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EN DIRECT - Blocages du 10 septembre : 175.000 participants recensés en fin d'après-midi en France

175.000 participants ont rejoint le mouvement "Bloquons tout", ce mercredi 10 septembre en France, selon l'Intérieur. En fin de journée, le ministère mentionne 473 interpellations.

La façade d'un immeuble de Paris en feu le 10 septembre 2025
Crédit : Morad Djabari / RTL
La rédaction numérique de RTL
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Les infos à retenir
  • Plusieurs actions ont débuté partout en France ce mercredi 10 septembre dans le cadre du mouvement "Bloquons tout". Après une "nuit calme", le déploiement massif des forces de l'ordre permet souvent d'intervenir avant les blocages.
  • La préfecture de police a annoncé que les forces de l'ordre ont empêché une tentative d'intrusion à la gare du Nord, à Paris.
  • 295 interpellations ont eu lieu depuis le début de la journée de mobilisation dans toute la France.

    La façade d'un immeuble en feu dans le centre de Paris, des tensions et des dégradations dans plusieurs villes.
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5.000 personnes mobilisées à Nantes

La préfecture de la Loire-Atlantique annonce que la mobilisation du jour a rassemblé 5.000 personnes, "concentrées en un seul point place du Commerce", à Nantes. 

Les policiers ont procédé à 35 interpellations (33 à Nantes et 2 Saint-Nazaire) et les pompiers sont intervenus 34 fois pour des feux de barricade ou de poubelles à Nantes. 

Bruno Retailleau dénonce un "détournement" du mouvement

Le ministre démissionnaire de l'Intérieur dénonce, ce mercredi soir, un "détournement" du mouvement du 10 septembre par "la mouvance d'extrême gauche et de l'ultra gauche."

Après une nouvelle réunion de la cellule interministérielle de crise, présidée par le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, Bruno Retailleau a fait un point sur cette journée marquée, selon lui, par la "mise en échec de celles et ceux qui voulaient bloquer le pays." 

Le président des Républicains évoque toutefois une "mobilisation importante avec près de 200.000" participants sur l'ensemble du territoire.

Sophie Binet dans RTL Soir : "Nous avons recensé plus de 250.000" personnes "sur tout le territoire"

Sophie Binet était l'invitée de RTL Soir, ce mercredi, présenté par Anne-Sophie Lapix. La secrétaire générale de la CGT indique que son syndicat a recensé "plus de 250.000" participants "sur tout le territoire." 

La syndicaliste poursuit : "On a recensé plus de 1.000 actions de grève, et nous savons que nos chiffres ne sont pas exhaustifs, donc c'est une journée qui est très réussie."

Questionnée sur les raisons qui ont poussé la CGT à rejoindre le mouvement du 10 septembre, Sophie Binet explique que "les revendications" qui cimentent la mobilisation "rejoignent" celles de la CGT, "à savoir la question de la justice sociale et le rejet de ce budget Bayrou." 

INterpellations dans la capitale : "nous avons une majorité d'hommes", indique Laure Beccuau, procureure de Paris

Invitée du journal de 19h dans RTL Soir, Laure Beccuau, procureure de Paris, a fait le point sur la situation dans la capitale après cette journée de mobilisation. "Ce que je peux vous dire, c'est que nous avons une majorité d'hommes, puisqu'il y en a environ 125-127, et que nous avons des femmes pour une proportion inusitée, puisque nous étions à plus de 70 femmes interpellées au moment où nous avons été contactées, c'est-à-dire vers 16h30", explique la procureure de la République. 

"Bloquons tout" : 175.000 participants en France, 473 interpellations

Le ministère de l'Intérieur annonce 473 interpellations dans toute la France ce mercredi soir. 339 personnes ont été placées en garde à vue. Le ministère indique que 13 policiers ou gendarmes ont été blessés légèrement durant la journée. 

À 17h, "les services ont recensé 812 actions dont 550 rassemblements et 262 blocages, réunissant 175.000 participants", précise le ministère qui 

La situation est particulièrement tendue à Rennes (35), Nantes (44) ou Paris (75). 

Des axes routiers affectés

Plusieurs axes routiers sont affectés par des manifestations du mouvement "bloquons tout", ce mercredi 10 septembre, en particulier dans l'ouest de la France, tandis que des lignes ferroviaires ont été visées par des "actes de malveillance" et le nœud central des transports franciliens fermé par mesure de sécurité.

Les conséquences des manifestations sont visibles "dans les environs de Rennes, Caen et Nantes", notamment sur les périphériques de ces agglomérations, a indiqué le ministère des Transports dans une mise à jour en milieu d'après-midi.

Parmi les autres événements "significatifs" figurent une opération escargot sur l'A36 entre Belfort et Montbéliard, la coupure de l'autoroute Toulouse-Paris en Haute-Vienne et les accès routiers à Rodez bloqués.

Les péages d'accès au tunnel du Mont-Blanc ont "fait l'objet de tentatives d'envahissement", selon la même source, qui note que les routes de la partie nord de la France semblent davantage épargnées par le mouvement.

