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Mort d'al-Baghdadi : "Un coup dur" pour Daesh, mais "pas un coup fatal", selon Hollande

L'ancien président de la République estime qu'"il n'y a pas de capacité à mener plus d'actions qu'il y a quelques jours avant l'annonce de la mort de ce terroriste en chef".

François Hollande, le 7 mai 2019 à Paris

Crédit : BERTRAND GUAY / AFP

Marie-Pierre Haddad

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Donald Trump a annoncé, dimanche 27 octobre, la mort du chef de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi lors d'une opération militaire américaine dans le nord-ouest de la Syrie. Un succès à l'international pour le président américain, accueilli avec retenue par ses alliés européens.
Sur France 2, François Hollande a une pensée pour les "familles des victimes des attentats, aussi bien du 13 novembre, que ceux des attentats qui ont précédé et suivi. Ces familles savent maintenant que le chef de l'organisation terroriste islamiste qui avait commandité, organisé, préparé ces attentats est mort aujourd'hui". 

L'ancien président de la République estime qu'il s'agit d'"un coup dur" pour cette organisation terroriste "mais ce n'est pas un coup fatal". "C'est un coup dur parce que c'est lui qui avait proclamé le califat et lancé ces opérations en Irak et en Syrie (...) Mais ce n'est pas un coup fatal. Cette organisation a encore des combattants", ajoute-t-il. 

Même si la "menace demeure", François Hollande pense qu'"il n'y a pas de capacité à mener plus d'actions qu'il y a quelques jours avant l'annonce de la mort de ce terroriste en chef". 

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