Ce lundi, l'invité d'Amandine Bégot, Géry Lecerf, président de l'association française indépendante de l'électricité et du gaz, est resté pour la chronique de Philippe Caverivière. "Il faut que je fasse très attention, déjà que je me suis fâché avec Damien le pingouin, si je m'embrouille avec Géry le cerf… Je vais me retrouver avec la SPA au cul moi", lance l'humoriste, rappelant sa pique à Damien Abad.
"On aime tous notre boulanger, parce qu'on comprend son activité : pains au chocolat, baguettes, chouquettes… Le fournisseur d'énergie, c'est moins palpable. Vous êtes ceux qui donnez la lumière, mais aussi les assassins de Claude François", poursuit Philippe Caverivière, qui "condense un peu l'info".
Et d'évoquer le sujet brûlant du moment : la réforme des retraites. Un texte que Les Républicains ont décidé de voter, après s'être fait attendre par le gouvernement : "Des gens de droite qui sont d'accord avec une réforme de droite, en fait", analyse le chroniqueur.
"Sur le fond, bien sûr qu'ils sont d'accord avec Macron, mais ils ont quand même envie de le faire chier un petit peu par principe. Donc ils l'ont fait attendre, pour pas qu'on les prenne pour un parti facile. Ils votent pas le premier soir", assène encore Philippe Caverivière.