Donald Trump appelle à "éradiquer le fléau de l'antisémitisme". Le président américain a réagi sur Twitter quelques heures après une attaque contre des Juifs réunis chez un rabbin. Ils fêtaient Hanouka près de New York. Cinq personnes ont été blessées. Le suspect, un homme de 37 ans, a été inculpé. Cette nouvelle attaque inquiète la communauté juive.
L'enquête se poursuit pour déterminer les motivations de l'agresseur, inculpé pour tentative d'homicide. Le gouverneur de l'État de New York a qualifié cette attaque au couteau d'acte "terroriste" et a promis de renforcer la sécurité.
Mais cela ne suffit pas à rassurer la communauté juive de New York qui fait face à une résurgence d'attaques depuis plusieurs mois. Dans les médias, plusieurs leaders de cette communauté ont laissé éclater leur colère face à l'inaction des autorités.
C'est quoi le plan ? Il n'y a aucun plan.
Un leader juif au sujet de la recrudescence des actes antisémites aux États-Unis.
"Il y a une situation d'urgence dans l'État de New York, dit l'un d'eux. Le gouverneur devrait décréter l'état d'urgence. Des gens sont assassinés, sont agressés et ils ne font rien pour nous protéger. C'est quoi le plan ? Il n'y a aucun plan."
La communauté ultra-orthodoxe, très importante dans l'État de New York, est principalement visée. En l'espace de trois semaines à peine, 13 agressions violentes antisémites y ont été recensées.
Grève dans les transports - Le trafic s'améliore à la RATP, où seulement deux lignes resteront fermées, ce lundi : la 7bis et la 13. La plupart fonctionneront, néanmoins, au ralenti aux heures de pointe. À la SNCF, comptez 1 TGV sur 2, 4 TER sur 10 et 1 Transilien sur 4.
Hôpitaux - L'hôpital de Roubaix manque de bras. Il manque 12 lits dans l'établissement qui permettent habituellement de désengorger les urgences surchargées. Le taux d'absentéisme est de 10 % chaque jour à cause de conditions de travail insoutenables.
Lutte contre les violences faites aux femmes - Le Mouvement "Ni Putes, Ni Soumises" n'aura plus de locaux à partir de ce mercredi 1er janvier. Des milliers d'euros de loyers impayés, une chute des subventions... L’association se dit "abandonnée par la République".