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Un bâtiment avec l'inscription "Amaq", du nom de l'organe de propagande de l'État islamique à Maskanah , dans le nord de la Syrie
Crédit : George OURFALIAN / AFP
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Les canaux de propagande de l'État islamique (EI) n'ont pas été trop endommagés à en croire les dernières revendications du groupe. En un week-end, Daesh a pu clamer sa responsabilité dans l'attaque au couteau à Paris qui a fait un mort, le triple attentat suicide en Indonésie, puis le lendemain, un autre attentat suicide toujours à Surabaya.
Pourtant, fin avril, Europol, agence européenne de police, avait annoncé avoir "porté un grand coup aux capacités de l'EI à propager sa propagande en ligne et à radicaliser les jeunes en Europe". Déjà à l'époque, les experts et spécialistes n'avaient remarqué qu'un léger ralentissement d'activité de l'agence Amaq, et ne croyaient pas à une neutralisation.
Cette action commune entre huit pays occidentaux avait eu un effet limité. Quelques heures après, le groupe terroriste republiait des vidéos et des commentaires via son agence de propagande. Dimanche, une vidéo de revendication montrant l'auteur de l'attaque au couteau parisienne expliquant ces actes a été publiée sur Telegram.
L'action d'Europol a toutefois permis de "traquer comment l'infrastructure de Daesh évolue" et des identifications ont déjà été établies.
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