- 01m24s
1 min de lecture
Les infos de 18h - Incendie : des milliers de vacanciers évacués à Argelès-sur-Mer
Par mesure de précaution, trois campings ont été vidés et 2.500 vacanciers ont été évacués. Les campeurs se sont réfugiés dans des gymnases.
La plage d'Argelès-sur-Mer (illustration)
Crédit : RAYMOND ROIG / AFP
Plus de 2.500 vacanciers ont été évacués dans la station balnéaire d'Argelès-sur-Mer. Une mesure de précaution, alors qu'un incendie attisé par le vent s'est déclaré sur la commune. Les flammes sont portées par des rafales de plus de 70 kilomètres à l'heure.
Au total, 3 campings ont été vidés. Les campeurs se sont réfugiés dans des lycées et des gymnases, mis spécialement à disposition. Ils ont été pris en charge par des agents municipaux, qui distribuent des bouteilles d'eau pour éviter le risque de déshydratation. Le reste des campeurs a trouvé un abris sur la plage. Hakim, l'un d'entre eux, déclare avoir vu les "cendres s'approcher du camping", qui peuvent provoquer un nouveau départ de feu.
Dans la région d'Argelès-sur-Mer, 70 hectares ont été ravagés. 150 pompiers sont actuellement sur place, accompagnés de 4 Canadair et d'un hélicoptère bombardier d'eau. Si le feu est maîtrisé à l'avant, les rafales de vent le nourrissent à l'arrière. Les pompiers espèrent que les vents vont faiblir rapidement.
À écouter également dans ce journal
CAN 2019 - Un syndicat de police demande la mise en place d'une fan zone pour la finale Sénégal-Algérie. Alternative Police a saisi le préfet de Paris et la direction de la Police nationale. "Le but est d'encadrer et de sécuriser les foules", déclare Denis Jacob, le secrétaire général.
Marne - Une voiture a été percutée par un TER au passage à niveau, faisant 4 victimes, dont l'identité n'est pas encore connue. D'après les premiers éléments de l'enquête, les barrières étaient bien fermées au moment du drame.
Iran - Le ministre des affaires étrangères a annoncé l'arrestation d'une chercheuse franco-iranienne a été arrêtée en Iran. Farida Adelkhah, 60 ans, travaille à l'Institut des Études Politiques de Paris. La France a demandé des explications.