À Paris, 199 interpellations dont 99 en garde à vue

Laure Beccuau, procureure de la République de Paris, annonce que 199 personnes ont été interpellées par les policiers dans la capitale ce mercredi 10 septembre. 99 sont actuellement en garde à vue.   

Un rassemblement est en cours place de la République. 

Concernant l'incendie de la façade d'une immeuble, rue St Denis, une enquête a été ouverte pour dégradation. Selon la procureure, il pourrait s'agir d'un départ de feu involontaire survenu lors de l'intervention des policiers. 

Circulation toujours interrompue entre Toulouse et Auch

La SNCF a annoncé que la circulation restait "interrompue entre Toulouse et Auch en raison d'un acte de malveillance ayant dégradé des câbles cette nuit. Elle le restera toute la journée".


Dans le Sud-Ouest toujours, des câbles électriques ont été sectionnés entre Marmande et Agen mais ces dégâts ont été réparés et le trafic a pu reprendre.

L'entreprise ferroviaire a indiqué que "des tentatives d'envahissement de plusieurs gares", comme la Gare du Nord à Paris, celles de Marseille et de Montpellier, avaient été "empêchées par les forces de l'ordre" et que la circulation des trains via les gares de Cherbourg et de Valence-Ville avait pu reprendre après avoir été brièvement interrompue en fin de matinée en raison d'"occupations de voies".

Des enquêtes sont en cours sur les actes de malveillance et SNCF Réseau va déposer plainte, a ajouté la SNCF.
Le ministère des Transports a cité des "exactions", telles que le "cadenassage d'une grille d'accès à une gare en Ile-de-France, des jets de pétards" sur une voie, ou encore la "présence de palettes sur les voies entre Rennes et Redon".

Manifestation terminée à Bordeaux, 4 interpellations

Selon la préfecture de police, plus de 6.000 personnes ont manifesté cet après-midi à Bordeaux. 4 personnes ont été interpellées durant la déambulation dans les rues bordelaises. 

Par ailleurs, un regroupement d'étudiants est actuellement en cours devant la fac de la Victoire. Les forces de l'ordre sont sur place selon notre correspondant Philippe De Maria.

À Paris, Un immeuble en feu à Châtelet

La tension ne redescend pas à Châtelet, à Paris. La façade d'un immeuble est actuellement en feu rue St Denis. Les pompiers sont sur place. La place a été évacuée par la police. 

295 personnes interpellées en France

Dans le cadre du mouvement du "Bloquons tout" le 10 septembre, 295 personnes ont été interpellées en France, dont 171 en région parisienne. Plusieurs centaines de personnes sont rassemblées place du Châtelet, à Paris, dans le calme. 

Au moins 214 personnes interpellées

Au moins 214 personnes ont été interpellées en France, mercredi 10 septembre, dans le cadre du mouvement "Bloquons tout", ont indiqué la préfecture de police de Paris, la gendarmerie et la police nationale. 

Une tentative d'intrusion déjouée à la gare du Nord

Un attroupement d'un millier de personnes a tenté d'entrer dans la gare du Nord, mercredi 10 septembre, mais l'action a été déjouée par les forces de l'ordre, a indiqué la préfecture de police de Paris.

Bruno Retailleau annonce "près de 200 interpellations"

"La mobilisation n'a rien d'une mobilisation citoyenne. Elle a été détournée, confisquée, captée par la mouvance de l'extrême-gauche, de l'ultra gauche", a indiqué le ministre démissionnaire de l'Intérieur, Bruno Retailleau, lors d'une conférence de presse mercredi 10 septembre. 

"Il y a eu près de 200 interpellations", a-t-il ajouté. Au total, une cinquantaine d'actions de déblocage ont eu lieu, sur des rocades, des axes routiers, ou encore des dépôts de tramways et de bus. 

"Bloquons tout" : le récit de la journée

Environ 200.000 personnes se sont mobilisées, ce mercredi 10 septembre, pour tenter de bloquer le pays. Malgré des incidents et des affrontements avec les forces de l'ordre, la CGT a salué une journée "très réussie".
Retrouvez le récit de cette journée de mobilisation inédite

5.000 personnes mobilisées à Nantes

La préfecture de la Loire-Atlantique annonce que la mobilisation du jour a rassemblé 5.000 personnes, "concentrées en un seul point place du Commerce", à Nantes. 

Les policiers ont procédé à 35 interpellations (33 à Nantes et 2 Saint-Nazaire) et les pompiers sont intervenus 34 fois pour des feux de barricade ou de poubelles à Nantes. 

Bruno Retailleau dénonce un "détournement" du mouvement

Le ministre démissionnaire de l'Intérieur dénonce, ce mercredi soir, un "détournement" du mouvement du 10 septembre par "la mouvance d'extrême gauche et de l'ultra gauche."

Après une nouvelle réunion de la cellule interministérielle de crise, présidée par le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, Bruno Retailleau a fait un point sur cette journée marquée, selon lui, par la "mise en échec de celles et ceux qui voulaient bloquer le pays." 

