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Budget 2026 : "Ce budget a la vertu du courage", selon Emmanuel Macron

Jours fériés, niches fiscales, retraites... Le Premier ministre a annoncé une batterie de mesures pour le budget 2026, déclenchant déjà des menaces de censure.

Marie-Pierre Haddad

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Les dernières réactions
  • À peine annoncé, le budget 2026 a déclenché de nombreuses critiques, ainsi que des menaces de censure. Le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a appelé à "faire partir Bayrou", jugeant que les annonces du Premier ministre pour trouver 43,8 milliards d'économies en 2026 alimentaient "la course à l'abîme" et que la France s'approche du "point de non-retour".
  • Le Rassemblement national a aussi mis en garde le premier ministre. "Si François Bayrou ne revoit pas sa copie, nous le censurerons", a prévenu Marine Le Pen.
  • Le chef des députés socialistes Boris Vallaud a, quant à lui, dénoncé un budget "brutal et inacceptable". "Demander toujours plus à ceux qui ont peu... et si peu à ceux qui ont beaucoup n'est ni sérieux ni efficace ni juste", a écrit sur X.
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"Ce budget a la vertu du courage", selon Emmanuel macron

Alerte

Avant que François Bayrou ne développe son budget pour 2026 face à la presse et aux représentants des groupes parlementaires, le premier ministre l'a présenté à Emmanuel Macron lors d'une réunion qui a duré plusieurs heures.

Durant le compte-rendu du Conseil des ministres qui a eu lieu ce mercredi 16 juillet, Sophie Primas a indiqué ce qu'Emmanuel Macron en avait pensé.

"Le président de la République a réagi cette présentation du budget en indiquant qu'il avait la vertu du courage, de l'audace, de la lucidité et de regarder les objectifs d'investissements auxquels la nation doit faire face, avec beaucoup de lucidité et d'honnêteté", a indiqué la porte-parole du gouvernement.

"Il a remercié le premier ministre et encouragé le gouvernement", a-t-elle poursuivi

RTL répond à toutes vos questions

Suppression de deux jours fériés, année blanche, création d’une contribution de solidarité, lutte contre la fraude… RTL répond à toutes vos questions, après les annonces de François Bayrou sur le budget 2026.

> A 7h40, Sophie Binet est l’invitée de RTL
Parmi les propositions faites par François Bayrou, le premier ministre veut proposer de "nouvelles négociations aux partenaires sociaux" sur "l'assurance-chômage", une autre sur "le droit du travail". Les syndicats sont-ils prêts à se remettre autour de la table après l’interminable conclave ?

> A 8h15, Amir Reza-Tofighi, président de la CPME, est l'invité de RTL
Le Premier ministre a annoncé "900 millions d’euros de financement en fonds propres supplémentaires à l’investissement dans les entreprises", notamment pour les PME.

Bonjour !

Bienvenue dans ce live consacré aux réactions, au lendemain de la conférence de presse de François Bayrou, sur le budget 2026.

Censure : Eric Coquerel espère que les socialistes seront "au rendez-vous"

Le député LFI Eric Coquerel, président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, a déclaré ce mercredi attendre "au rendez-vous" les socialistes sur la censure du gouvernement de François Bayrou, et espérer qu'ils n'entrent pas en "discussion" avec ce dernier sur le budget 2026. "Toute la logique de ce budget est catastrophique", et "aujourd'hui, dans l'état, on ne voit pas très bien ce qui peut être trouvé comme compromis avec le gouvernement", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à l'Assemblée, au lendemain des annonces d'économies drastiques par le Premier ministre.

Pour eviter la censure, le gouvernement veut un compromis avec le PS

Aucune censure ne pourra en effet être votée sans le PS. Et le gouvernement veut croire qu'il existe un "compromis" possible comme ce fut le cas pour le budget 2025.
"Nous allons discuter avec tous les partis. Evidemment, il y a probablement davantage de possibilités de parvenir à un accord avec le Parti socialiste", a reconnu le ministre de l'Economie Eric Lombard. Ce sont "des gens raisonnables", "j'espère qu'ils viendront discuter, feront des propositions", a appuyé son collègue à la Justice Gérald Darmanin. Mais si le PS n'a pas fermé la porte à une discussion, il ne l'a pas ouverte non plus. "Les propositions du gouvernement ne sont pas acceptables et n'offrent pas de base de négociation", a prévenu le chef de file des députés Boris Vallaud, dénonçant un "musée des horreurs libérales". Les socialistes entendent discuter sur la base de leurs propres propositions, qu'ils comptent faire d'ici à la rentrée. Avec notamment leur revendication de la taxe Zucman, dont le gouvernement ne veut pas. Il se contente de maintenir la contribution différentielle sur les hauts revenus, mise en place dans la loi de finances 2025, et de proposer des "mesures complémentaires contre l'optimisation abusive des patrimoines non productifs". Pour arriver à un accord, le gouvernement mise sur le temps.

