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Budget 2026, impôts, économies : "Nous ne travaillons pas assez", déclare François Bayrou

Comment réaliser 40 milliards d'euros d'économies en 2026 sous la menace d'une censure à l'Assemblée ? François Bayrou a présenté, ce mardi 15 avril, les pistes d'économies pour le budget de l'année prochaine.

François Bayrou, le 15 avril 2025
Crédit : Alain JOCARD / AFP
Marie-Pierre Haddad
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Ce qu'il faut retenir
  • François Bayrou a réuni ce mardi matin à Paris plusieurs membres de son gouvernement ainsi que des parlementaires, des représentants d'organismes de sécurité sociale ou encore syndicaux.

  • L'objectif du gouvernement est de réduire le déficit public de 5,4% du PIB - objectif 2025 - à 4,6% en 2026. La prévision de croissance gouvernementale pour 2025 a été rabotée à 0,7%, après 1,1% en 2024.
  • L'Association des maires de France n'a pas participé à cette conférence de presse. "Aucun ordre du jour détaillé ou document de travail n'a été fourni aux organismes convoqués" à cette grand-messe, regrettait l'AMF dans un communiqué.
Filtrer et afficher les actualités :

la méthode douce

Le gouvernement souhaite réduire de 6% les dépenses publiques d'ici à 2029 sans recourir à "la tronçonneuse", a annoncé Amélie de Montchalin. La ministre des Comptes publics s'est exprimée dans la foulée du Premier ministre : "Si nous étions un ménage, nous sommes en train de décrire une situation où on pourrait passer de 100 euros de dépenses à 94 euros de dépenses", a-t-elle illustré.

"Le but, ce ne sont pas les finances publiques, le but, ce ne sont pas les chiffres, ce sont nos marges de manœuvre, notre capacité à rester un pays puissant, un pays souverain", a-t-elle insisté.

Parmi les pistes évoquées, la ministre a évoqué la fusion ou la suppression de certains opérateurs publics, une action contre "la très grande dérive" des arrêts maladie, la révision du mécanisme des achats publics afin de faire baisser

Comment rééquilibrer ?

"Comment rééquilibrer ? (...) La première solution serait de penser que si l'État n'a plus d'argent dans ses caisses, il suffit d'augmenter les prélèvements", a indiqué François Bayrou.

"C'est un raisonnement qui paraît simple, mais qui est intenable, car la France est déjà le pays qui détient le taux de prélèvements obligatoires, d'impôts et de taxes de toute nature le plus élevé dans le monde en 2024", a-t-il poursuivi. Selon lui, "si nous choisissions de continuer à augmenter ces prélèvements, c'est notre pays qui, au bout du compte, en souffrirait", a-t-il ajouté.

quel calendrier ?

"Notre but est que ces grandes orientations et grands choix soient proposés avant le 14 juillet", annonce François Bayrou. "C'est un travail tout à fait considérable, mais nous considérons qu'il est pour notre pays, au sens propre, vital", a-t-il indiqué.

"Aucun gouvernement ne pourra éviter cette question"

Sans évoquer le mot "censure" et les noms de ses adversaires politiques, François Bayrou leur adresse un message politique. "Nous avons une conscience aiguë de la difficulté de l'action (...) Aucun gouvernement ne pourra éviter cette question", prévient-il.

"refuser le surendettement" et "refonder l'action publique"

La deuxième voie à explorer, selon François Bayrou, concerne "le refus du surendettement". La troisième sera "la refondation de l'action publique". "Nous ne pouvons pas accepter que la France soit le pays où on dépense le plus d’argent public et on prélève le plus (...) Les Français constatent unanimement que l’action publique ne marche pas. Selon eux, la frontière entre action et inaction est devenue trouble", déplore-t-il.

Le dernier axe évoqué par François Bayrou concerne la "vitalité économique de notre pays".

Assurer "l'indépendance en matière de sécurité et de défense"

Après avoir posé le diagnostic, François Bayrou évoque les solutions. Reprenant la métaphore de l'Himalaya, évoqué lors de son arrivée à Matignon, le Premier ministre affirme que la France est face à "4 voies d'ascension".

La première concerne "l'indépendance en matière de sécurité et de défense". "Nous ne pouvons pas être pris en défaut du point de vue de notre sécurité devant les gigantesques efforts d'armement de la Russie et de la Chine et le pas-de-coté des États-Unis. L'Union européenne a le devoir impérieux de construire une défense autonome", explique François Bayrou.

notre dette "menace notre indépendance"

La dette est "un piège dangereux, potentiellement irréversible", alerte François Bayrou qui aborde le volet des solutions pour effectuer 40 milliards d'euros d'économies en 2026.

