Donald Trump s'est dit enchanté de sa rencontre avec la reine Elizabeth II ce lundi, quelques heures après avoir qualifié de "loser total" le maire de Londres, donnant d'emblée un ton résolument polémique à sa visite de trois jours au Royaume-Uni.
"La reine et toute la famille royale ont été fantastiques", a tweeté le président américain, affirmant n'avoir vu aucune manifestation de protestations et martelant que la relation entre les deux pays était "très solide".
Après avoir pris le thé avec le prince Charles, héritier du trône britannique, au palais de Clarence House, le milliardaire républicain participe ce soir à un grand banquet au palais de Buckingham.
Troisième président américain à avoir droit à une visite d'État après George W. Bush (2003) et Barack Obama (2011), Donald Trump a été accueilli dans la matinée par Elizabeth II au son des coups de canons tirés en son honneur.
International - Le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte a adressé un ultimatum aux partis de la majorité, la Ligue de Matteo Salvini (extrême droite) et le Mouvement Cinq Etoiles de Luigi Di Maio (M5S, antisystème), menaçant de démissionner si leurs incessantes polémiques ne prenaient pas fin.
Politique - Laurent Wauquiez met en garde, dans un entretien accordé au Figaro, contre l'éventuelle création d'un "grand parti mou de centre droit" en dénouement de la crise qui secoue Les Républicains après le désastre des européennes.
Économie - Arrivé et reparti sous les huées à Belfort, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a exhorté General Electric à revoir à la baisse le nombre de suppressions d'emplois prévues par son plan social, faisant le pari de l'aéronautique pour assurer l'avenir du site belfortain.
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