"rien dans ce qu'il propose ne règle le problème", Selon Edouard Philippe

La plan d'économies proposé par François Bayrou n'est "qu'un plan d'urgence" qui "ne propose pas de réelle transformation, aucune réforme structurelle des politiques publiques qui ne fonctionnent plus", a critiqué ce mercredi Edouard Philippe, pourtant allié du Premier ministre.
"Quasiment rien dans ce qu'il (François Bayrou) propose ne règle le problème. Ça permet juste de limiter les conséquences. Je pense qu'il en a conscience. L'explosion de la dépense sociale, n'est par exemple pas réglée par une année blanche", juge l'ancien Premier ministre, candidat à la présidentielle, dans un entretien au Parisien.

Où est l'effort pour les grandes entreprises ?

Marc Fesneau, chef de file des députés MoDem, était l'invité de RTL Midi. Pour lui, les entreprises n'ont pas été oubliées pas François Bayrou dans son plan d'économies mais elles doivent être préservées. "Il y a des efforts qui sont faits sur les optimisations fiscales et vous le verrez sur la question des sociétés mères, etc., tous les dispositifs, les mécanismes d'optimisation fiscale... Mais les efforts aux entreprises, ça ne sert à rien d'autre qu'à affaiblir la capacité de compétitivité. Dans un moment où on a plutôt besoin de retrouver la croissance, quel est l'intérêt d'affaiblir nos entreprises ?", s'interroge-t-il. "On a intérêt à taxer les revenus qui ne sont pas productifs, les gens qui gagnent leur vie sans que ça produise de la richesse. Mais des entreprises qui gagnent leur vie, qui produisent de la richesse, qui créent de la recherche et de l'innovation, qui recrutent des salariés, pourquoi voudriez-vous qu'on les mette à contribution ?", continue-t-il.

Jours fériés : sera-t-on payé s'ils sont supprimés ?

Ce sera l'objet d'un arbitrage, probablement après de longues négociations. Ce qu'on avait compris hier, c'est que les deux jours fériés sont à définir. Ce sera probablement le lundi de Pâques et le 8 mai, qui deviendraient des jours lambda. Mais ce qu'a dit Astrid Panosyan-Bouvet ce matin, la ministre du Travail, c'est que ce seraient plutôt des jours comme le lundi de Pentecôte. On va au travail sans être payé, puis l'entreprise reverse le fruit de notre travail à l'État. De quoi rapporter 2.1 milliards d'euros par journée, donc 4 milliards d'euros si la proposition est retenue dans le budget.

"Ce budget a la vertu du courage", selon Emmanuel macron

Alerte

Avant que François Bayrou ne développe son budget pour 2026 face à la presse et aux représentants des groupes parlementaires, le premier ministre l'a présenté à Emmanuel Macron lors d'une réunion qui a duré plusieurs heures.

Durant le compte-rendu du Conseil des ministres qui a eu lieu ce mercredi 16 juillet, Sophie Primas a indiqué ce qu'Emmanuel Macron en avait pensé.

"Le président de la République a réagi cette présentation du budget en indiquant qu'il avait la vertu du courage, de l'audace, de la lucidité et de regarder les objectifs d'investissements auxquels la nation doit faire face, avec beaucoup de lucidité et d'honnêteté", a indiqué la porte-parole du gouvernement.

"Il a remercié le premier ministre et encouragé le gouvernement", a-t-elle poursuivi

Darmanin satisfait de bénéficier de 200 millions d'euros supplémentaires pour la justice

Gérald Darmanin s'est félicité, ce mercredi que son ministère de la Justice soit épargné par le plan d'économies présenté la veille par François Bayrou. Selon un document consulté par l'AFP, le gouvernement envisagerait l'an prochain une hausse des dépenses de 6,7 milliards d'euros pour la mission défense, de 400 millions pour les "sécurités" et de 200 millions pour la justice et l'enseignement scolaire.





En outre, selon une source proche du dossier le ministère de la Justice ne sera pas concerné par la règle du non-remplacement d'un fonctionnaire sur trois partant à la retraite.

Un plan qui a le "merite de chercher des solutions" Réagit Laurent Wauquiez

Le plan budgétaire de François Bayrou pour 2026 a "le mérite de chercher des solutions" mais doit être "corrigé et amélioré", a déclaré mercredi lors d'une conférence de presse le patron des députés LR Laurent Wauquiez.
"Ce plan recourt de façon importante à des augmentations d'impôts (...) et pèse fortement sur la France qui travaille", a-t-il déploré.

