des prix du carburant et plus largement contre la baisse du pouvoir d'achat, étaient plus plus de 100.000 personnes à travers la France, dont 8.000 à Paris.
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