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Une grande partie de salariés en télétravail ont perdu leur motivation.
Crédit : Loic VENANCE / AFP
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La pratique du "name and shame" est le fait de pointer du doigt ceux qui ne respectent pas les règles. Cela concerne aujourd'hui le télétravail, actuellement de rigueur en raison de la crise sanitaire, afin d'éviter les risques de contamination. On apprend que 52 grosses entreprises sont épinglées depuis le mois d'octobre. La raison est simple : elles ne respectent pas les consignes du gouvernement.
Le Crédit Agricole, la Caisse d'Épargne et la MACIF : trois groupes qui n'ont pas respecté les exigences du télétravail. Dans certaines agences, tout le monde ou presque continue à venir, à se déplacer, malgré les règles du travail à distance. L'Inspection du travail a intensifié ses contrôles ces dernières semaines, avec des conseils, des déplacements dans les locaux, des lettres d'observation et quand ça ne suffisait pas, des rappels à l'ordre.
En effet, d'après le ministère du Travail, il y a eu 52 mises en demeure depuis le mois d'octobre. La ministre Elisabeth Borne a rappelé à tous les acteurs de la banque, de l'assurance et du conseil, l'importance de ne rien lâcher et la nécessité du télétravail, même quand ce n'est pas très pratique. Le ministère du Travail va continuer à mettre la pression sur ce sujet avec des points hebdomadaires sur tout le territoire et le comptage régulier des mises en demeure de l'administration.
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