Remis en liberté sous contrôle judiciaire, Nicolas Sarkozy assure que "la vérité triomphera"

C'est la fin de ce direct. Nicolas Sarkozy, incarcéré après sa condamnation pour "association de malfaiteurs" dans l'affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle est sorti de prison, lundi 10 novembre, après une décision de la cour d'appel de Paris. Cette dernière a accepté sa demande de mis en liberté sous contrôle judiciaire. 

Parmi les conditions de la libération de l'ancien président de la République figure une interdiction de quitter la France mais également d'entrer en contact avec Gérald Darmanin. 

À présent libéré de prison, Nicolas Sarkozy doit préparer son procès en appel prévu en mars 2026 : "La prochaine étape c'est le procès en appel et notre travail c'est désormais à Nicolas Sarkozy et à nous c'est de préparer cette audience d'appel", a confié son avocat. 

Dans l'affaire Bygmalion, Nicolas Sarkozy découvrira dans deux semaines, si la Cour de cassation décide qu'il est définitivement condamné à six mois de prison ferme ou si sa condamnation est cassée.

Nicolas Sarkozy

"La prochaine étape c'est le procès en appel" : ce qui attend Nicolas Sarkozy dans les prochaines semaines

L'ancien conseiller, Franck Louvrier, a réagit sur RTL à la libération de Nicolas Sarkozy sous contrôle judiciaire. "On aurait pu prendre la même décision il y a vingt jours", déplore-t-il tout en soulignant que "c'est un soulagement".

Franck Louvrier s'interroge sur la décision du tribunal d'empêcher Nicolas Sarkozy de contacter le ministre de la Justice, Gérald Darmanin. "Est-ce que c’est un retour de bâton après la visite du garde des Sceaux ? Je ne connais pas la motivation profonde de cette décision", lance-t-il. 

Ecoutez l'interview ⬇️

RTL Soir

Nicolas Sarkozy libéré de prison : "On aurait pu prendre la même décision il y a 20 jours", regrette Franck Louvrier

10/11/2025 à 18:18 — 03m51s

Dans le XVIe arrondissement, devant le domicile de Nicolas Sarkozy, des soutiens de l'ancien président de la République se sont réunis pour l'accueillir. 

"Je suis très soulagée", confie Marianne, présente sur place pour applaudir Nicolas Sarkozy. "Je me suis sentie très mal quand j'ai su qu'il avait été arrêté et condamné. Je pense à lui presque tous les jours. C'était une honte pour la France, le monde entier a été choqué", assure-t-elle au micro de RTL. 

L'ancien président Nicolas Sarkozy, remis en liberté sous contrôle lundi, n'assistera pas aux cérémonies du 11-Novembre mardi matin sur les Champs Elysées et à l'Arc-de-Triomphe, auxquelles il est protocolairement invité, a indiqué son entourage à l'AFP.

"Au moment où je retrouve ma liberté et ma famille, je veux dire à toutes celles et ceux qui m’ont écrit, soutenu, défendu, combien je leur en suis reconnaissant. Vos milliers de témoignages m’ont bouleversé et donné la force de supporter cette épreuve", écrit Nicolas Sarkozy sur X.

"Le droit a été appliqué. Je vais maintenant préparer le procès en appel. Mon énergie n’est tendue que vers le seul but de prouver mon innocence. La vérité triomphera. C’est une évidence que la vie enseigne. "La fin de l’histoire reste à écrire", ajoute-t-il.

Après la remise en liberté de l'ancien chef de l'État, le député "Debout" de la Somme François Ruffin estime sur X qu'il "doit retourner en prison". De son côté, la vice-présidente du groupe EELV à l'Assemblée nationale Sandra Regol, députée du Bas-Rhin, estime "très bien" que la remise en liberté de Nicolas Sarkozy soit "très encadrée" sur BFMTV.