Faut-il augmenter les prélèvements ? François Bayrou reconnaît qu'il s'agit d'un raisonnement qui paraît simple, mais intenable". Reste alors la possibilité pour la France d'emprunter davantage. Mais là encore, le Premier ministre écarte cette solution. "Il est moralement insoutenable de faire porter le poids aux générations futures de nos dépenses de tous les jours", ajoute-t-il.

François bayrou : "Nous sommes le pays du monde qui dépense le plus"

Autre constat : "Nous sommes le pays du monde qui dépense le plus d'argent public", déclare François Bayrou. "la France est loin d'être au sommet du classement des pays de l'OCDE pour le niveau de vie (...), le taux de chômage ou les inégalités", détaille-t-il.

"Beaucoup de pays plus développés que nous du point de vue de l'épanouissement de leurs citoyens (...) ont fortement réduit leurs dépenses lorsqu'ils ont été menacés de déséquilibres (...) L'excès de dépense publique ne fait pas le bonheur des peuples", poursuit-il.

François Bayrou : "Nous ne travaillons pas assez"

Le Premier ministre poursuit son diagnostic : la France est aujourd'hui face à une "montagne de difficultés". "Nous manquons de ressources, car nous ne produisons pas assez et nous ne travaillons pas assez", estime-t-il.

françois bayrou : La france "ne produit pas assez"

François Bayrou estime aussi que la France "ne produit pas assez". "Il n'y a aucune raison acceptable pour un tel retard (...) Nous sommes le seul pays de notre niveau au sein de l'Union européenne à avoir un déficit commercial (...) Il est impératif de réduire notre dépendance agricole, industrielle et intellectuelle", détaille le locataire de Matignon.

François bayrou annonce "le temps de la mobilisation"

Malgré un constat alarmant, François Bayrou se dit "optimiste". Il préconise à la France "d'accepter la vérité" et "qu'il décide de prendre la décision inflexible de guérir et alors, il guérira". À cela, le premier ministre ajoute qu'il est nécessaire d'"écarter la peur et la tentation du découragement" et sonne "le temps de la mobilisation".

francois bayrou prend la parole

"C'est une heure de vérité décisive", selon François Bayrou qui ajoute que "la France joue sa crédibilité". Le Premier minister explique que "le président des États-Unis a déclenché un cyclone", en appliquant une hausse des droits de douane sur les produits importés vers les États-Unis.

"Les cadeaux aux entreprises servent en réalité tout le pays"

"On sait qu'il y a des dépenses inefficaces (...) Cela peut être des aides aux entreprises, à l'investissement, des prestations sociales qui n'atteignent pas leur objectif, etc", déclarait le ministre de l'Industrie Marc Ferracci sur France inter.

Sur RTL, François Lenglet répond : "Les cadeaux aux entreprises servent en réalité tout le pays".

trop de pression sur les entreprises ?

Les entreprises risquent d'être la cible de ces mesures d'économies. Invité sur RTL, le président de l'U2P, Michel Picon, a estimé que les entreprises font déjà beaucoup d'efforts et que l'État doit aussi inspecter ses propres dépenses.

"L'État est suradministré. Je pense qu'il faut vraiment s'attaquer à ce sujet. Alors bien sûr, il faut demander un effort collectif, mais il faut aussi donner l'exemple. Pour l'État comme pour les collectivités locales, personne ne peut se prévaloir de ne pas être concerné par le fait que depuis 40 ans, on a des budgets en déséquilibre".

l'objectif de 40 milliards d'euros d'économies est-il atteignable ?

Selon l'éditorialiste Martial You, la tâche s'annonce délicate. "40 milliards sur un an, sans hausse d'impôt, on ne l'a jamais fait en 50 ans", note-t-il. "C'est colossal, c'est le budget annuel de l'Éducation nationale, premier budget de France, c'est à peu près ce qu'on rembourse comme intérêt de la dette chaque année, mais surtout, on a déjà affiché un objectif de 32 milliards d'économies cette année en 2025 et donc on enchaînerait avec 40 milliards en 2026", explique-t-il.

Une nouvelle menace de censure pour le gouvernement

Le gouvernement survivra-t-il à la présentation du budget 2026 ? La France insoumise et le Rassemblement national évoquent à nouveau la menace de la censure. "Si le projet, c'est de demander aux Français de se serrer la ceinture sans que l'État n'aille sur le chemin des économies en matière d'immigration, de train de vie de l'État, des collectivités, nous nous emploierons à le censurer", a prévenu le vice-président du RN Sébastien Chenu.

La gauche s'inquiète, elle, de "l'impact récessif" sur la croissance de nouvelles économies et s'insurge de ce que le gouvernement refuse toujours d'envisager des hausses d'impôts pour les plus riches. "Il y a 80 milliards d'économies à faire en revenant sur les cadeaux fiscaux depuis 2017", a insisté le Premier secrétaire du PS Olivier Faure.