Le président des Républicains évoque toutefois une "mobilisation importante avec près de 200.000" participants sur l'ensemble du territoire.

Affrontements en cours place de la République à Paris

Vers 18h30, des affrontements - qui se poursuivent toujours à cette heure - ont éclaté entre des manifestants et les policiers place de la République, à Paris.

Sophie Binet dans RTL Soir : "Nous avons recensé plus de 250.000" personnes "sur tout le territoire"

Sophie Binet était l'invitée de RTL Soir, ce mercredi, présenté par Anne-Sophie Lapix. La secrétaire générale de la CGT indique que son syndicat a recensé "plus de 250.000" participants "sur tout le territoire." 

La syndicaliste poursuit : "On a recensé plus de 1.000 actions de grève, et nous savons que nos chiffres ne sont pas exhaustifs, donc c'est une journée qui est très réussie."

Questionnée sur les raisons qui ont poussé la CGT à rejoindre le mouvement du 10 septembre, Sophie Binet explique que "les revendications" qui cimentent la mobilisation "rejoignent" celles de la CGT, "à savoir la question de la justice sociale et le rejet de ce budget Bayrou." 

INterpellations dans la capitale : "nous avons une majorité d'hommes", indique Laure Beccuau, procureure de Paris

Invitée du journal de 19h dans RTL Soir, Laure Beccuau, procureure de Paris, a fait le point sur la situation dans la capitale après cette journée de mobilisation. "Ce que je peux vous dire, c'est que nous avons une majorité d'hommes, puisqu'il y en a environ 125-127, et que nous avons des femmes pour une proportion inusitée, puisque nous étions à plus de 70 femmes interpellées au moment où nous avons été contactées, c'est-à-dire vers 16h30", explique la procureure de la République. 

"Bloquons tout" : 175.000 participants en France, 473 interpellations

Le ministère de l'Intérieur annonce 473 interpellations dans toute la France ce mercredi soir. 339 personnes ont été placées en garde à vue. Le ministère indique que 13 policiers ou gendarmes ont été blessés légèrement durant la journée. 

À 17h, "les services ont recensé 812 actions dont 550 rassemblements et 262 blocages, réunissant 175.000 participants", précise le ministère qui 

La situation est particulièrement tendue à Rennes (35), Nantes (44) ou Paris (75). 

Des axes routiers affectés

Plusieurs axes routiers sont affectés par des manifestations du mouvement "bloquons tout", ce mercredi 10 septembre, en particulier dans l'ouest de la France, tandis que des lignes ferroviaires ont été visées par des "actes de malveillance" et le nœud central des transports franciliens fermé par mesure de sécurité.

Les conséquences des manifestations sont visibles "dans les environs de Rennes, Caen et Nantes", notamment sur les périphériques de ces agglomérations, a indiqué le ministère des Transports dans une mise à jour en milieu d'après-midi.

Parmi les autres événements "significatifs" figurent une opération escargot sur l'A36 entre Belfort et Montbéliard, la coupure de l'autoroute Toulouse-Paris en Haute-Vienne et les accès routiers à Rodez bloqués.

Les péages d'accès au tunnel du Mont-Blanc ont "fait l'objet de tentatives d'envahissement", selon la même source, qui note que les routes de la partie nord de la France semblent davantage épargnées par le mouvement.

Laure Beccuau, procureure de Paris, est l’invitée du journal de RTL.

La procureure de Paris, Laure Beccuau, est l'invitée du journal de 18h dans RTL Soir, présenté par Anne-Sophie Lapix. 

Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, est, quant à elle, l'invitée d'Anne-Sophie Lapix à 18h40. 

À Paris, 199 interpellations dont 99 en garde à vue

Laure Beccuau, procureure de la République de Paris, annonce que 199 personnes ont été interpellées par les policiers dans la capitale ce mercredi 10 septembre. 99 sont actuellement en garde à vue.   

Un rassemblement est en cours place de la République. 

Concernant l'incendie de la façade d'une immeuble, rue St Denis, une enquête a été ouverte pour dégradation. Selon la procureure, il pourrait s'agir d'un départ de feu involontaire survenu lors de l'intervention des policiers. 

À Lille, Des tensions sur la place Sébastopol

Des tensions ont éclatées entre les manifestants et les forces de l'ordre sur la place Sébastopol à Lille. 

Circulation toujours interrompue entre Toulouse et Auch

La SNCF a annoncé que la circulation restait "interrompue entre Toulouse et Auch en raison d'un acte de malveillance ayant dégradé des câbles cette nuit. Elle le restera toute la journée".


Dans le Sud-Ouest toujours, des câbles électriques ont été sectionnés entre Marmande et Agen mais ces dégâts ont été réparés et le trafic a pu reprendre.

L'entreprise ferroviaire a indiqué que "des tentatives d'envahissement de plusieurs gares", comme la Gare du Nord à Paris, celles de Marseille et de Montpellier, avaient été "empêchées par les forces de l'ordre" et que la circulation des trains via les gares de Cherbourg et de Valence-Ville avait pu reprendre après avoir été brièvement interrompue en fin de matinée en raison d'"occupations de voies".

