La lettre de licenciement est arrivée vendredi aux mains d'Emmanuelle Amar. Elle est celle qui a lancé l'alerte sur les cas de bébés nés sans bras ou sans main dans l'Ain. Avec 5 de ses collègues du centre Remera, elle a été notifiée de son licenciement. Mais quelques jours plus tard, lundi 29 octobre, les six reçoivent un courriel indiquant la suspension de la procédure de licenciement. Sans autre forme d'explication.
La principale intéressée réagit au micro de RTL : "Qu'est-ce que ça signifie 'suspendu' ? C'est pas annulé, ça souffle un peu le chaud et le froid, on est rassurés sur un point, c'est que a priori on ne sera pas licenciés au 31 décembre mais c'est inquiétant quand même parce qu'on ne sait pas du tout où on va, c'est difficile à vivre."
"Je pense que c'est vraiment parce que l'équipe est soudée qu'on tient, mais on peut parler quand même de maltraitance en ce qui nous concerne, ajoute-t-elle. Il faut employer le mot parce qu'on nous dit que c'est un licenciement et pas un licenciement, et c'est pas la première fois, donc on a été très patients mais il va falloir prendre des décisions".
En attendant, mardi 30 octobre, un huitième cas de bébé né sans bras a été détecté dans l'Ain, selon les informations du Monde. Un petit garçon né en 2012, dans la même petite zone de 17 km de rayon que les autres cas.
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