En réponse, l'exécutif se prépare aux négociations. Une "méthode radicalement nouvelle" consistant à "construire ce budget dès mardi", a défendu le ministre de l'Économie Éric Lombard, alors que les textes budgétaires seront examinés au Parlement début octobre.

Les impôts vont-ils augmenter ?

"Le Premier ministre s'est engagé, le président de la République également, (...) à ne pas augmenter les impôts", a rappelé la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, lors du Grand Jury RTL, M6, Le Figaro, Public Sénat.

bonjour à tous !

Bienvenue dans ce live consacré à la conférence de presse organisée par François Bayrou sur les finances publiques.

la première réaction de la CGT

Sophie Binet, la secrétaire générale de la CGT, dénonce une "opération de communication"

la méthode douce

Le gouvernement souhaite réduire de 6% les dépenses publiques d'ici à 2029 sans recourir à "la tronçonneuse", a annoncé Amélie de Montchalin. La ministre des Comptes publics s'est exprimée dans la foulée du Premier ministre : "Si nous étions un ménage, nous sommes en train de décrire une situation où on pourrait passer de 100 euros de dépenses à 94 euros de dépenses", a-t-elle illustré.

"Le but, ce ne sont pas les finances publiques, le but, ce ne sont pas les chiffres, ce sont nos marges de manœuvre, notre capacité à rester un pays puissant, un pays souverain", a-t-elle insisté.

Parmi les pistes évoquées, la ministre a évoqué la fusion ou la suppression de certains opérateurs publics, une action contre "la très grande dérive" des arrêts maladie, la révision du mécanisme des achats publics afin de faire baisser

Comment rééquilibrer ?

"Comment rééquilibrer ? (...) La première solution serait de penser que si l'État n'a plus d'argent dans ses caisses, il suffit d'augmenter les prélèvements", a indiqué François Bayrou.

"C'est un raisonnement qui paraît simple, mais qui est intenable, car la France est déjà le pays qui détient le taux de prélèvements obligatoires, d'impôts et de taxes de toute nature le plus élevé dans le monde en 2024", a-t-il poursuivi. Selon lui, "si nous choisissions de continuer à augmenter ces prélèvements, c'est notre pays qui, au bout du compte, en souffrirait", a-t-il ajouté.

quel calendrier ?

"Notre but est que ces grandes orientations et grands choix soient proposés avant le 14 juillet", annonce François Bayrou. "C'est un travail tout à fait considérable, mais nous considérons qu'il est pour notre pays, au sens propre, vital", a-t-il indiqué.

"Aucun gouvernement ne pourra éviter cette question"

Sans évoquer le mot "censure" et les noms de ses adversaires politiques, François Bayrou leur adresse un message politique. "Nous avons une conscience aiguë de la difficulté de l'action (...) Aucun gouvernement ne pourra éviter cette question", prévient-il.

"refuser le surendettement" et "refonder l'action publique"

La deuxième voie à explorer, selon François Bayrou, concerne "le refus du surendettement". La troisième sera "la refondation de l'action publique". "Nous ne pouvons pas accepter que la France soit le pays où on dépense le plus d’argent public et on prélève le plus (...) Les Français constatent unanimement que l’action publique ne marche pas. Selon eux, la frontière entre action et inaction est devenue trouble", déplore-t-il.

Le dernier axe évoqué par François Bayrou concerne la "vitalité économique de notre pays".

Assurer "l'indépendance en matière de sécurité et de défense"

Après avoir posé le diagnostic, François Bayrou évoque les solutions. Reprenant la métaphore de l'Himalaya, évoqué lors de son arrivée à Matignon, le Premier ministre affirme que la France est face à "4 voies d'ascension".

La première concerne "l'indépendance en matière de sécurité et de défense". "Nous ne pouvons pas être pris en défaut du point de vue de notre sécurité devant les gigantesques efforts d'armement de la Russie et de la Chine et le pas-de-coté des États-Unis. L'Union européenne a le devoir impérieux de construire une défense autonome", explique François Bayrou.

notre dette "menace notre indépendance"

La dette est "un piège dangereux, potentiellement irréversible", alerte François Bayrou qui aborde le volet des solutions pour effectuer 40 milliards d'euros d'économies en 2026.

Faut-il augmenter les prélèvements ? François Bayrou reconnaît qu'il s'agit d'un raisonnement qui paraît simple, mais intenable". Reste alors la possibilité pour la France d'emprunter davantage. Mais là encore, le Premier ministre écarte cette solution. "Il est moralement insoutenable de faire porter le poids aux générations futures de nos dépenses de tous les jours", ajoute-t-il.

François bayrou : "Nous sommes le pays du monde qui dépense le plus"

Autre constat : "Nous sommes le pays du monde qui dépense le plus d'argent public", déclare François Bayrou. "la France est loin d'être au sommet du classement des pays de l'OCDE pour le niveau de vie (...), le taux de chômage ou les inégalités", détaille-t-il.