Des enquêtes sont en cours sur les actes de malveillance et SNCF Réseau va déposer plainte, a ajouté la SNCF.
Le ministère des Transports a cité des "exactions", telles que le "cadenassage d'une grille d'accès à une gare en Ile-de-France, des jets de pétards" sur une voie, ou encore la "présence de palettes sur les voies entre Rennes et Redon".

Manifestation terminée à Bordeaux, 4 interpellations

Selon la préfecture de police, plus de 6.000 personnes ont manifesté cet après-midi à Bordeaux. 4 personnes ont été interpellées durant la déambulation dans les rues bordelaises. 

Par ailleurs, un regroupement d'étudiants est actuellement en cours devant la fac de la Victoire. Les forces de l'ordre sont sur place selon notre correspondant Philippe De Maria.

33 interpellations à Toulouse

Une manifestation rassemble plusieurs milliers de personnes actuellement à Toulouse où 33 individus ont été interpellés selon notre correspondant Patrick Tejero. 

À Paris, Un immeuble en feu à Châtelet

La tension ne redescend pas à Châtelet, à Paris. La façade d'un immeuble est actuellement en feu rue St Denis. Les pompiers sont sur place. La place a été évacuée par la police. 

À Rennes, la place Sainte-Anne a été évacuée

À 15h, plus de 1.000 personnes étaient toujours présentes place Sainte-Anne à Rennes. Le site est maintenant évacué après, notamment, l'utilisation d'un canon à eau par les forces de l'ordre. 

La gendarmerie annonce 16 interpellations

La gendarmerie nationale, dans son point de situation de 15h45, annonce 16 interpellations : 

- 2 interpellations à Poitiers (A10) lors de la vague de refoulement 
- 2 interpellation à St-Paul (974) pour des tags 
- 1 interpellation à Gaillac (81) lors de la libération d’un rond-point 
- 1 interpellation Pontet (84) pour rébellion et entrave à la circulation
- 2 interpellations Tournus (71) : tentative de blocage de D906
- 4 interpellations La Saline les hauts (974) : participation attroupement, dégradations 
- 1 interpellation à Annonay (07) : détention armes
-1 interpellation à Montbrison (42) : Violences sur militaires de la gendarmerie nationale plus outrages
- 1 interpellation Tournus (71) : outrage
- 1 interpellation Autun (71) : outrage.

À Paris, le Forum des Halles est fermé

Des tensions sont en cours entre les manifestants et les forces de l'ordre autour du Forum des Halles et non loin de la place du Châtelet, à Paris. Le Forum a d'ailleurs été fermé pour empêcher les tentatives de pillages. 

À noter, les RER A,B et D ne s'arrêtent plus à la station Châtelet - Les Halles, tout comme les lignes 1, 4, 11 et 14 du métro. 


À Paris, le Forum des halles a été fermé pour éviter les pillages.
Crédit Image : Photo de Morad Djabari

La situation toujours tendue à Lyon

Selon les informations de notre correspondant Frédéric Perruche, la situation est toujours très tendue à Lyon. Au moins treize personnes ont déjà été interpellées. 

Les zones autour du palais de justice et en centre-ville sont particulièrement touchées. 

800 personnes à Béziers

À Béziers, dans la ville de Robert Ménard, 800 personnes étaient rassemblées, ce mercredi 10 septembre, place de la Bourse. 

6.000 manifestants à Montpellier

La préfecture de l'Hérault a communiqué sur la mobilisation à Montpellier ce mercredi. Plus de 6.000 personnes étaient présentes dans le cortège stoppé place de la Comédie. 

Les force de l'ordre ont ensuite procédé à l'évacuation des lieux, notamment en utilisant des gaz lacrymogènes et leur engin lanceur d'eau. 1.500 personnes graviteraient toujours autour de la place de la Comédie.   

Des dégradations ont été constatées par les fonctionnaires de police sur les parcours des manifestations non déclarées.  "Au total, les policiers ont interpellé 12 individus. 9 sont actuellement en garde à vue", indique la préfecture.  

430 actions depuis ce matin en France

Le ministère de l'Intérieur a recensé 430 actions (157 blocages et 273 rassemblements) depuis ce matin en France. Ces actions ont rassemblé environ 30.000 personnes. 

À Paris, Jean-Luc Mélenchon est arrivé place du Châtelet

Le patron de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, est arrivé place du Châtelet, à Paris, où des centaines de manifestants sont en train de converger. 

À Caen, la gendarmerie a procédé à l'évacuation d'un viaduc

Bloqué dans la matinée, le viaduc de Calix près de Caen a été évacué par les gendarmes. 

UN gendarme lègèrement blessé à Rennes

La gendarmerie nationale a publié un bilan provisoire à 14h30. En zone gendarmerie, 229 actions sont actuellement en cours pour un volume de manifestants estimé à 10.000 personnes. 

