Le nom du successeur de Michel Barnier devrait être annoncé dans les prochaines heures, mais François Bayrou est confiant. "Il est très désireux de s'engager", confie l'un de ses proches.
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Etienne Gernelle invite Emmanuel Macron à reconsidérer son rôle à la tête de l'État, en s'inspirant de l'exemple allemand. Le président pourrait troquer son autorité formelle pour une influence morale.
L'homme qui chuchote à l'oreille du président. Au lendemain de l'allocution d'Emmanuel Macron, les tractations se poursuivent pour tenter de trouver la perle rare qui succèdera à Michel Barnier, à Matignon. Parmi les potentiels choix qui s'offrent au chef de l'État, le nom de François Bayrou apparaît en haut de cette liste.
Le chef de l'État a dessiné les premières lignes qui devront lui permettent de faire son choix. Le prochain premier ministre devra former un gouvernement "resserré" et "d'intérêt général représentant toutes les forces politiques d'un arc de gouvernement qui puisse y participer ou, à tout le moins, qui s'engage à ne pas le censurer".
Le premier ministre démissionnaire avait entamé l'écriture d'un livre, comme l'indique le journal "Le Parisien". Intitulé 120 leçons de vie, ce livre devrait être publié au printemps prochain.
Mais Michel Barnier compte bien l'amender avec son expérience aux commandes de Matignon. Ainsi, quatre à cinq chapitres seront rajoutés à l'ouvrage concernant son analyse de cette situation politique inédite, rajoute le journal.
Le président de la République doit nommer un successeur au premier ministre le plus éphémère de l'histoire de la Ve République.
Si l'on dresse le portrait-robot du prochain locataire de Matignon, le nouveau chef du gouvernement devra à la fois plaire au Rassemblement national, mais aussi aux socialistes, pour éviter de reproduire le scénario de la motion de censure. Un grand écart idéologique difficile à trouver.
Retrouvez tous les potentiels candidats pour Matignon dans notre éclairage juste ici
François Bayrou est toujours dans la shortlist, même si ces dernières heures l'hypothèse a sérieusement pris du plomb dans l'aile. Emmanuel Macron, nous dit-on, continue d'espérer arracher un soutien de la gauche et en particulier des socialistes. Ces derniers ont dit hier qu'ils ne voulaient pas du maire de Pau.
Alors depuis ce matin, le nom de Bernard Cazeneuve, l'ancien premier ministre de François Hollande, revient dans les discussions.
L'avion d'Emmanuel Macron doit atterrir entre 19h30 et 20h mais faut-il pour autant s'attendre à ce que le chef de l'État annonce dès ce soir le nom de son nouveau Premier ministre ?
Emmanuel Macron semble avoir compris qu'il y a urgence à trouver un successeur à Michel Barnier, il est au pied du mur après avoir promis par deux fois qu'il irait vite pour nommer son Premier ministre.
Le nom du successeur de Michel Barnier devrait être annoncé dans les prochaines heures, mais François Bayrou est confiant. "Il est très désireux de s'engager", confie l'un de ses proches.
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Etienne Gernelle invite Emmanuel Macron à reconsidérer son rôle à la tête de l'État, en s'inspirant de l'exemple allemand. Le président pourrait troquer son autorité formelle pour une influence morale.
L'homme qui chuchote à l'oreille du président. Au lendemain de l'allocution d'Emmanuel Macron, les tractations se poursuivent pour tenter de trouver la perle rare qui succèdera à Michel Barnier, à Matignon. Parmi les potentiels choix qui s'offrent au chef de l'État, le nom de François Bayrou apparaît en haut de cette liste.
Le chef de l'État a dessiné les premières lignes qui devront lui permettent de faire son choix. Le prochain premier ministre devra former un gouvernement "resserré" et "d'intérêt général représentant toutes les forces politiques d'un arc de gouvernement qui puisse y participer ou, à tout le moins, qui s'engage à ne pas le censurer".
Le premier ministre démissionnaire avait entamé l'écriture d'un livre, comme l'indique le journal "Le Parisien". Intitulé 120 leçons de vie, ce livre devrait être publié au printemps prochain.
Mais Michel Barnier compte bien l'amender avec son expérience aux commandes de Matignon. Ainsi, quatre à cinq chapitres seront rajoutés à l'ouvrage concernant son analyse de cette situation politique inédite, rajoute le journal.
Le président de la République doit nommer un successeur au premier ministre le plus éphémère de l'histoire de la Ve République.
Si l'on dresse le portrait-robot du prochain locataire de Matignon, le nouveau chef du gouvernement devra à la fois plaire au Rassemblement national, mais aussi aux socialistes, pour éviter de reproduire le scénario de la motion de censure. Un grand écart idéologique difficile à trouver.
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