À l'audience, Nicolas Sarkozy a expliqué sa nécessité de voyager à travers le monde pour donner des discours dans le cadre de son activité de "conférencier", qui a contribué aux 2,3 millions d'euros de "revenus non commerciaux" qu'il a déclarés pour 2023. La cour d'appel a toutefois relevé que "plusieurs prévenus et plusieurs anciens dirigeants du régime libyen du temps de Mouamar Kadhafi résident à l'étranger".

De plus, Nicolas Sarkozy est actuellement mis en examen pour recel de subornation de témoin sur l'intermédiaire Ziad Takieddine, décédé en septembre, dans le cadre d'une information judiciaire encore en cours. La cour s'est donc dite "dans l'obligation d'en tenir compte pour apprécier l'éventualité d'un risque de pression ou de concertation" de la part d'un ex-président de la République, qui "dispose, très naturellement, de facilités" pour entrer en contact avec des dirigeants de pays étrangers.

Dans son arrêt consulté par l'AFP, la cour d'appel de Paris constate que Nicolas Sarkozy, du fait de son enracinement en France ne présente pas le risque de se dérober à la justice française. L'ex-président s'est d'ailleurs toujours rendu aux convocations judiciaires. "Il ne ressort ni des réquisitions du ministère public, ni de la motivation des premiers juges ayant conduit au prononcé d'une incarcération différée qu'il existerait un risque d'insuffisance de garanties de représentation", note la cour d'appel. 

Selon l'article 144 du code de procédure pénale, le maintien en détention n'est possible que s'il est l'"unique moyen" de protéger des preuves, d'empêcher pressions ou concertations, de prévenir fuite ou récidive, ou de le protéger. "II ne ressort pas, par ailleurs, de la procédure qu'il existerait, au stade de l'appel, un risque de dissimulation de preuve, de pressions, de concertations et de réitération qui ne puisse être contré par une mesure de contrôle judiciaire", relèvent les juges de l'île de la Cité.

"Vive la liberté !", se réjouit Louis Sarkozy, le fils de l'ex-chef de l’État après la sortie de prison de son père. Un message accompagné d'une photo de lui jeune et de Nicolas Sarkozy sur X.

Le patron des députés Les Républicains, Laurent Wauquiez, a salué "une décision juste et digne, à la hauteur de l'homme qui a tant donné à notre pays", sur le réseau X à propos de la remise en liberté de Nicolas Sarkozy. 

Le maire de Nice (Horizons), Christian Estrosi, a lui dit son "immense soulagement" en apprenant la libération de son "ami". "Comme tous ses amis et de très nombreux Français nous avons vécu ces 3 semaines dans la douleur et en pensant à lui à chaque instant", a-t-il écrit sur X, lui souhaitant "bon retour" parmi les siens.

La cour d'appel de Paris a interdit à Nicolas Sarkozy d'entrer en contact avec Gérald Darmanin, "afin d'éviter un risque d'obstacle à la sérénité des débats et d'atteinte à l'indépendance des magistrats", d'entrer en contact avec "le ministre de la Justice en exercice", "les membres de son cabinet" ou "tout cadre du ministère de la Justice susceptible d'avoir connaissance des remontées d'informations" prévues par le code de procédure pénale.


En lisant la décision, le président de la cour, Olivier Géron, a souligné que le ministre de la Justice menait "la politique pénale du gouvernement" et que les procureurs généraux devaient lui "rédiger des rapports particuliers".

Les caméras de M6 ont capté le moment de la libération de Nicolas Sarkozy de la prison de la Santé. L'ancien président de la République est de retour à son domicile après avoir passé une vingtaine de jours en prison.

"Le garde des Sceaux applique toujours les décisions de justice", a réagi lundi l'entourage du ministre de la Justice Gérald Darmanin après l'interdiction faite à Nicolas Sarkozy d'entrer en contact avec ce dernier dans le cadre de son contrôle judiciaire.