Parmi ces actions, neuf concernent des blocages d'axes et 198 rassemblements sont recensés.  Les gendarmes ont interpellé un manifestant à Montbrison pour des violences et outrage sur dépositaire de l'autorité publique. Enfin, on compte un blessé léger parmi les militaires à Rennes. 

295 personnes interpellées en France

Dans le cadre du mouvement du "Bloquons tout" le 10 septembre, 295 personnes ont été interpellées en France, dont 171 en région parisienne. Plusieurs centaines de personnes sont rassemblées place du Châtelet, à Paris, dans le calme. 

203 rassemblements comptés par la gendarmerie

Selon les derniers chiffres de la gendarmerie nationale, 238 actions sont en cours dans les territoires couverts par les gendarmes. Le nombre de manifestants est estimé à environ 13.500 personnes. Ont été recensés 11 actions de blocages d'axes,  203 rassemblements et quatre interpellations supplémentaires à la Saline les Hauts, à La Réunion.

Mobilisation plutôt faible dans le Morbihan

La préfecture du Morbihan a fait le point à la mi-journée sur plusieurs mobilisations dans le département breton. 

À Lorient,  2.200 manifestants au plus fort ont été recensés dans le cortège. Le préfet indique que "les tentatives d’envahissement sur la RN 165 ont été empêchées par l’intervention des forces de l’ordre."

À Vannes, 1.100 personnes ont participé à la manifestation déclarée en préfecture. Enfin, à Pontivy, environ 600 personnes ont déambulé dans les rues. 

une centaine de lycées perturbés

Une centaine de lycées étaient perturbés et 27 étaient bloqués, mercredi 10 septembre, selon le ministère de l'Education nationale, notamment à Paris, à Montpellier, Rennes et Lille. Dans le même temps, des mobilisations étudiantes ont été recensées à Paris, Rennes, Grenoble, Montpellier, Toulouse, Lyon, Mulhouse et Nice, selon l'Union étudiante et l'Unef.

Un cortège significatif à Marseille

Un cortège de plusieurs milliers de personnes a défilé à Marseille, mercredi 10 septembre, à l'occasion du mouvement "Bloquons tout". Selon un bilan provisoire de la préfecture de police des Bouches-du-Rhône, ils étaient 8.000 manifestants, 30.000 selon un membre de l'organisation du 10 septembre et 80.000 selon la CGT.

à Mondeville, les salariés de Valeo, inquiets, soutiennent "Bloquons tout"

L'inquiétude des salariés de l'équipementier automobile Valeo à Mondeville, en Normandie. Les ouvriers qui soutiennent le mouvement "Bloquons tout" sont en grève depuis le lundi 8 septembre. Un fonds d'investissement chinois rachète le site à la fin de l'année. Les salariés n'ont aucune garantie sur le maintien des emplois. Et l'instabilité politique alimente l'incertitude.

La manifestation s'élance à Bordeaux

La manifestation dans le cadre du mouvement du 10 septembre a débuté à Bordeaux ce midi. Entre 3.500 et 8.000 personnes ont été enregistrées. 

Au moins 250 interpellations dans toute la France

Selon le ministère de l'Intérieur, au moins 250 personnes ont été interpellées dans toute la France, mercredi 10 septembre. Les gendarmes ont procédé à de nouvelles interpellations : 1 à Avignon pour rébellion et entrave à la circulation, deux à Tournus pour tentative blocage de l'A20 et une à Belfort, d'un individu qui cherchait à rejoindre l'A36. 

Par ailleurs, 26 personnes ont été interpellées à Toulouse ce matin, a indiqué la préfecture. 

Trois interpellations à ARles, une à Marseille

Trois personnes ont été interpellées à Arles mercredi 10 septembre, dont une en lien avec des violences sur une personne dépositaire de l'autorité publique. À Marseille, une personne a été interpellée, plusieurs poubelles ont été brûlées et des dégradations ont été recensées. Trois tirs de lacrymogène ont eu lieu pour disperser les petits groupes qui tentaient de bloquer. Environ 8.000 manifestants ont été recensés. 

La ligne BORDEAUX-Agen a été sabotée

La ligne de train Bordeaux-Agen a été victime d'un sabotage, mercredi 10 septembre. Le trafic a repris dans le sens Agen-Bordeaux, avec un retour à la normale à la mi-journée. Des réparations sont toujours en cours dans le sens Bordeaux-Agen pour un retour à la normale dans l'après-midi.

Neuf interpellations à Lyon, 5 à Montpellier

Neuf personnes ont été interpellées à Lyon, mercredi 10 septembre et 5 à Montpellier, où 2.000 manifestants ont été recensés à la mi-journée. 

Le point sur les manifestations à midi

À Lorient, des manifestants ont tenté d'accéder à la RN 165, sur l'axe Brest-Nantes et ont été repoussés par des lacrymogènes. À Caen, deux ronds-points ont été débloqués par les forces de l'ordre. Au Mans, une manifestation a lieu dans le centre-ville, tandis que 200 jeunes manifestent dans les rues de Dinan. 