Il réclame "un plan de lutte contre l'assistanat", "d'aller plus loin sur la limitation des dépenses et le train de vie de l'Etat" et de "s'attaquer aux dépenses indues liées à l'immigration".

Mes médicaments seront-ils moins remboursés ?

En fait, la facture va augmenter pour les gros consommateurs de médicaments.

En clair : aujourd’hui, à la pharmacie, nous payons tous 1 € de notre poche pour chaque boîte de traitement. Cette franchise est actuellement plafonnée à 50 € par an. Or, ce montant va doubler pour passer à 100 €. Cela signifie que, pour ceux qui se rendent régulièrement à la pharmacie, leurs frais de santé pourraient augmenter de 50 € par an au maximum.

Les propositions visent aussi les ALD ( les affections de longue durée ) qui concernent 20 % des Français. Actuellement, les personnes concernées ne paient aucun frais de santé. Le Premier ministre propose que cette exonération ne concerne plus que les médicaments en lien direct avec leur maladie.

Combien va réellement rapporter la suppression de deux jours fériés ?

Trois milliards par jour férié selon un rapport parlementaire, plus de deux d'après François Bayrou, et un peu plus d'un milliard et demi d’après l’INSEE...Les estimations divergent.

D'après l’économiste Mathieu Plane de l’OFCE, cela dépendrait en réalité de quand tombe le jour férié dans la semaine. La suppression des mardis et des jeudis rapporterait davantage, car ce sont les jours les plus productifs, moins sujets aux RTT et au mi-temps comme le mercredi.

Si on y perd en consommation, tourisme, transport, ce serait largement compensé par la productivité des plus de 30 millions de français qui seraient contraints d’aller travailler.

Quels efforts le gouvernement demande-t-il aux grandes entreprises et aux plus hauts revenus ?

Pour les plus haut revenus, l'effort sera double.
D’abord, un dispositif anti-optimisation fiscale fixe une sorte d’impôt minimum. Ensuite François Bayrou a parlé d’une "contribution de solidarité" aux contours encore flous.

Les entreprises en revanche sont les épargnées de ce budget. Contrairement à l’an dernier, pas de contribution exceptionnelle pour les plus grandes d’entre elles.

Au contraire, la suppression des jours fériés devrait booster un peu leur productivité. La réforme de l’assurance chômage, elle, est censée remettre des français sur la route de l’emploi et ainsi aider les entreprises à recruter.

Est-ce que l'Etat lui aussi va se serrer la ceinture ?

Et oui ! Parmi les 43 milliards d’euros d’économies annoncés hier, l’État en prend 22 à sa charge, soit la moitié.
Et cela passe par :
- un gel des dépenses de fonctionnement ministériel,
- un allègement de la masse salariale : 3 000 postes de fonctionnaires seront supprimés,
- un gel des salaires,
- un départ à la retraite sur trois qui ne sera pas remplacé.

Enfin, plusieurs agences de l’État, comme l’IFPEN, l’ENAP ou encore l’EPV, seront fusionnées.

Tout cela représente un peu plus de 10 milliards d’euros. Les 12 milliards restants viendront d’une meilleure maîtrise des dépenses sociales et de celles des collectivités.

"La supression des jours fériés est une bonne proposition" Pour la CPME

Le financement du modèle social ne peut pas reposer uniquement sur le travail", a affirmé Amir Reza-Tofigi, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME).

Selon lui, les mesures annoncées hier vont dans ce sens : "Si l’on veut financer notre modèle social, tout le monde doit contribuer", explique-t-il, tout en nuançant : "Ce ne sont que les premières annonces. Nous allons être vigilants sur l’ensemble du débat budgétaire à venir, notamment sur les détails."

Il estime également qu’il faut "rendre moins incitatif le non-travail". Ainsi, selon lui, les conditions d’indemnisation du chômage doivent évoluer.

Et sur la suppression de deux jours fériés ? "Nous en avons plus que nos voisins européens, il n’est donc pas anormal que deux jours fériés soient travaillés, justement pour produire plus." Il l'affirme : "C'est un bonne proposition".

Car in fine, conclut-il : "Cela permettra à notre économie de financer notre modèle social. Cela doit être notre ambition."

"La gagnante c'est notre économie" Selon le président de la CPME, Amir Reza-Tofigi.

Les gagnants, ce sont tous les salariés qui travaillent dans les entreprises", affirme sur RTL le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises, Amir Reza-Tofigi.

"J’aimerais rappeler que, pour le budget 2025, tous les efforts ont été demandés aux entreprises", explique-t-il encore. Pour quel résultat ? "On a une économie qui ralentit, on n’a jamais eu autant de faillites, notamment parmi les belles PME, partout sur le territoire."

Il salue ainsi "des mesures courageuses et un discours de vérité".

