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Saint Valentin : plus d'un Français sur 3 a déjà craqué sur un(e) de ses collèges

Selon le sondage d'un cabinet de recrutement, davantage de Français ont déjà envisagé une relation amoureuse sur leur lieu de travail qu'avant la crise sanitaire.

Saint-Valentin : la presse au diapason de la fête de l'amour

Crédit : Kristina Litvjak / Unsplash

Benoît Leroy

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Amour et boulot vont parfois de paire. Selon le cabinet de recrutement PageGroup, près de 4 salariés français sur 10 (37%) ont déjà eu un "crush" (une attirance, en anglais) pour l'un ou l'une de leur collègue de travail. 

Une tendance qui est à la hausse, car en 2019, selon le même sondage, ils étaient seulement 26% à avoir déjà envisagé une relation allant au-delà du travail. La crise sanitaire ne semble donc pas avoir eu d'effets négatifs sur ces (très) bonnes relations au travail. Pour ceux qui l'ont déjà envisagé, 59% d'entre eux sont parvenus à conclure. Un résultat semblable que celui observé en 2019, où ils étaient 62%.

Et contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce ne sont pas les jeunes qui sont les plus concernés. Bien au contraire. 67% des moins de 30 ans assurent n'avoir jamais eu d'intérêt sentimental pour une personne rencontrée au travail.  Une situation totalement renversée pour les personnes en fin de carrière. "Chez les plus de 50 ans, 70% de ceux qui ont eu un intérêt déclarent avoir eu une relation et 45% déclarent être encore en couple, ce qui démontre l’importance pour ces générations du travail comme lieu de rencontre privilégié", estime le cabinet de recrutement.

Le télétravail, source de bouleversement chez les salariés ?

La tendance a radicalement changé depuis la survenue de la Covid-19. Trois ans plus tôt, 28% des 25-34 ans se projetaient dans une relation amoureuse au boulot, contre 24% pour les 45-59 ans.

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Bonne nouvelle, enfin, le télétravail ne semble pas avoir bouleversé les salariés français, selon cette même étude. "Les trois quarts des répondants déclarent que la crise sanitaire et ses conséquences n’ont pas eu d’incidence sur leurs relations de travail préexistantes", précise PageGroup.

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