À Marseille, le trafic ferroviaire est perturbé avec 1 TER sur 2 en circulation, un trafic TGV normal et 1 train sur 2 sur l'Intercités Bordeaux Marseille. 

Les gendarmes ont noté plusieurs incendies comme à Thin-Le-Moutier ou à Barbezieux-Saint-Hilaire. Une opération péage gratuit est en cours sur l'A6 au niveau de la commune Le Val-Larrey.

Au moins 214 personnes interpellées

Au moins 214 personnes ont été interpellées en France, mercredi 10 septembre, dans le cadre du mouvement "Bloquons tout", ont indiqué la préfecture de police de Paris, la gendarmerie et la police nationale. 

Comment se déroule la grève dans le transport aérien ?

Sur le plan de la navigation aérienne, une montée progressive des retards est attendue au cours de la matinée. Le Centre en route de al navigation aérienne Sud-Est sera en service minimum dès 18h. L'impact sera fort pour des vols à destination de Nice, Marseille, Lyon et la Corse dans la soirée. 

Des manifestations affectent certains aéroports avec un accès perturbé à Nantes, des perturbations des transports en commun pouvant empêcher l'accès à l'aéroport pour les passagers à Toulouse, mais aussi quelques personnes signalées devant l'aéroport à La Réunion.

Le point sur les grèves dans les transports en Île-de-France

En Île-de-France, le trafic est normal sur les lignes de métro. Le trafic est perturbé sur le RER B avec deux trains sur trois et une interconnexion maintenue en Gare du Nord. Pour le tramway, plusieurs incidents et tentatives de blocages ont été maîtrisés sans incidence sur la continuité d'exploitation. Le trafic des Transiliens est globalement perturbé, tandis que celui des bus est globalement normal, avec 9 bus sur 10.

La gendarmerie a recensé 216 actions et 7.500 manifestants

La gendarmerie nationale a dénombré 216 actions pour un volume d'environ 7.500 manifestants. Au total, 18 actions de blocages d'axes ont été recensés, ainsi que 165 rassemblements. Les gendarmes ont procédé à cinq interpellations : deux personnes lors de la vague de refoulement sur l'A10, deux à La Réunion pour des tags sur la commune de Saint Paul et une personne sur un rond point à Gaillac. 

Actuellement, 100 personnes bloquent l'A20 dans le sens sud nord au niveau de Saint Hilaire à la Bonneval à la sortie 39, avec six tracteurs et 10 véhicules légers. 

192 interpellations dont 132 à Paris

Au total, 192 interpellations ont eu lieu en France, dont 132 à Paris. À 9h30, les forces de l'ordre avaient procédé à 48 actions de déblocage. Dès 7h30, 141 événements ont été recensés. Les services observent des actions disparates sur le territoire avec alternance de rassemblements pacifiques et de blocages d'axes routiers. Les manifestants sont particulièrement revendicatifs dans les grandes agglomérations. Les actions les plus significatives ont eu lieu à Rennes, Nantes, Grenoble, Lyon, Lille, Caen et Toulouse.

À Lyon, des casseurs ont été aperçus. Un policier a été blessé par un jet de pavé. Au total, cinq interpellations ont été effectuées, avec un retour au calme depuis 10h. D'autres perturbations sont attendues dans l'après-midi. 

Quels périphériques sont bloqués ?

Il est 11h, l'heure de faire un point sur les blocages de périphériques. Selon une source policière, un blocage est en cours à Bagnolet, un autre à Aubervilliers  avec un départ de feu. Le périphérique est bloqué à la Villette, mais aussi aux Lilas, avec un incendie. Un blocage est en cours à Clignancourt, où un incendie a été rapporté. Le périphérique est aussi bloqué à Vincennes et au Pré-Saint-Gervais. 

Une centaines d'individus étaient regroupés à Châtillon, Montreuil, Italie et Ivry mais ont été intercepté par les forces de l'ordre. Celles-ci sont aussi présentes sur le boulevard Davout, la porte de Bagnolet et la porte de Montreuil. 

Une tentative d'intrusion déjouée à la gare du Nord

Un attroupement d'un millier de personnes a tenté d'entrer dans la gare du Nord, mercredi 10 septembre, mais l'action a été déjouée par les forces de l'ordre, a indiqué la préfecture de police de Paris.

Quelle mobilisation sur le réseau ferroviaire ?

Le trafic ferroviaire est globalement conforme aux prévisions, mercredi 10 septembre. Dans le détail, le plan de transport est normal pour les TGV, 7 trains sur 10 circulent pour les TER et un Intercités sur 2. Des incendies de câbles, survenus durant la nuit, ont perturbé la circulation sur la ligne Toulouse-Auch, tandis que la trafic est fortement perturbé entre Marmande et Agen. 

