Sur les réseaux sociaux, des internautes ont inventé le hashtag "C'est Nicolas qui paie". Très vite devenue populaire, cette expression est apparue après les propositions du gouvernement. Selon ses créateurs, Nicolas incarnerait le français moyen qui paie des impôts, mais ne reçoit jamais rien en retour. Cependant, depuis sa création, certains ont détourné le hashtag pour répandre des propos racistes. Le gouvernement surveille cela de près.
Tous les conseillers le confirment, la surveillance est le mot clé à Bercy et à Matignon, les ministres gardent un œil attentif sur cette contestation en ligne. Les mots clé "Nicolas qui paie" ont connu un pic d'utilisation le jour de l'annonce du plan d'économies de François Bayrou.
Le service d'information du gouvernement, le SIG, a transmis plusieurs notes au ministère pour remonter le phénomène. Plutôt que de s'en inquiéter, un constat est fait : "S'il y en a qui ne paient pas dans ce budget, c'est bien Nicolas" estime un conseiller. "On a fait le même le constat que les Nicolas : que le système social pèse trop sur les actifs et que l'effort doit être partagé", rajoute-t-il. L'entourage du premier ministre rappelle même que "François Bayrou a toujours lui-même alerté sur le poids des impôts. C'est son mantra".
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