- 07m15s
2 min de lecture
Laurent Gerra
Crédit : RTL
RTL reçoit ce matin le chanteur Salvatore Adamo, à l'occasion de la sortie de son 27e album intitulé "Des nèfles et des groseilles". "Il n’est pas là, le docteur Mohammed ?", lance l'invité, au micro de RTL. "Ah non, flûte, il vient juste de partir. Vous vouliez le consulter ?", demande Jade. "Oui, pour mon chat, explique-t-il avant d'ajouter : c’est pour mon chat dans la gorge. Il s’appelle Salvatore. On fait un duo : Salvatore et Adamo. J’ai l’impression qu’il est enroué". Et l'animatrice de le rassurer : "Mais non voyons, Adamo, vous savez bien que votre voix un peu éraillée nous charme beaucoup". "Merci. Et pour mon chat dans la gorge, qu’est-ce qu’on peut faire ?", insiste le chanteur. "Essayez de prendre de l’aspirine, ça fait baisser la température".
C'est une nouvelle dérive particulièrement préoccupante : d'obscures associations proposent des stages permettant de se reconnecter à son "féminin sacré", en échange de sommes mirobolantes. Cette dérive sectaire du féminisme, surveillée de près par les autorités, a inspiré un sketch à l'iconique troupe des Deschiens. "Bonjour, moi j’en peux plus, du féminin sacré ! Ma femme n’arrête pas de m’emmerder avec ça", lance Bruno Lochet au téléphone. "Alors, mon Bruno, raconte-nous comment elle est tombée là-dedans", demande son interlocuteur. "C’est sa copine Jocelyne, du club de broderie sur coussins, qui lui a mis dans la tête qu’il fallait qu’elle se reconnecte à sa féminité originelle en participant à un cercle de femmes, retrace-t-il avant de poursuivre : c’est comme une réunion Tupperware, mais dans la forêt, avec que des bonnes femmes qui dansent au rythme d’un tambour chamanique pour se délivrer de l’emprise du patriarcat".
Jack Lang est également invité de RTL ce matin et il semble très contrarié. "Rachida Dati a encore fait des siennes ?", prédit l'animatrice. "Dans le mille Emile. Je n’en peux plus. Je suis à bout, Fatou". Jade lui propose de se confier pour se vider un peu. "Au théâtre de l’Odéon, qui donne en ce moment 'Musée Duras', de Julien Gosselin, une pièce de 10 heures pendant laquelle 16 interprètes se succèdent pour lire des textes de Marguerite Duras. Il ne lui a pas fallu cinq minutes pour entonner son célèbre refrain : 'Mais qu’est-ce que c’est que cette merde ?'". Et le clou du spectacle ne s'est pas déroulé sur scène mais en coulisse : "La pièce a brutalement été interrompue par un livreur Uber Eats qui est entré dans la salle en criant : 'J’ai une commande pour madame Dati'. Comprenant que la pièce était partie pour durer, Rachida avait commandé un burger !", retrace l'ancien ministre.
PÉPITE - Les Deschiens découvrent "le féminin sacré"
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