Bruno Retailleau annonce "près de 200 interpellations"

"La mobilisation n'a rien d'une mobilisation citoyenne. Elle a été détournée, confisquée, captée par la mouvance de l'extrême-gauche, de l'ultra gauche", a indiqué le ministre démissionnaire de l'Intérieur, Bruno Retailleau, lors d'une conférence de presse mercredi 10 septembre. 

"Il y a eu près de 200 interpellations", a-t-il ajouté. Au total, une cinquantaine d'actions de déblocage ont eu lieu, sur des rocades, des axes routiers, ou encore des dépôts de tramways et de bus. 

Des salariés solidaires du mouvement dans le calvados

Les salariés de l'équipementier automobile Valeo, à Mondeville, dans le Calvados, soutiennent le mouvement "Bloquons tout" et sont en grève depuis lundi 8 septembre. Un fonds d'investissement chinois va racheter le site à la fin de l'année 2025 et les salariés n'ont pas de garantie sur le maintien des emplois. "Malheureusement, on ne se fait entendre que par des gros coups de poing sur la table", a regretté un salarié. "La France a un ras-le-bol général", a ajouté une salariée. 

Le point sur la situation à Nantes et à Rennes

Il est presque 10h, l'occasion de faire un point sur les blocages dans l'ouest de la France. À Nantes, plusieurs points de blocage ont été enregistrés sur le périphérique. La situation est confuse, avec la présence de gaz lacrymogène. La circulation est très difficile et le trafic est saturé. 

À Rennes, sur la rocade, des nuages de lacrymogène tentent de disperser les manifestants. Ils répliquent avec des pierres et des tirs de mortiers. Des ultras sont présents des deux côtés de la rocade face aux forces de l’ordre. La circulation est très difficile. Un bus est en feu sur la rocade au niveau de porte d'Alma. Par ailleurs, plusieurs lycées de Rennes sont bloqués.

au moins 105 interpellations en France

Au moins 95 personnes ont été interpellées en agglomération parisienne, lundi 10 septembre, a indiqué la préfecture de police de Paris. Au total, au moins 105 personnes ont été interpellées selon les informations de la police et de la gendarmerie nationales.

Quelles sont les manifestations prévues ?

En plus des actions de blocage à travers la France, des manifestations plus classiques sont prévues, mercredi 10 septembre. Elles doivent se tenir en fin de matinée à Rennes et à Nantes, mais aussi à la mi-journée place du Châtelet à Paris. À Toulouse, une manifestation est annoncée à 14h30. 

75 interpellations en agglomération parisienne

Selon la police, 75 interpellations ont été dénombrées mercredi 10 septembre au matin dans l'agglomération parisienne, à la suite de blocages ou tentatives de blocage du périphérique dans le cadre de la mobilisation "Bloquons tout", a indiqué la Préfecture de police. Environ 6.000 policiers et gendarmes sont mobilisés dans la capitale, où différentes actions ont été constatées.

Des blocages à strasbourg et en Bretagne

Sur l'autoroute près de Strasbourg, 70 manifestants ont été enregistrés. La circulation est perturbée vers Colmar et Strasbourg. 

En Bretagne, le lycée Joseph Savina à Tréguier, dans les Côtes d’Armor, est partiellement bloqué. À Morlaix, dans le Finistère, la RN12 est bloquée, tandis qu'à Rennes, en Ille-et-Vilaine, le lycée Émile Zola est bloqué. 

Le point sur les blocages à Lyon

À Lyon, des blocages ont lieu dans le centre-ville, avec des évacuations. Des groupuscules de l'ultra gauche, des black blocs très jeunes, habitués de la casse, sont masqués et portent des lunettes. Ils prévoient de faire ça durant la journée, mercredi 10 septembre. Des groupes mobiles arpentent le centre-ville, bloquent et brûlent des poubelles, sans aller au contact des policiers qui les suivent. Aucune interpellation n'a eu lieu. Des blocages sont en cours devant quelques lycées.

Est-il possible de télétravailler en cas de grève ?

Avec le mouvement "Bloquons tout" mercredi 10 septembre, plusieurs transports sont perturbés. Selon sa profession, en cas d'impossibilité de se rendre au travail, il est possible de demander à son employeur de faire du télétravail. Le refus devra être motivé par l'employeur. 

Si les non-grévistes sont contraints d'aller au travail, un retard ou une absence pourrait entraîner une retenue sur salaire ou un rattrapage des heures manquées. La grève a été annoncée en amont et il est impossible pour les travailleurs d'invoquer un cas de force majeur. 

Boris Vallaud soutient "des revendications de ce mouvement"

Pour Boris Vallaud, invité de RTL mercredi 10 septembre, "Bloquons tout" est un "mouvement citoyen". "Je comprends l'exaspération des Françaises et des Français", a-t-il ajouté. "Je vais soutenir un certain nombre des revendications de ce mouvement", a assuré le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale. Il soutient les mesures demandées "sur le pouvoir d'achat, sur les services publics, sur la mise à contribution des hauts patrimoines". 

