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Rodica Negroiu (D) s'installe dans le box des accusés de la cour d'assises de Meurthe et Moselle, le 21 juin à Nancy.
Crédit : DAMIEN MEYER / AFP
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Le 17 décembre 1990, au soir, le commissariat de Vandoeuvre-les-Nancy reçoit une dénonciation. L'interlocuteur parle de Raymond Jactel, 82 ans, décédé trois jours plus tôt. Il explique qu'il allait très bien jusqu'au mois d'août où une femme est entrée dans sa vie. Les policiers identifient cette fameuse femme comme étant Rodica Negroiu, 50 ans.
Le parquet de Nancy est alerté des doutes qui planent sur la mort de Raymond Jactel. Une enquête est ouverte. Dans le doute, le corps du défunt est rapidement exhumé afin que soit pratiquée une autopsie. Les légistes ne notent pas de traces de violences et les expertises toxicologiques montrent la présence de Digoxine et de Phénobarbital. Impossible d'affirmer que ces médicaments ont causé l'infarctus de Raymond Jactel.
Les enquêteurs se renseignent sur les liens qui unissaient Rodica Negroiu et le défunt. Ils se sont connus il y a deux ans. Elle cherchait à acheter une maison en viager, mais Jactel n'était pas intéressé. Negroiu a tout de même gardé contact et lui rendait visite très souvent.
Eric Nicolas, journaliste à l'Est Républicain
Me Alain Behr, avocat de Rodica Negroiu
Rodica Negroiu
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