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"Gilets Jaunes" : à Angers, l'homme qui prétendait avoir des explosifs s'est rendu

L'homme prétendait détenir des explosifs et exigeait d'être reçu à l'Élysée par Emmanuel Macron. Il s'est rendu peu après 22h30.

L'Espace commercial d'Anjou, à Angers (Maine-et-Loire)
Crédit : RTL
Angers : un "gilet jaune" détient des explosifs
00:01:13
Angers : un "gilet jaune" détient des explosifs
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Guillaume Chieze & Leia Hoarau & AFP
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L'opération du Raid est terminée à Angers où un homme avec un gilet jaune a menacé toute la soirée de faire exploser une grenade. Le forcené s'est rendu un peu après 22h30 après cinq longues heures de négociation. L'homme était retranché dans le centre commercial de l'Espace d'Anjou, dans le centre-ville d'Angers (Maine-et-Loire). Il affirmait être en possession de grenades. Les forces de l'ordre ont été déployées sur place.

L'homme retranché, âgé d'une cinquantaine d'années, demandait que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée. L'homme "parle d'explosifs" et détient "des sacs", expliquait la police, qui a identifié l'auteur. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a déclaré le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. Il est connu des forces de police pour des affaires de trafic de stupéfiants. 

Le périmètre est sécurisé, et le RAID et une équipe de déminage ont été envoyés sur les lieux. L'alerte a été donnée à 16h45. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues, se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.

Les "gilets jaunes" se désolidarisent

Cette protestation intervient à la veille de la manifestation parisienne du samedi 24 novembre. La manifestation s'annonce difficile à sécuriser : 3.000 policiers et gendarmes seront mobilisés pour l'encadrer. Seul le site du Champs-de-Mars a été autorisé par les autorités, mais les manifestants pourraient choisir d'aller manifester près de l'Assemblée, du Sénat ou sur les Champs-Élysées.

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Ces derniers se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues". Deux sorties de l'autoroute A87, à proximité du centre commercial, resteront fermées jusqu'à la levée du dispositif.

À regarder

Angers : le forcené s'est rendu
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