Suprimer les jours fériés ? "Une honte" selon Sophie Binet

La suppression des jours fériés : "Le gouvernement nous a volé deux ans de vie, maintenant il veut nous voler deux jours de travail gratuits, ce qui équivaut à trois mois sur toute une carrière."

Une "honte", dénonce Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT. "C’est inacceptable de nous demander de travailler gratuitement. Nous avons nos jours de repos, ils sont mérités, nous les avons acquis de haute lutte."

Et de conclure : "Il faut arrêter de nous demander de travailler plus pour gagner moins."

"Beaucoup aimerait juste pouvoir travailler" explique-t-elle encore.

"Son plan, c'est en avant la rÉcession !" Lance Sophie Binet sur RTL

Alors que le Premier ministre a appelé les Français à "travailler plus", la secrétaire générale de la CGT s’est dite choquée. "Ça fait un an que nous alertons sur les centaines de milliers de licenciements, sans que François Bayrou ne lève le petit doigt pour les empêcher", dénonce-t-elle.

Non seulement ces mesures font encore "passer à la caisse les travailleurs et les travailleuses, sans que les plus riches ni les grandes entreprises ne soient mis à contribution", mais en plus, selon elle, elles sont parfaitement inefficaces.

"Le Premier ministre dit en avant la production, en réalité c'est en avant la récession", lance encore la syndicaliste.

"Nous allons tous perdre des centaines d’euros" Selon Sophie Binet de la CGT

"Nous allons tous perdre concrètement des centaines d’euros, voire plus, car les prix vont augmenter de 1,7 % et toutes les prestations ne vont pas suivre", alerte Secrétaire générale de la Confédération générale du travail sur RTL

Un exemple frappant explique-t-elle : "Pour quelqu’un qui touche l’allocation adulte handicapé, cela représenterait jusqu’à 200 euros de revenu en moins."

Dans les tableurs de Bercy, "c’est peut-être juste l’épaisseur du trait", ironise-t-elle. "Mais pour la majorité des Françaises et des Français, quelques euros font la différence pour boucler les fins de mois." s'indigne encore Sophie Binet.

Des propositions "d'une violence Inouïe" pour Thomas Ménagé Porte parole du RN

"Ces propositions sont d'une violence inouïe pour les classes populaires et les classes moyennes", dénonce le porte-parole du Rassemblement national sur RTL. "Du jamais vu pour la France qui travaille et qui a du mal à boucler ses fins de mois", s'indigne-t-il.

François Bayrou, selon lui, tape une nouvelle fois "à côté" plutôt que sur l'immigration ou le budget de l'Union européenne. "Il y a d'autres économies à faire", affirme-t-il. "Le budget européen va augmenter de 7 milliards cette année. Tous les pays demandent des rabais. On est les seuls à se faire marcher dessus et à préférer faire souffrir notre peuple", explique-t-il.

La suppression de jours fériés ? "Un grand coup de canif dans notre histoire", et une ligne rouge infranchissable pour le RN.

Le Premier ministre, selon lui, manque de "volonté politique" et de "courage". "On peut trouver ces 44 milliards autrement", martèle-t-il. "On va tout faire pour obtenir un changement de cap d'ici le mois d'octobre", affirme Thomas Ménagé.

Et si ce n'est pas fait ? "Monsieur Bayrou devra faire ses cartons !" prévient-il. "On n'hésitera pas, comme avec Monsieur Barnier, à le censurer."

70% des Français opposés à la suppression de 2 jours fériés d'après notre sondage

Ce mercredi 16 juillet, RTL révèle le sondage sur la "réaction des Français après la conférence de presse de François Bayrou sur le budget 2026 de l’État" réalisé sur 1.006 personnes par Toluna - Harris Interactive. Il révèle que :
- 70% des Français interrogés sont opposés à la suppression de deux jours fériés
- 61% des sondés sont opposés à la mise en place de "l’année blanche", soit le gel des prestations sociales sur l’ensemble de 2026.

RTL répond à toutes vos questions

Suppression de deux jours fériés, année blanche, création d’une contribution de solidarité, lutte contre la fraude… RTL répond à toutes vos questions, après les annonces de François Bayrou sur le budget 2026.

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Parmi les propositions faites par François Bayrou, le premier ministre veut proposer de "nouvelles négociations aux partenaires sociaux" sur "l'assurance-chômage", une autre sur "le droit du travail". Les syndicats sont-ils prêts à se remettre autour de la table après l’interminable conclave ?

> A 8h15, Amir Reza-Tofighi, président de la CPME, est l'invité de RTL
Le Premier ministre a annoncé "900 millions d’euros de financement en fonds propres supplémentaires à l’investissement dans les entreprises", notamment pour les PME.

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