Laurent Gerra : "La France s'apprête à affronter l’Ukraine", Bernard-Henri Lévy prend le match de football de ce soir pour une déclaration de guerre

Ne figurant pourtant pas sur la liste des invités, Bernard-Henri Lévy est, ce matin, sur le plateau de RTL, aux côtés de l'animatrice Jade. Il est venu, dit-il, pour évoquer un sujet très grave : "La guerre, lance l'écrivain avant de poursuivre : j’ai entendu ce matin sur RTL que la France s’apprêtait à affronter l’Ukraine de mon ami, de mon frère Zelenski, et il faut absolument empêcher ça". Et Jade de lui demander s'il ne confond pas avec le match de l'équipe de France de football qui affronte ce soir l'Ukraine, dans le cadre des qualifications à la Coupe du Monde. "Sûr et certain, confirme-t-il. Votre journaliste a même fait référence à un haut-gradé, le capitaine Mbappé, qui parlait d’organiser la défense et de cadrer de nombreux tirs pour gagner ce combat éliminatoire !". 

C'est au tour d'Enrico Macias de pénétrer dans le studio de la matinale. "Excuse-moi de te déranger, mais vu que RTL et M6 c’est le même groupe, je voudrais savoir si tu peux me pistonner pour participer au Meilleur pâtissier ce soir, l’émission de Cyril Lignac". "Oui c’est possible, mais je ne savais pas que vous vous intéressiez à la pâtisserie", s'étonne Jade. "La mort d’mes os, j’adore ça ! Et avec toutes les recettes qui m’ont été transmises par ma tata Djamila, ma parole, je suis sûr que je pourrais le gagner ce concours, affirme-t-il, avant de donner quelques exemples de recettes : il y a un dessert que j’adore, c’est l’Alger-Constantine, une variante du Paris-Brest où tu remplaces le beurre par de l’huile d’olive, le sucre par du miel et les noisettes par des pistaches".

Rétro et chic, le salon du vintage ouvre ses portes samedi à Paris. Mais qui est la clientèle de cet événement si couru ? Un envoyé spécial de RTL a été mobilisé sur place et a croisé un certain Edouard Balladur. "Il n’y a que là que je trouve mes fameuses chaussettes rouges. Mais il m’arrive aussi de vendre quelques babioles personnelles. Comme ces t-shirts vintages, par exemple. Tenez, regardez. Il vous plaît ? Il m’en reste quelques caisses", explique l'ancien Premier ministre. "Je le reconnais, c’est le t-shirt 'Vas-y Balla 2012'. Mais vous avez déclaré à la Justice que vous les aviez tous vendus pour financer votre campagne présidentielle", dit la journaliste. "Je vous demande de vous arrêter", tance l'homme politique.