Cette source s'est refusée à tout autre commentaire sur cette décision de la cour d'appel de Paris, qui permet à l'ancien président de la République de sortir de prison après 20 jours d'incarcération à la prison de la Santé. Gérald Darmanin a vu Nicolas Sarkozy en détention le 29 octobre, une visite qui a suscité la polémique.

Nicolas Sarkozy est libre, sa voiture a quitté la prison de la santé. L'ex-président est arrivé à son domicile.

L'ancien président, âgé de 70 ans et qui aura passé 20 jours en détention après sa condamnation à cinq ans de prison dans le dossier libyen, a quitté la Santé à bord d'une voiture aux vitres teintées, escortée par des motards de la police.

Le journal RTL

L'essentiel de l'info à 15h du 10 novembre 2025

10/11/2025 à 15:10 — 02m45s

La voiture de Nicolas Sarkozy est arrivée à la prison de la Santé. L'ancien président de la République devrait sortir dans les prochaines minutes.

Nicolas Sarkozy devrait sortir de prison dans la journée. La prison de la Santé va être informée de la décision du président de la cour d'appel qui autorise cette remise en liberté. Nicolas Sarkozy attendra libre son procès en appel, qui devrait commencer en mars prochain.

RTL Midi

Nicolas Sarkozy remis en liberté : pourquoi la justice lui interdit d'entrer en contact avec Gérald Darmanin

10/11/2025 à 14:25 — 02m15s

L'un des avocats de Nicolas Sarkozy a brièvement la parole après la décision de la cour d'appel : "Cette décision est une application normale du droit, du code de procédure pénale. C'est une étape. La prochaine étape, c’est le procès en appel, et notre travail désormais est de préparer cette audience", a-t-il déclaré maître Christophe Ingrain. Le procès en appel devrait se tenir au printemps 2026.

La justice a interdit à Nicolas Sarkozy d'entrer en contact avec le garde des Sceaux dans le cadre de son contrôle judiciaire strict. Une mesure qui vise à favoriser la sérénité des débats et garantir l'indépendance dans ce dossier. L'entourage de Gérald Darmanin a assuré à l'AFP que "le garde des Sceaux respecte toujours les décisions de justice". 

Nicolas Sarkozy

Nicolas Sarkozy remis en liberté : pourquoi la justice lui interdit d'entrer en contact avec Gérald Darmanin

L'ancien président sera libéré dans l'après-midi, après 20 jours de détention. Il fera l'objet d'un contrôle judiciaire strict, avec interdiction de quitter le territoire national et d'entrer en contact avec un certain nombre de personnes impliquées dans le dossier.

La cour d'appel de Paris a ordonné ce lundi 10 novembre la remise en liberté de l'ancien président de la République, incarcéré depuis vingt jours suite à sa condamnation au procès libyen, et l'a placé sous contrôle judiciaire.

justice

Nicolas Sarkozy : la justice ordonne la remise en liberté de l'ancien président

En justification du contrôle judiciaire strict demandé pour Nicolas Sarkozy, le président de la Cour d'appel rappelle qu'il n'exclut pas les risques de pression et notamment des contacts avec des chefs d'État de pays où se trouvent des témoins du dossier libyen.

Un important dispositif de sécurité est mis en place à la prison de la Santé. Une escorte est prête pour accompagner la mise en liberté de l'ancien président de la République.

Nicolas Sarkozy va être soumis à un contrôle judiciaire lui interdisant, notamment, d'entrer en contact avec le ministre de la Justice, Gérald Darmanin.

La cour d'appel de Paris a ordonné lundi la remise en liberté de Nicolas Sarkozy, incarcéré depuis vingt jours suite à sa condamnation au procès libyen, et l'a placé sous contrôle judiciaire.

"Je veux rendre hommage au personnel pénitentiaire qui a été d'une humanité exceptionnelle et qui a rendu ce cauchemar, parce que c'est un cauchemar, supportable". Nicolas Sarkozy a salué le travail du personnel de la prison de la Santé dans sa dernière intervention lors de l'audience de ce matin. La réponse est attendue à 13h30.

