Ce mercredi, l'invité d'Amandine Bégot, Olivier Dussopt, ministre du Travail est resté pour la chronique de Phillipe Caverivière. "Il a été très bon Olivier avec Amandine et ça tombe vachement bien parce qu’il y a l’équipe de C politique qui le filme et c’est pas le moment de passer pour un con. Moi, je savais que ce matin il serait imprenable Olivier. Pourquoi ? Parce que je l'ai regardé hier soir sur BFM et je vous ai vu répondre aux questions des téléspectateurs jusque très tard. Une machine !", lance l'humoriste.
Philippe a bien entendu regardé les déclarations d’Élisabeth Borne dès 17h30. En expert, il a pu distinguer plusieurs techniques de communication pour faire passer les informations concernant cette réforme des retraites. "Alors oui tous 4, vous avez démarré par une longue introduction de préparation, une intro que je qualifierais entre pédagogique et anesthésiante. C’est normal, quand t’es gastroentérologue, tu dis souvent bonjour et puis tu dis quelques mots à ton patient avant la coloscopie. Cela dit, je sens que les syndicats ne l’ont pas bien vécu", poursuit le chroniqueur.
"On dit qu’elle est compliquée cette réforme, mais elle n'est pas si compliquée. Un retraité c’est quoi ? Un chômeur avec de l’arthrose. C’est un inactif incontinent. C’est un sans emploi qui bande plus ou bon comme moi, sauf Noël Le Graët le menhir de la FFF", lance-t-il en revenant sur la plainte de Sonia Souid qui accuse le président de la Fédération française de harcèlement sexuel.
"Au revoir, au revoir président. Là Noël est allé trop loin, c'est la goutte d'eau qui fait enfin c'est la goutte de Calvados plutôt pour Noël. Il a un très beau palmarès Noël, je tiens à le défendre, 11 ans à la tête de la FFF, c'est deux finales de coupe du Monde dont une gagnée, une finale de coupe d'Europe, une finale de Coupe des confédérations. C'est surtout 3.767 invitations à dîner à des collaboratrices, 15.324 SMS cochons, 609 mains sur les cuisses", termine Philippe Caverivière.