Les CRS interviennent à tOULOUSE

À Toulouse, 200 manifestants étaient rassemblés au rond point de Jolimont au nord du centre ville. Ils ont démonté un chantier ce qui a entraîné l'action des CRS. Les manifestants ont été dispersés, mais sont remontés vers le centre-ville par les petites rues. 

À Colomiers, dans la banlieue de Toulouse, 50 manifestants CGT sont devant un site Airbus, mercredi 10 septembre. Aucun blocage n'est à signaler. Dans la ville, l'accès à l'Université Paul Sabatier, la fac de sciences, est bloqué.

Le point sur les principaux blocages en début de matinée

La nuit a été calme, mais 70 personnes sont rassemblées devant l'aéroport de Nantes, mercredi 10 septembre. Une action de blocage est en cours sur le périphérique de Caen, ainsi qu'à Lyon et à Poitiers. À Rennes, plusieurs blocages ont lieu sur périphérique avec l'utilisation de gaz lacrymogène. À Brest, un barrage est en cours sur la RN 12, des automobilistes circulent à contre sens. Dans les Yvelines, 50 employés bloquent un dépôt de bus à Trappes.  

Le déploiement massif des forces de l'ordre permet souvent d'intervenir avant tout blocages, c'est ce qui est en train de se passer à Bordeaux et sur le périphérique à Paris, avec plusieurs opérations déjouées et des premières interpellations.

Plusieurs actions débutent mercredi matin

Un début d'action a été repéré mercredi 10 septembre au matin, près de l'aéroport de Nantes, a indiqué le porte-parole de la gendarmerie.  Le ministre démissionnaire de l'Intérieur a évoqué de premières interpellations et des opérations de blocage qui ont été contrées. 

À Lille, le trafic est perturbé en gare de Lille-Flandres, avec seulement un TER sur quatre sur les lignes du Nord-Pas-de-Calais. La circulation des TER est très perturbée, puisque 30% à 40% ne rouleront pas en régions Hauts-de-France, en Occitanie et en Auvergne-Rhône-Alpes. En Île-de-France, le RER D est à l'arrêt, mais le trafic est quasi normal dans le métro et le tramway.

À Lyon, une action à la gare de Perrache

Une première action est en cours près de la gare de Perrache, M7, sortie de Lyon, mercredi 10 septembre. Environ 200 personnes, sont rassemblées, des premières dispersions ont eu lieu avec usage de gaz lacrymogène.

"On ne tolère pas de violence", prévient Bruno retailleau

"On ne tolère pas de violence, ni de boycott, de blocage", a indiqué le ministre démissionnaire de l'Intérieur, Bruno Retailleau, mercredi 10 septembre. Il a ajouté qu'à Bordeaux, une "tentative de blocage d'une cinquantaine d'individus cagoulés" a été évitée. Ils souhaitaient bloquer des trams. À Toulouse, un incendie de câble a été maîtrisé, mais la circulation a été interrompue entre Toulouse et Auch. 

"Les forces de l'ordre ont vraiment la consigne de ne pas tolérer de violence, de dégradations, de blocages, d'occupations des infrastructures essentielles", a-t-il conclu. 

Un dispositif policier important pORTE DE bAGNOLET

Le dispositif policier est important, Porte de Bagnolet, mercredi 10 septembre. Trois personnes à pied ont été refoulées, mais le blocage, qui devait débuter à 6h, n'a pas commencé.

Porte de Bagnolet
Crédit Image : Valentin Boissais / RTL

46% des Français soutiennent le mouvement

Selon un sondage pour la Tribune dimanche, 46% des Français soutiennent le mouvement "Bloquons tout le 10 septembre". Pour rappel, ce mouvement, né sur les réseaux sociaux, conteste les mesures d'économie annoncées mi-juillet par François Bayrou (suppression de deux jours fériés, allongement du délai de carence en cas d'arrêt-maladie, doublement des franchises médicales, monétisation de la cinquième semaine de congés payés...) et rejette les classes dirigeantes, en particulier Emmanuel Macron.

"La nuit a été calme", selon le porte-parole de la gendarmerie nationale

"La nuit a été calme", il n'y a "rien de significatif" à signaler, a indiqué le lieutenant-colonel Erwan Coiffard, porte-parole de la gendarmerie nationale, invité de RTL mercredi 10 septembre. Il a relevé des "dégradations de radars", des "tags" ou encore une distribution de tracts à l'aéroport de Nantes mais sans blocage. 

Les forces de l'ordre mobilisées

Quelque "80.000 gendarmes et policiers" sont mobilisés ce mercredi pour éviter tout débordement, avait annoncé dès lundi soir Bruno Retailleau, ministre démissionnaire de l'Intérieur. "On ne tolérera aucun blocage, aucune violence, aucune action évidemment de boycott", a-t-il ajouté sur France 2.

Dès ce soir du 9 septembre, des forces de l'ordre ont été mobilisées et déployées "sur des zones sensibles". D'après Bruno Retailleau, "il y a un certain nombre de groupuscules qui sont en train de se préparer et là, c'est tolérance zéro et dès ce soir, mardi". 

Des centaines d'actions prévues partout en France

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