Sur RTL, Alain Duhamel, éditorialiste politique, estime que Nicolas Sarkozy "devrait vraisemblablement sortir". "Il ne va pas se sauver, il ne va pas influencer d'autres témoins", justifie-t-il, comme l'ont également fait ses avocats lors de l'audience ce matin.

L'esprit de l'info

"Nicolas Sarkozy est quelqu'un qui fait sur-réagir, soit positivement, soit négativement", souligne Alain Duhamel

10/11/2025 à 09:33 — 09m50s

Depuis son incarcération le 21 octobre, les agents de la prison de la Santé reçoivent des lettres de soutien, adressées à Nicolas Sarkozy, mais aussi des mandats pour cantiner, selon nos informations. ⤵️

Nicolas Sarkozy

"Ils n'ont jamais vu ça" : Nicolas Sarkozy reçoit plusieurs cartons de lettres par semaine et de l'argent à la prison de la Santé

Comme le veut la loi, Nicolas Sarkozy a pris la parole en dernier. Pour la première fois, l'ancien président a témoigné de son expérience carcérale. "Je n'avais pas imaginé attendre 70 ans pour connaître la prison. Cette épreuve m'a été imposée. C'est dur, c'est très dur. Ça l'est certainement pour tout détenu. Je dirais même que c'est éreintant", confie-t-il.

"Je veux rendre hommage au personnel pénitentiaire qui a été d'une humanité exceptionnelle et qui a rendu ce cauchemar, puisque c'est un cauchemar, supportable", conclut-il.

Il tente de faire libérer Nicolas Sarkozy. Jean-Michel Darrois, 78 ans, est l'avocat de l'ancien président français, dont la demande de remise en liberté est étudiée ce 10 novembre par la cour d'appel. Il est le visage du jour d'Agnès Bonfillon ⤵️

Nicolas Sarkozy

Nicolas Sarkozy : qui est Jean-Michel Darrois, son avocat qui a défendu Johnny Hallyday, Catherine Deneuve et Laurent Fabius ?

Nicolas Sarkozy a également martelé, ce matin, son innocence. "Je souhaite que la cour soit convaincue d'une chose: je n'ai jamais eu l'idée folle de demander à M. Kadhafi quelque financement que ce soit", a-t-il assuré. "Jamais je n'avouerai quelque chose que je n'ai pas fait", a-t-il dit. "Je me bats pour que la vérité triomphe", a-t-il encore ajouté.

Pour "le président, même s'il est un homme fort, robuste et courageux, cette détention a été pour lui une grande souffrance et une grande douleur", a souligné un des avocats de Nicolas Sarkozy, Me Jean-Michel Darrois, qui s'exprimait à ses côtés en visioconférence.

Le parquet général a requis lundi la mise en liberté sous contrôle judiciaire de l'ex-président Nicolas Sarkozy lors de l'examen de sa demande devant la cour d'appel de Paris.


"Les risques de concertation frauduleuse, de pression sur les témoins fondent des réquisitions sous fins de placement sous contrôle judiciaire", a déclaré l'avocat général Damien Brunet, en demandant que "soit fait droit à la demande de Nicolas Sarkozy" d'être mis en liberté.

Nicolas Sarkozy, incarcéré à la prison de la Santé depuis 20 jours, vit un quotidien "répétitif, morne et difficile", selon sa famille. Il reçoit la visite de son épouse, Carla Bruni, quatre fois par semaine.

Plusieurs représentants de la droite ont appelé de leurs vœux la sortie de prison de l'ancien président Nicolas Sarkozy, dont la cour d'appel de Paris étudie la demande de mise en liberté vingt jours après le début de son incarcération.