"Beaucoup de pays plus développés que nous du point de vue de l'épanouissement de leurs citoyens (...) ont fortement réduit leurs dépenses lorsqu'ils ont été menacés de déséquilibres (...) L'excès de dépense publique ne fait pas le bonheur des peuples", poursuit-il.

François Bayrou : "Nous ne travaillons pas assez"

Le Premier ministre poursuit son diagnostic : la France est aujourd'hui face à une "montagne de difficultés". "Nous manquons de ressources, car nous ne produisons pas assez et nous ne travaillons pas assez", estime-t-il.

françois bayrou : La france "ne produit pas assez"

François Bayrou estime aussi que la France "ne produit pas assez". "Il n'y a aucune raison acceptable pour un tel retard (...) Nous sommes le seul pays de notre niveau au sein de l'Union européenne à avoir un déficit commercial (...) Il est impératif de réduire notre dépendance agricole, industrielle et intellectuelle", détaille le locataire de Matignon.

François bayrou annonce "le temps de la mobilisation"

Malgré un constat alarmant, François Bayrou se dit "optimiste". Il préconise à la France "d'accepter la vérité" et "qu'il décide de prendre la décision inflexible de guérir et alors, il guérira". À cela, le premier ministre ajoute qu'il est nécessaire d'"écarter la peur et la tentation du découragement" et sonne "le temps de la mobilisation".

francois bayrou prend la parole

"C'est une heure de vérité décisive", selon François Bayrou qui ajoute que "la France joue sa crédibilité". Le Premier minister explique que "le président des États-Unis a déclenché un cyclone", en appliquant une hausse des droits de douane sur les produits importés vers les États-Unis.

"Les cadeaux aux entreprises servent en réalité tout le pays"

"On sait qu'il y a des dépenses inefficaces (...) Cela peut être des aides aux entreprises, à l'investissement, des prestations sociales qui n'atteignent pas leur objectif, etc", déclarait le ministre de l'Industrie Marc Ferracci sur France inter.

Sur RTL, François Lenglet répond : "Les cadeaux aux entreprises servent en réalité tout le pays".

trop de pression sur les entreprises ?

Les entreprises risquent d'être la cible de ces mesures d'économies. Invité sur RTL, le président de l'U2P, Michel Picon, a estimé que les entreprises font déjà beaucoup d'efforts et que l'État doit aussi inspecter ses propres dépenses.

"L'État est suradministré. Je pense qu'il faut vraiment s'attaquer à ce sujet. Alors bien sûr, il faut demander un effort collectif, mais il faut aussi donner l'exemple. Pour l'État comme pour les collectivités locales, personne ne peut se prévaloir de ne pas être concerné par le fait que depuis 40 ans, on a des budgets en déséquilibre".

l'objectif de 40 milliards d'euros d'économies est-il atteignable ?

Selon l'éditorialiste Martial You, la tâche s'annonce délicate. "40 milliards sur un an, sans hausse d'impôt, on ne l'a jamais fait en 50 ans", note-t-il. "C'est colossal, c'est le budget annuel de l'Éducation nationale, premier budget de France, c'est à peu près ce qu'on rembourse comme intérêt de la dette chaque année, mais surtout, on a déjà affiché un objectif de 32 milliards d'économies cette année en 2025 et donc on enchaînerait avec 40 milliards en 2026", explique-t-il.

Une nouvelle menace de censure pour le gouvernement

Le gouvernement survivra-t-il à la présentation du budget 2026 ? La France insoumise et le Rassemblement national évoquent à nouveau la menace de la censure. "Si le projet, c'est de demander aux Français de se serrer la ceinture sans que l'État n'aille sur le chemin des économies en matière d'immigration, de train de vie de l'État, des collectivités, nous nous emploierons à le censurer", a prévenu le vice-président du RN Sébastien Chenu.

La gauche s'inquiète, elle, de "l'impact récessif" sur la croissance de nouvelles économies et s'insurge de ce que le gouvernement refuse toujours d'envisager des hausses d'impôts pour les plus riches. "Il y a 80 milliards d'économies à faire en revenant sur les cadeaux fiscaux depuis 2017", a insisté le Premier secrétaire du PS Olivier Faure.

En réponse, l'exécutif se prépare aux négociations. Une "méthode radicalement nouvelle" consistant à "construire ce budget dès mardi", a défendu le ministre de l'Économie Éric Lombard, alors que les textes budgétaires seront examinés au Parlement début octobre.

Les impôts vont-ils augmenter ?

"Le Premier ministre s'est engagé, le président de la République également, (...) à ne pas augmenter les impôts", a rappelé la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, lors du Grand Jury RTL, M6, Le Figaro, Public Sénat.

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