Xavier Bertrand, le président LR des Hauts-de-France, a affirmé sur France 2 qu'il "souhaite" que Nicolas Sarkozy sorte de prison. "Ce sont les magistrats qui décideront. Mais s'il sort le plus rapidement possible, je pense que ça fera plaisir à beaucoup de monde", a ajouté cet ancien ministre sous la présidence de Nicolas Sarkozy.

La porte-parole des Républicains, Agnès Evren, a elle dit sur Radio J croire "profondément" à sa libération car "il est présumé innocent, et un ancien chef d'État qui se retrouve derrière les barreaux alors qu'il a fait appel, honnêtement, c'est un non-sens".

Nicolas Sarkozy a tenu à saluer "l'humanisme" des surveillants pénitentiaires lors d'une dernière prise de parole en marge de l'audience de sa demande de remise en liberté. La prison "c'est dur, c'est éreintant", a affirmé l'ex-chef de l'État. "Ils ont rendu ce cauchemar supportable".

justice

Nicolas Sarkozy "rend hommage aux surveillants pénitentiaires", lors de l'audience de demande de mise en liberté

La prison, c'est "très dur" et "éreintant", déclare Nicolas Sarkozy depuis la prison de la Santé. L'ex-président de la République a tenu à "rendre hommage aux surveillants pénitentiaires, leur humanisme, qui a permis de rendre ce cauchemar supportable".

La cour d'Appel de Paris rendra sa décision quant à la demande de mise en liberté de Nicolas Sarkozy à 13h30 ce lundi.

L'avocat résume : "Lorsque votre cour procédera à l'examen de la demande de mise en liberté de Nicolas Sarkozy, la détention provisoire n'est pas le moyen de répondre à un ou plusieurs de ces objectifs, mais un contrôle judiciaire permettra de respecter les objectifs" de l'article 144 du Code de procédure pénale.

"C'est la détention qui constitue une menace pour Nicolas Sarkozy, pas le contraire", assure-t-il.

L'avocat de Nicolas Sarkozy reprend, un a un, les objectifs de l'article 144 du code de procédure pénale sur la détention provisoire. 


- Conserver les preuves ou les indices matériels qui sont nécessaires à la manifestation de la vérité : "On voit mal en quoi la mise en liberté de Nicolas Sarkozy pourrait être un obstacle à la conservation des preuves

- Empêcher une pression sur les témoins ou les victimes ainsi que sur leur famille : Nicolas Sarkozy a été assis pendant 4 mois aux côtes de Guéant et Hortefeux, il aurait pu echanger avec eu, il n'en a rien été

L'interrogatoire de Nicolas Sarkozy est terminé, son avocat Christophe Ingrain prend la parole.  "Nicolas Sarkozy fait face à des menaces de mort au quotidien depuis sa détention, des cris la nuit", assure-t-il.

"La sévérité de la peine avec mandat de dépôt différé et exécution provisoire nous ont stupéfaits", assure-t-il.

Lors de cette audience, Nicolas Sarkozy va être interrogé sur sa personnalité, sur la façon dont se passe sa détention et sur ses garanties de représentation. Une dizaine de minutes au total avant le réquisitoire de l'avocat général et les plaidoiries de ses avocats.

RTL Soir Week-End

Nicolas Sarkozy : comment va se dérouler sa demande de remise en liberté ?

09/11/2025 à 19:11 — 03m52s

Nicolas Sarkozy

Nicolas Sarkozy en prison : comment va se dérouler sa demande de remise en liberté ce lundi ?

L'audience de Nicolas Sarkozy a commencé. Il apparait à l'écran, en veste bleue, pull sombre et chemise bleu clair. L'entourage de l'ex-chef de l'État est placé au premier rang pour que Nicolas Sarkozy puisse les voir.

Si l'ancien président de la République comparait à distance, son entourage est arrivé à la Cour d'appel. Les fils de Nicolas Sarkozy, Pierre et Jean sont présents ainsi que son épouse, Carla Bruni.

L'audience de demande de mise en liberté de Nicolas Sarkozy s'est ouverte à la cour d'appel de Paris.